Quentin Kendall Au Japon
Quand je suis arrivé à Tokyo, une quinzaine de personnes m'attendaient. L'une d'elles tendait un écriteau portant mon nom. Il y avait un maximum de filles. Trois d'entre elles était habillées du costume traditionnel. Quand elles m'ont vu, elles se sont mises à piailler et à rire comme une nuée d'oiseaux. Celle qui paraissait les diriger s'approcha de moi. Les mains jointes pour le salut, elle m'a fait une sorte de révérence. Dans un Français impeccable, elle dit :
- Quentin Kendall ? Je m'appelle Kimiko. Je vous souhaite la bienvenue au Japon, de la part de mes camarades et de moi-même.
Les filles me regardaient et poussaient des petits cris. Elles se tournaient les unes vers les autres en pouffant de rires. Elles étaient charmantes. J'entendais un mot en particulier qui les faisait rire :
- Kyuto, kyuto !
J'ai demandé à voix basse à mon hôtesse ce que ça voulait dire. Elle a rentré la tête dans les épaules. Les joues empourprées, un sourire gêné aux lèvres, elle a dit :
- Elles vous trouvent, comment dit-on en Français, mignon ?
J'ai éclaté de rire. Elles ont piaillé de plus belle.
- Remerciez-les de ma part ! Fis-je.
- Vous n'êtes pas fâché ?
- Non, pourquoi ?
- Au Japon, les garçons n'aiment pas ce genre de propos...
- Eh bien moi, je suis ravi. Je trouve cela flatteur.
J'ai joint mes mains et incliné ma tête dans leur direction comme on m'a appris à Paris.
- Dites-leur qu'elles sont toutes très jolies ! Vous aussi ! Et de plus, vous parlez très bien le Français !
- Merci, dit-elle en rougissant et avec l'éternelle révérence.
Elle traduisit ma remarque. Nouvelle salve de rires cristallins.
La délégation m'emmena vers l'université. Je ne connaissais rien des rites et habitudes estudiantins nippons. Ils étaient tous habillés du pantalon noir traditionnel et de la veste aux couleurs de l'établissement. Un bleu ciel plutôt élégant.
- Vous devez être fatigué du voyage, Monsieur Kendall. On va vous conduire au bain, vous donner votre nouvelle tenue et vous installer dans vos quartiers. Quand vous serez reposé, on vous présentera à vos futurs camarades et on vous montrera les différents services offerts dans notre université.
Une jolie jeune fille en kimono, s'inclina vers moi, les mains jointes et le sourire timide aux lèvres. Une autre, restait derrière elle. La première me prit par la main. Aussitôt, la seconde fit le tour par derrière moi et saisit mon autre main. Elles m'ont emmené vers le bâtiment principal. Les autres filles gloussaient de plus belle. C'était charmant. J'ai demandé pourquoi elles étaient habillées de la sorte. Elles m'ont répondu par un petit rire et des mimiques charmantes. Nous sommes entrés dans une espèce de piscine peu profonde. Contre le mur, un banc en bois et des porte-manteaux. Sur l'un d'eux, un peignoir blanc.
Une des filles passa dans mon dos et tenta de m'enlever ma veste. Je me retournai et m'excusai en disant :
- Je peux me déshabiller tout seul ! dis-je en enlevant ma veste.
La fille se recula, poussa un hurlement et cachant son visage dans ses mains, elle se mit à pleurer. Je me suis précipité vers elle. Elle avait l'air vraiment malheureuse. La femme qui m'avait accueilli à l'aéroport Jaillit de je-ne-sais où. Elle me dit :
- Que s'est-il passé ?
- Cette demoiselle voulait me déshabiller !
- Vous ne voulez pas prendre le bain ?
- Si ! Mais je peux me déshabiller moi-même !
Elle a éclaté de rire.
- Vous, ça vous amuse ?
Reprenant son calme, elle dit :
- On ne vous a rien dit à Paris. Ici c'est la tradition. Ce sont les jeunes filles qui vous donnent le bain et vous préparent au coucher. Je suis désolée de ne pas vous avoir prévenu. J'ai passé cinq années dans votre pays. J'aurais dû le savoir. Je vous présente mes excuses !
- Vous n'avez pas à vous excuser, dis-je. Vous êtes chez vous ici. C'était à moi de m'informer avant de venir. De plus, je ne parle même pas votre langue. C'est à moi de m'excuser, et surtout auprès d'elle. Elle a l'air tellement triste !
- Elle croit qu'elle vous a manqué de respect !
- Que dois-je faire pour me faire pardonner ?
Elle s'adressa à la fille qui d'un seul coup, arrêta ses larmes, et les genoux fléchis, me regarda avec un magnifique sourire et des joues rouges de plaisir. Elle se précipita vers moi, et reprit son entreprise de déshabillage.
- Que lui avez-vous dit ? Quel changement !
- Je lui ai dit que vous avez résisté parce que vous étiez gêné qu'elle voit l'intérêt que vous lui portez !
En disant cela, elle indiqua discrètement mon entrejambe. J'allais protester quand elle mit un doigt sur sa bouche, m'imposant le silence. Elle s'éclipsa, juste avant que les filles me retirent mon pantalon et mon slip.
Me prenant chacune par la main, comme précédemment, elle m'ont conduit jusqu'à un petit escalier descendant jusqu'à l'eau. Une fois dans la piscine, elles se sont déshabillées à leur tour et m'ont rejoint. Leurs doigt habiles se sont faufilés dans tout les recoins et replis de mon corps. Si je n'étais pas propre après ça !
Une fois les ablutions terminées, elles m'ont sorti de l'eau, toujours me tenant par la main. Elles m'ont allongé sur le ventre.
Elle commença à me parfumer le visage. Pour ce faire, elle s'allongea sur moi. Elle ondulait de son corps, frôlant chaque fois plus près, ma bite en érection. Elle se frottait à moi, les pointes de ses seins dressés, piquaient ma poitrine. Pourtant, sa peau était douce. Son odeur, un peu épicée, parfumait mes narines. Pour la première fois de ma vie, j'aimais le contact féminin. Descendant doucement vers le pubis, ses lèvres ensérrèrent le gland et sa langue tourna autour, léchant la couture du prépuce. Mes reins se soulevèrent, enfonçant un peu plus ma bite dans sa bouche. Ses lèvres montaient et descendaient le long de ma bite. Sa bouche était chaude. Quand ses lèvres se posèrent sur mes poils, elle sortit sa langue et me lécha les couilles. J'ai sursauté. Jamais un homme ne m'avait sucé comme ça. Je soulevai légèrement la tête pour la regarder. Elle sentit le mouvement et écarta ses cheveux pour que je puisse mieux voir. Sa jolie bouche était écartelée sur ma bite. Elle leva les yeux vers moi, l'air interrogateur. J'ai fermé les yeux en signe de remerciement. Son regard a brillé de malice et, dans le même temps, sa langue a titillé la petite fente du gland, m'arrachant un soubresaut. J'ai entendu sa copine émettre son petit rire d'aise. Quand elle sentit que j'allais exploser, elle s'assit sur mes cuisses, faisant entrer ma queue en elle.
- Domo arrigato !
Sa copine, debout à côté de nous, a battu des mains en secouant ses épaules. Celle que je venais de sauter, me lava la bite et la parfuma. Ca ressemblait plus à une branlette. Ses mains se refermaient sur ma bite, la serrait, semblant vouloir l'obliger à jouir encore et faire jaillir à nouveau le précieux liquide. J'étais tellement tendu, que mes reins étaient arqués et qu'enfin, le sperme a éclaboussé sa poitrine. Elle m'a essuyé à nouveau et m'a gratifié d'un coup de langue sur le gland. Elle a passé ses mains sous mes fesses. Sa copine m'a pris par la main et elle, de l'autre. Elles m'ont aidé à me relever. Elles m'ont couvert avec le peignoir blanc et m'ont conduit jusqu'à ma chambre. J'ai retrouvé les bagages dont on m'avait délesté. On les avait ouverts, rangé les vêtements et les objets de toilette et déposé mes objets personnels sur un petit bureau. Les avaient-ils examinés, je ne sais pas. De l'armoire, elles ont sorti le costume noir et azur de l'université. Elles m'ont dépouillé du peignoir et me l'ont fait essayer. Elles ont tâté mes fesses et mes bijoux de famille pour constater que ça m'allait bien. Satisfaites de leur travail, elles m'ont de nouveau déshabillé et une main dans chacune des leurs, elles m'ont glissé dans le lit. Elles sont parties en reculant, les mains jointes devant leurs visages, avec force courbettes et sourires amusés.
Le lendemain, à 7 heures, heure locale, on frappa à ma porte. Je me levai, passai le peignoir et ouvrit la porte. C'étaient les demoiselles de la veille. Celle que j'avais baisée, ou plutôt qui m'avait baisé, me regardait avec un petit sourire en coin. Elles m'emmenèrent jusqu'à une porte portant un numéro. Ma maîtresse de la veille montra le numéro en disant quelque chose qui voulait certainement dire que je devais m'en rappeler. Elle ouvrit la porte et me poussa à l'intérieur. C'était une cabine de douche. Quand je suis ressorti, elles m'attendaient devant la porte. Le couloir était désert. Elles m'ont ramené à ma chambre et sa copine s'est dirigée vers l'armoire. Elle a sorti le costume et l'a déposé sur le lit. Elle a montré la pendule en indiquant un quart d'heure.
On m'a fait faire le tour des lieux, me montrant le réfectoire, les bureaux, les amphithéâtres, etc. Ca nous a pris toute la matinée. Au sortir du repas, j'ai retrouvé la femme de l'aéroport.
- Monsieur Kendall, les filles m'ont demandé de vous parler du Host Club. C'est un très grand honneur. Ses membres sont triés sur le volet. Elles pensent que vous devez en faire partie.
- Ah bon ? Et pourquoi ?
- Je vous l'ai dit à l'aéroport, elles vous trouvent...
- Mignon ! Mais je ne parle pas Japonnais !
- Ne soyez pas inquiet, la présidente du club parle huit langues européennes. Vous êtes dans une université Japonaise, nos étudiants sont brillants, dit-elle avec un sourire d'aise.
- Pourquoi pas, dites-leur que je les suis !
Le local était aussi grand que le réfectoire. Au fond, une fille splendide, couverte be bijoux et habillée comme une princesse, était assise sur une sorte de trône. Beaucoup d'autres filles, toutes aussi bien fringuées les unes que les autres, étaient assises à même le sol. Deux garçons, dans l'uniforme bleu et noir, se tenaient debout de chaque côté du trône. Les autres se promenaient au milieu des filles, leur adressant des sourires et des mots qui me semblaient être des mots tendres. Les filles réagissaient de leurs petits rires en rougissant. Ca me faisait un drôle d'effet. On aurait dit que les garçons étaient là pour servir les filles.
Mes deux "geisha", m'ont promené dans tout le local, me présentant à toutes les filles, mais pas aux garçons. Je n'ai pas compris tout de suite, mais j'ai remarqué qu'à chaque fois qu'on rencontrait un garçon, elles leur montraient mon dos. Régulièrement, les filles se levaient et allaient parler à la reine. Quand j'eus vu toutes les filles, les miennes m'ont amené devant la "reine".
- Bonjour jeune homme, dit-elle. Vous vous nommez Quentin, je crois. Ces demoiselles vous ont déjà rebaptisé. Elles vous appellent : Kyuto nao shiri.
- Et ça veut dire ?
- Jolies fesses !
- Ah ! ah ! dis-je, c'est charmant !
- Meiji m'a parlé de votre petit jeu, pendant le bain. Je ne comprends pas.
- Quoi donc ?
- Dans votre dossier, il semblerait que vous préfèreriez les garçons !
Cette fois, c'est moi qui ai rougi.
- Meiji ne m'a pas laissé le choix !
- Vous ne vous êtes pas beaucoup défendu !
- Je peux faire les deux !
- Il est important pour moi de le savoir !
- Pourquoi ?
- Connaissez-vous le yaoi ?
- Non !
- je viendrai vous voir ce soir dans votre chambre. Je vous expliquerai !
Le soir même, elle était là, seule. Elle m'attendait devant la porte de ma chambre. Elle resta debout au pied du lit pendant tout l'entretien. Je ne savais pas quelle attitude je devais avoir, jusqu'à ce qu'elle dise :
- Asseyez-vous !
Elle commença :
- Le yaoi, c'est le spectacle de l'amour entre deux hommes, regardé par les femmes. Vous avez peut-être remarqué que vos deux accompagnatrices vous ont montré aux autres garçons, de dos. Ceux-ci sont venus me voir et, j'ai éliminé ceux qui n'aimaient pas vos fesses. Ce soir, vous retournerez au bain, seul. Les autres garçons y seront déjà. Lors de cette réunion, ils pourront vous voir nu. Vous aussi. Parmi ceux qui confirmeront leur choix, vous me désignerez, celui qui vous plaît le plus. Si ça ne vous vient pas naturellement, vous devrez simuler votre amour pour lui. Vous devrez l'embrasser, le caresser et même vous offrir à lui. Et ce, devant les filles ou dans des endroits où les filles pourront vous voir. En échange, ces demoiselles vous offrent des cadeaux, parfois somptueux, parfois même, de l'argent. Les filles d'ici sont la crème de la haute société.
- Maintenant, je comprends pourquoi vous m'avez invité !
- Vous voulez renoncer ?
- Non, pas du tout ! Ca peut être agréable.
Dans la piscine, ils étaient au moins une dizaine dans l'eau. Je me suis dévêtu et les ai rejoint. Quelques uns sont sortis immédiatement. Les autres se sont approchés et m'ont touché partout. Ils m'ont glissé leurs doigts entre les fesses puis dans l'anus. Ensuite, ils ont empoigné ma bite. Un seul est resté dans son coin. Je me suis approché de lui. Il a baissé la tête et m'a souri, l'air timide. Comme je ne les avais pas vu, ils sont sortis de l'eau. Mon timide avait ses mains dans le dos, la tête toujours baissée. Sa bite était d'une bonne taille mais peu épaisse. Nous nous sommes rhabillés et ils sont retournés au club. Moi, je suis retourné dans ma chambre. La présidente m'y attendait.
- Vous avez fait votre choix ?
- Oui !
- Venez avec moi ! Dit-elle. Nous allons dans un endroit d'où nous pourrons les voir, mais pas eux. Ils le savent tous, mais l'honneur est sauf en apparence. Si vous choisissez devant eux, ils seraient humiliés. On ne plaisante pas avec l'honneur au Japon.
- Celui-là ! dis-je en montrant mon timide.
- Il s'appelle Hiro, comme notre vénéré empereur. Je dois vous avertir que votre choix est judicieux et dangereux en même temps.
- Pourquoi ? demandai-je, d'un ton anxieux.
- Rassurez-vous, pas pour vous, pour lui. Je connais ce garçon. Quand il est arrivé ici, il m'a dit qu'il choisirait seulement quand il serait amoureux. Ce garçon vous aime. Si, vous le rejetez, il pourrait se suicider !
- Pourquoi le laisser participer alors ?
- Je n'ai pas le choix, c'est le règlement du Host Club. Il connaissait les règles quand il est arrivé.
La première fois que Hiro m'a embrassé, je me suis dit qu'il fallait jouer le jeu. D'habitude, je n'embrasse pas. Je n'aime pas ça. Seulement là, j'ai été transporté. J'ai senti une vague de chaleur m'envahir et je lui ai rendu son baiser. Hiro l'a senti. Il m'a pris par la main et m'a entraîné jusqu'à la piscine. Il m'a collé contre lui et a entrepris de me déshabiller, lentement, avec beaucoup de douceur. Il me couvrait de baisers sur tous les centimètres carrés de ma peau qu'il découvrait. J'entendais les filles qui s'extasiaient à voix basse, mais je ne les voyaient pas. Je savais qu'elles nous regardaient. Quand Hiro enleva mon slip, ma queue en érection se dressa. Quand il la prit dans sa main, un Aaahhhh !!! étouffé se fit entendre.
Je me suis dégagé et lui ai rendu la pareille. Je l'ai pris dans mes bras, l'ai embrassé dans le cou. Mes mains posées sur ses fesses, je me suis frotté contre son corps. Il était fin mais musclé. Je sentais sa bite dressée contre mon ventre. J'ai glissé mes mains dans son slip et j'ai pétri ses fesses. Sa peau était étrangement douce pour un mâle. On aurait dit Meiji. Il se tortillait de plaisir sous mes caresses. Je me suis mis à genoux et j'ai tiré sur le slip. J'ai léché longuement la bite de Hiro, la main sous ses couilles et dégageant bien ma tête, pour que les filles puissent bien voir. Quand mes lèvres se sont refermées sur le sucre d'orge de Hiro, un mugissement s'est échappé des rangs des filles. Je les imaginais en train de se branler. Lâchant sa queue, j'ai pris une de ses couilles dans la bouche. Pas le moindre poil, on aurait dit un . Sauf que la taille de son instrument prouvait le contraire. J'ai tourné Hiro vers le coin où je pensais que les filles se trouvaient et, très lentement, avec des temps d'arrêt, j'ai fait glisser son slip de ses fesses jusqu'à ses pieds. Je me suis alors allongé sur le sol et j'ai attiré Hiro sur moi. Il frottait sa queue contre la mienne. De mes mains, j'écartais ses fesses, montrant son trou au regard des filles. Emoustillé par ce geste, il se souleva et me retourna, couché sur le côté. Il se coucha derrière moi. Un doigt s'insinua entre mes fesses, tout du long de la raie. Il se pencha, et sa langue prit la place du doigt. Gros soupir chez les filles. La langue pénétra l'anus et le lubrifia quelques secondes. D'un mouvement de ses hanches, il posa sa bite sur mon trou. Il passa un bras autour de mon cou et l'autre autour de ma taille. D'une poussée rectiligne, il se propulsa dans mon cul.
Les filles, sorties de je ne sais où, envahirent la piscine. Elles s'assirent sur le bord du bassin, les jambes dans le vide. Le bassin était vide. Hiro sortit de moi et se releva, m'entraînant avec lui. Me prenant par la main, il descendit dans le bassin. Il me fit mettre à quatre pattes et me chevaucha brutalement.
Ce fut la seule fois. La présidente nous a fait savoir que les filles n'avaient pas apprécié. Elles préféraient le romantique. Plusieurs fois, elles sont venues nous voir faire l'amour. Hiro avait des gestes si tendres, que j'ai fini par succomber. Je le trouvais plus beau encore qu'au début. Ses caresses m'enflammaient. Le contact de ses mains sur mes fesses m'électrisait. J'ai toujours aimé qu'on me déshabille, mais quand c'était lui.
D'après les filles, la plus belle scène d'amour eut lieu dans la chambre de Hiro. Il y avait des photos de moi partout, sur le mur, le bureau...Il m'a pris dans ses bras, m'a serré contre lui. Il m'embrassait dans le cou, caressant mes fesses. A chaque vêtement qu'il me retirait, il passait sa bouche et sa langue pour lécher ma peau. Quand je fus nu, il lécha ma bite et mes couilles, s'appliquant à n'oublier aucune parcelle de peau. Ses lèvres se saisirent de ma bite et glissèrent lentement, se retirant à chaque centimètre pour replonger à chaque fois plus loin. Ma respiration était saccadée et rythmée par la lenteur de ses lèvres sur ma bite. Mes yeux étaient révulsés et mes mains crispées sur ses cheveux. A un moment, pour ne pas tomber en arrière, mes mains se sont posées au sol, dans mon dos. Mes reins étaient arqués, la bite tendue dans la bouche de Hiro.
Il s'est retiré, a pris ma bite dans sa main et m'a branlé. J'ai joui, longtemps. Le sperme jaillissait à grosses gouttes. Hiro m'a relevé et m'a attiré vers le lit. Il m'a allongé sur le ventre. Il m'a léché tout le corps puis s'est allongé sur moi. Il m'a caressé avec le sien puis, s'est laissé glisser sur le côté. Il m'a saisit par les hanches et m'a collé contre lui. J'ai relevé les genoux contre mon torse, pour m'ouvrir à lui. Sa bite s'est ouvert le chemin toute seule. Le gland a écarté mes fesses et a trouvé le petit trou. Me tenant dans ses bras, d'une poussée de ses reins, il s'est enfoncé dans mon cul, avec des gestes tendres. Il glissait lentement entre mes fesses, m'embrassant dans le cou. Il a accéléré le mouvement graduellement. Il a saisi ma queue et l'a serrée dans sa main, retenant mon plaisir. Ses allées et venues très lentes dans mon cul m'ont transporté doucement vers le plaisir. Il a joui abondamment dans mon cul, et moi dans sa main. C'était six mois après mon arrivée. Il s'est penché dans mon cou, et très distinctement, en Français, il a dit :
- Je t'aime...
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