L'Amour Avec Un Garçon

La première fois que j'ai fait l'amour, ce fut avec un garçon. Il était à peine plus vieux que moi et je le trouvais beau comme un ange. Ses cheveux blonds et bouclés lui donnaient l'air des petits angelots qu'on voit dans les tableaux de la renaissance. Chaque fois que je le voyais, je me débrouillais pour être le plus près possible de lui. A force, il a remarqué mon manège. Et puis, un jour, je ne sais plus pourquoi, mon attention avait été attirée par je ne sais quoi, je l'ai perdu de vue. Je me suis retourné et me suis retrouvé face à lui.

Il était plus grand que moi. Son torse puissant était moulé dans un t-shirt bleu-ciel, un peu court. Le jean serré, porté un peu bas, laissait voir son nombril et ses abdominaux. Et juste au-dessous, la bosse que faisait son sexe. Ses bras musclés distendaient le tissu du t-shirt.

Nous nous sommes tamponnés et il en a profité, peut-être, pour poser une main sur mes fesses. Moi de mon côté, j'ai attrapé sa bite, cachée sous le tissu. Il m'a pris par le bras et avec force, il m'a entraîné jusque chez lui.

La porte refermée, il m'a pris dans ses bras et m'a collé contre lui. Je sentais sa bite bien dure contre mon ventre. Je bandais moi aussi. Les mains sur mes fesses, il m'embrassait dans le cou, sur les joues, le front. Il avait l'air pressé et pourtant, il prit son temps. Après m'avoir caressé sur tout le corps, il entreprit de me déshabiller.

- C'est ta première fois, n'est-ce pas ? demanda-t-il.
- Oui, répondis-je, l'air penaud.
- C'est touchant. Si tu veux, je serai tendre ou sauvage. Qu'est-ce que tu préfères ?
- J'aime les caresses et les câlins. Dis-je en chuchotant.
Avec une lenteur exaspérante, il dégrafa mon pantalon et le laissa tomber à mes pieds.

A travers le tissu, il tâta la raideur de ma bite. L'autre main était dans mon slip et appréciait le galbe de mes fesses. Il se baissa et m'enleva mes chaussures et mon pantalon. Il tira sur mon slip et ma bite en jaillit. Il la prit dans sa bouche, toute entière, sa langue et ses lèvres se refermant dessus. Quand sa langue passa sur le gland, j'eus un tressaillement des hanches.

Il se releva et souleva mes bras en l'air. Il retira mon t-shirt et m'embrassa partout sur la poitrine. Il s'agenouilla de nouveau et me retourna. Il m'embrassa dans le dos, suivant la colonne vertébrale. Il me mordilla les fesses à travers le slip, et en se relevant, il passa un bras dans mon cou, l'autre sous les fesses et me transporta jusqu'au lit. Il me coucha sur le dos, en travers du lit. Il se pencha vers moi, et avec une douceur infinie, il saisit mon slip, le glissa jusqu'à mes pieds et l'envoya à l'autre bout de la pièce.

Il s'agenouilla et passa ses mains sous mes fesses. Il embrassa ma bite et sa langue lécha mes couilles. Un doigt se glissa entre mes fesses et s'enfonça dans mon cul. Ma bite bondit.

Il se releva et se déshabilla. Qu'est-ce qu'il était beau. Tout son corps était musclé. Pas du body-building. Il me faisait penser à la statue de David. Il me tourna le dos un instant pour enlever ses godasses. Son cul était comme sur la statue, bombé et musclé.

Il prit sa bite dans sa main et fit deux ou trois va et vient, comme pour se branler. Il prit une capote, l'ouvrit et la déroula sur sa belle bite. Il se pencha vers moi, passa ses mains sous mes jambes et les replia sur ma poitrine. Il s'agenouilla et glissa sa langue dans la raie de mes fesses. Il lubrifia le petit trou, se releva, posa sa bite dessus et s'enfonça. J'émis un râle de plaisir. Je sentais sa bite serrée dans mon cul. Je pensais que mon cul était tout rempli.

Lui, me glissa à l'oreille :
- Ce que tu es serré ! T'étais vraiment puceau.
..Tu sais, t'as le plus beau cul que j'ai jamais baisé. Je t'avais repéré depuis pas mal de temps, mais j'attends toujours que ce soit l'autre qui fasse le premier pas.

Il se souleva, mis ses mains sous mes genoux et commença à s'agiter. Sa bite glissait en cadence dans mon petit trou. Le plaisir montait à petites doses. A chaque soupir que je lâchais ou à chaque frémissement de mon corps, il ralentissait ses mouvements pour faire durer. Quand mon corps commença à se soulever et que mon dos s'est arqué, il a accéléré et, ensemble, tétanisés, nous avons éjaculé. Moi sur mon ventre, et lui, dans mon cul.

Nous avons pris la douche ensemble. Il me tenait dans ses bras, me caressant partout. Il m'a savonné dans les moindres plis de mon corps et m'a séché dans une serviette grande comme une couverture. Je me suis rhabillé. Il m'a embrassé sur le front et passant un bras autour de mes épaules, il m'a conduit jusqu'à la porte.

- On se reverra ? Demandai-je, les yeux pleins d'amour.
- Je ne sais pas, mais ne viens pas ici, ce n'est pas chez moi ! Si ça doit se faire, ce sera dans la rue, comme aujourd'hui. Nous irons ailleurs.

Je ne l'ai jamais revu.

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