Elise Et Moi

Elise m’attend à la sortie de la gare de Montpellier. Malgré la présence d’autres voyageurs, elle m’embrasse sur la bouche. Nous partons vers le mas, à une trentaine de kilomètre. Elle soulève ma robe pour voir ce que je porte : elle est satisfaite, je suis nue dessous. Elle me laisse comme ça
- C’est pour que tu prennes bien l’air de mon midi.
- Et toi ?
- Tu verras après.
Je revois encore sa figue offerte à mes caresses, longues caresses. J’essai de me remémorer son odeur, son gout exact. Je n’y arrive pas encore. C’est long trois mois sans elle. Nous allons en profiter : son mari, même s’il n’est pas contre ce que fait sa femme, est absent pour de longues semaines. Vivre ainsi trois mois entre filles est sensationnel.
L’après midi est largement entamé. Ce que me propose Elise me plait : d’abord refaire connaissance, diner puis aller en bord de mer, sur une plage oubliée, si nous le pouvons encore après nos baises Nous arrivons dans son mas, totalement isolé. Personne à des kilomètres. Pour elle nous reconnaitre est de nous mettre nue dans la nature. Elle est toujours aussi belle, un brin de sein en plus, ce qui lui va bien. Moi, je sais j’ai un petit kilo dans les fesses.
Je remarque qu’elle ne se rase plus la chatte : je la préfère ainsi, naturelle. Je ne peux m’empêcher de m’étendre en levant les bras bien haut.
- Nous pouvons faire ce que nous voulons, le frigo est plein à raz bord. Sans homme à demeure.
- Si j’ai envie de me faire mettre par une vrai queue je la trouverais où ?
- D’abord j’ai des godes, ensuite je sais comment trouver la pine qui te manquera, j’en profiterais pour m’en procurer une pour l’occasion.
J’ai envie d’elle, pas demain ni ce soir, immédiatement : je suis trempée comme rarement. Elle rode autour de moi, quand elle est derrière elle passe une main sur ma poitrine. Les tétons en arrêts réagissent vite à sa caresse. Elle garde une main sur un sein, descend l’autre tout doucement.

Il me tarde qu’elle soit sur ma chatte. Je l’y attends depuis trop longtemps. Elle arrive sur mes hanches, elle caresse trop lentement : j’en ai des frissons partout. Je passe mes fesses sur son ventre.
Enfin elle me touche à peine le haut de la chatte. Elise tire un peu les lèvres, fait ressortir le clitoris. Elle ne le touche pas, va plus bas mettre deux doigts dans le vagin Elle me doigte bien. Je ne sais comment elle fait : je regarde en l’air. Il me semble que ses doigts sont en crochets dans mon grand trou. Je manque d’air, je me livre totalement. Elle lime mon intérieur. Je me laisse tomber quand je reçois la décharge de l’orgasme. Je reste accroupie sur les fesses. Elle vient devant moi, ouvre son sexe : que de découvertes à refaire avec ses lèvres inégales, son bouchon de champagne de clitoris, sa grande ouverture du vagin la fuite vers le périnée. Je me laisse tenter par ses fesses que je prends à plein bras. Elle s’offre en entier. Son corps est pour moi seule.
A loin un clocher égraine ses bings bangs. Nous restons seules en proie à nos désirs du corps de l’autre. Ma bouche inoccupée s’approche de l’abricot mur. Il sent bon pour moi en tout cas, son jus sort en fines gouttelettes. Elle manifeste son envie d’un encore. Mes lèvres sont très proches d’elle ; ma langue veut honorer sa fleur. Je bois son miel à sa source, c’est bon, excitant de savoir que ce que j’avale vient directement de son sexe. Du producteur au consommateur. Le seul bout de la langue suffit dans l’immédiat. Je lèche à peine sa cathédrale de plaisir. Elle avance son corps contre ma bouche. Ma langue entre en totalité dans son con. J’y trouve tout ce que je veux : des lèvres douces, entourant totalement son sexe de femme excitée. Je lèche en entrant doucement. Je reçois touts ses odeurs, ses parfums, sa suavité. Pourquoi un sexe de fille sent-il aussi bon. Je sens les lèvres s’écarter quand ma langue passe. La tête penchée en arrière pour mieux la déguster, je renifle ses odeurs je déguste ses liquides.
Que c’est loin d’une idiote de bite. Elise hurle son orgasme.
- Encore, lèche-moi encore
- Et moi.
- Ensemble non ?
- Oui, toutes les deux.
Elise me veut, je la veux encore. La nuit est tombée. Nous allons nous coucher dans la chambre aux vitres grandes ouvertes malgré les quelques insectes visiteurs curieux qui bourdonnent. Les draps sont frais, une glace fait face au lit.
- Tu vois la glace, je m’y regarde quand je me branle.
Nous nous couchons pas encore très près. Seules nos mains se touchent comme pour un jeu de gamines. La tentation reste là. Elle bouge un peu, vient sur moi. Je la reçois les jambes écartées. Elle fait comme si elle était un homme. Son pubis se frotte au mien, arrive à toucher mon sexe. Je m’écarte encore, je lui donne ce qu’elle veut. Elle fait des mouvements de baise. Elle me donne du plaisir. Pas au point de jouir. Mais moi je peux toucher ses fesses, lui faire ce que tout homme lui ferait, je cherche lentement la raie des fesses. Il y est aussi doux que la peau d’un nouveau né. Je cherche volontiers son petit trou. Il est divinement caché. C’est doux, il est presque inexistant. Je masse longuement l’anus. Elise me laisse faire, elle tend même son anus vers ma main. Je masse son trou noir. Sa réaction est de se coller encore plus contre mon ventre.
Quel bonheur de caresser, d’ouvrir et d’entrer dans son anus.
- Oui, encules moi.
- Tu veux un autre doigt ?
- Oui.
Elle aime avoir le cul occupé. Je le sais. Elle me rendra le pareil tout à l’heure. Je fais naviguer mon doigt ans son petit orifice. Elle soupire, prend son pied visiblement. Que j’aime baiser Elise, qu’elle et agréable à aimer. Elle se glisse sur moi qui garde mon doigt fiché en elle. Elle parvient à m’embrasser sur la bouche. Elle monte toujours. Son ventre passe sur ma bouche. Elle me donne sa figue. Je sors ma langue, je lèche ce qu’elle veut. Je trouve toujours son gout plus que parfait : elle a une des meilleures chattes que j’ai connues.
Elle s’appuie sur les montants du lit, ouvre sa coquille en entier. Elle me donne sa cyprine quand elle jouit que je bois avec gourmandise.
J’en ai plein le visage. J’attends qu’elle finisse de jouir. Quand elle me quitte, elle lèche ma figure en entier, m’embrasse pur me donner ce jus si particulier.
Elle me propose un gode. Pourquoi pas après tout. Le sien est spécial double usage. Seule elle le met au début dans le con puis pour être bien remplie au cul : elle me l’a montré. Mais elle le destine à nous deux. Nous restons sur le dos, elle plus bas que moi. Elle me donne mon coté que je mets sans garder dans mon étui à bite. Elle se saisît de l’autre coté. Elle se baise avec. Elle garde la maîtrise de la suite. Elle assure des mouvements de va-et-vient aussi bon qu’une bite d’homme, en mieux à cause de sa connaissance des besoins exacts dune fille. Nos jambes mêlées ajoutent à ce plaisir.
Notre seule obligation est d’être correcte quand la bonne fait le ménage. Je me la paierais bien cette jeune femme. Mais Elise m‘a prévenu : pas touche : il faut que j’aille aux toilette me soulager, j’ai trop envie de cette jeune fille. Pourtant Elise ne semble pas avoir de rapports particulier avec la fille. Il faut que j’en aie le cœur net. Je pose la question à Elise :
- Ecoutes moi, je ne le touche pas et ne la toucherais jamais : c’est ma sœur.
- Et si moi je voulais
- Nous elle n’aime pas les filles, elle se masturbe souvent, je l’ai vu. Elle se gode, a un type bien monté. Alors laisse là tranquille s’il te plait.
- Alors baises moi avec le gode.
Elle ne se démonte pas, elle sort le gode, le passe sous l’eau chaude, me demande de me mettre en levrette. Je suis à genoux devant ma chère maîtresse. Elle est derrière moi, je sens son souffle sur mes fesses. Elle passe sa main caressante dans la raie. Je sens le bout du gode chercher mon entrée. Je voulais être baisée, tant pis je serais enculée. Elle enfonce le gode doucement, l’enfonce à fond dans mon rectum.
Mon cul est totalement écarté : c’est bon. Elle sait bien envuler : je jouis plusieurs fois avec l’engin dans les fesses.
Les jours passent et Elise me fait part de son envie : une vraie queue dans son con. Elle passe deux coups de fil : une heure après arrivent deux hommes presque nus. Nous n’avons pas de choix à faire. Ils sont parfaitement gays. Je m’étonne de voir ce genre de personnage homo venir combler deux filles comme nous. Ils sont du même sexe, nous aussi. Ils sont bien montés. Je me demande comment ils font quand ils s’enculent ?
J’ai la réponse rapidement : ils sont venus pour nous sodomiser. Le mien est charmant, il m’embrasse sur les joues, caresse gentiment mes fesses. Je le laisse faire. Il est sur moi qui suis sur le dos, il se branle un peu, vient sur moi Je pensais qu’il allait me baiser classiquement. Il passe sur mon sexe, l’effleure à peine : il descend à peine plus bas. Je ne sais comment il fait il trouve vite ma deuxième entrée annexe.
Il masse le cul avec son gland, il force à peine : il m’encule à fond. Je sens ses couilles contre mes fesses. Lui navigue dans le cul. Moi, je me laisse faire, je rajoute quelques mouvements annexes et je jouis, jouis longtemps même quand il soit sorti. Il crache encore un peu de sa queue.
Nous restons sages pour la journée sauf juste un tout petit 69 festiné à affirmer notre homosexualisé féminine.
Nous avons moins de trois mois pour nous aimer comme des filles. Elle m’a promis de me ler à une plage naturiste : je verrais plein de bites et de chattes. Nous pourrons nous faire l’amour devant les autres et peut être recevoir un coup de bite mal placé.
Si je peux je raconterais la suite.

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