Leslie La33
Leslie LA33 Laure, le journal intime - Au bois avec Louis
Le vendredi suivant comme convenu, je me suis rendue chez Louis.
Je me suis habillée presque pareil que la semaine dernière, sauf que ce soir jai des bas auto-fixant, perchée sur mes escarpins à talons aiguilles, ma jupe courte fendue sur le côté, poitrine nue sous le corsage quasi transparent.
Louis mattendait et nous sommes allés diner dans un restaurant au pont de Neuilly, chez Jarrasse, lécailler de Paris. Nous y avons fort bien diné, bonne cuisine et service impeccable, en sortant Louis me voyant tendue me dit :
- Quavez-vous belle Laure, vous avez lair soucieux ?
- Disons que cela doit être le fait que je ne sais pas ce que vous me réservé pour le restant de la soirée.
- Détendez-vous, ce sera une expérience, ne vous en faites pas, restez dans la confiance.
Il ma emmené à pied prendre un cocktail au Martini bar, non loin du restaurant où nous venions de diner, et latmosphère sympathique de ce bar ma quelque peu détendue.
Puis nous avons pris la voiture et là, il ma demandé de monter à larrière et cest le front appuyé contre la vitre arrière de la voiture que jai regardé la nuit percée çà et là du halo nébuleux des réverbères, ne sachant pas ou Louis me conduisait
Il ny a pas beaucoup de circulation, sur lavenue principale, mais très rapidement jai compris que Louis memmenait vers le bois.
La voiture sentait bon le cuir et le bois ciré, Louis conduisait dune main, sûr de lui sachant où il va, sans un mot. Puis à un moment il a pris une rue transversale et sest arrêté sous la lueur dun réverbère.
Il a jeté un il par la vitre et une jeune femme est sortie de lombre sest immédiatement approchée de la voiture, tandis que Louis descendait la vitre
Une Africaine mince à lexcès, aux jambes interminables sest avancée vers la voiture, avec une robe très courte fendue sur le devant, un corsage largement ouvert sur une petite poitrine et des bottes lui montant aux genoux.
Quand elle sest pliée vers Louis, par la vitre ouverte, son corsage ouvert a dévoilé entièrement sa poitrine libre et nue.
- Alors ma belle, dit Louis comment vas-tu ?
Apparemment une habituée que Louis devait connaitre, car elle lui a répondu :
- Bien mon bébé, je suis occupée pour le moment, repasse dans un moment.
- Ok, je repasse plus tard, dit Louis.
Elle disparue aussitôt dans le sous-bois et Louis démarra pour repartir vers un autre endroit.
Peu de temps après, arrivé certainement à destination, après avoir emprunté une allée jalonnée darbres, il gare sa voiture, dans un chemin de traverse, et il me fait descendre du véhicule, la fraîcheur humide de la végétation me donne le frisson, lendroit semble désert. Je me dis quil va me prendre contre un arbre, me faire lamour sauvagement, voir menculer sans un mot, mais rien nest jamais sûr avec Louis, et comme il reste dans son mutisme, je ne peux que supposer de ce qui va se passer dans un instant
Je frissonne un peu car je dois vous dire que deux jours auparavant, jai passé une nuit dans une débauche inavouable, et au petit matin, je ne savais plus qui jétais, sauf que mon petit trou me rappelait que je venais de subir des sodomies à répétition et que jen avais pris du plaisir.
- Je flippe un peu, dis-je.
- Détends-toi, ce sera cool, dit Louis.
Aussitôt une jeune femme est sortie du sous-bois, enfin une presque jeune femme, nous sommes là en plein milieu du chemin de traverse, javoue que lapparence de cette créature sous la faible lumière des réverbères est incroyable.
Elle est plate, sans poitrine, complètement nue et tellement mince, elle doit être sud-américaine à la vue de sa peau ambrée, je remarque ses longs cheveux noirs tombant sur ses épaules, et le bas de son ventre orné dun sexe male en érection, de dimensions raisonnables, sur un pubis aux poils crépusculaires.
Elle avance dans ma direction, animée dun désir évident et non dissimulé.
Je ne sais pourquoi, mais soudain je ne suis pas très à laise.
- Tu mas amenée une jeune salope ? demande la jeune femme..
- On dirait que bien que oui, réponds Louis.
Louis allume les phares de lAlfa et la jeune transexuelle se met contre un arbre dans le halo de lumière et me fait signe de venir.
Je comprends soudain que les phares vont éclairer la scène en rase-motte, pendant que Louis se branlera en nous regardant.
- Il y bien longtemps que tu ne mas pas amené une jolie et aussi jeune fille, dit la jeune transexuelle.
Elle doit avoir vingt-cinq ans, certainement moins, mais de près, dans la lumière des phares, elle est très mignonne.
La fille mattire à elle et membrasse à pleine bouche, sans réfléchir, je lui rends son baiser et une douce chaleur se fixe dans mon bas-ventre.
Louis est appuyé sur sa portière, nous regardant sans nous quitter des yeux, il soupire, la chemise ouverte et le pantalon aux chevilles, le sexe en main se masturbant.
Elle ne fait rien dautre que de promener ses doigts sur mes mamelons, jouant à les ériger en les pétrissant, je me sens vibrer de plus en plus, puis sécartant un peu de moi, elle mouvre les jambes et me cambre vers lavant, et me dit :
- Tu es trempée, je vais te prendre maintenant !
Cest elle le mâle qui domine, cest pour cela que Louis ma amené ici, pour me voir me faire prendre par une jeune transexuelle.
Aussitôt, elle me place dos à elle et me fait appuyer les mains sur une grosse branche, dans cette position je lui présente mes reins, la tête enfouie entre mes bras, je la sens retrousser ma jupe sur mon dos, je frissonne ne sachant pas ce qui va marriver.
Dans un dernier refus, je tente de mesquiver, mais je sens mon anus palpiter.
- Te voir bouger ainsi, ça maffole ! Me dit-elle.
Linsolente, me caresse du vagin au rectum, mes petites lèvres sont caressées et étirées, et je sens que mon vagin dégouline.
Puis dun coup, je me sens pénétrée, enfin enculée, cest facile, mon anus est prêt et souple. Je sens son ventre cogne r contre mes fesses à chaque fois que son long braquemart me pénètre, les contractions de mon sphincter saccélèrent, et je jouis en étouffant mes cris.
Puis elle se retire et me laisse ainsi
En guise dexcuses, elle me souffle à loreille :
- Il faut que je ménage, la nuit risque dêtre longue
- Rien dautre ? Cest tout ! Dis-je.
- Oui, ça suffit ! Dit Louis, maintenant nous allons retrouver mon amie africaine !
Nous remontons dans lAlfa Roméo, et laissons la jeune transexuelle vaquée à ses occupations nocturnes.
Nous stoppons au même endroit que la première fois où se trouvait lafricaine.
Louis me fait descendre de lAlpha et mentraine dans le sous-bois, nous retrouvons notre africaine, qui tient en main un sexe dhomme, mais de belles dimensions.
- Comme dhabitude, Monsieur Louis ? Demande lafricaine.
- Comme dhabitude ! Dit Louis.
Et à mon étonnement, je vois Louis descendre son pantalon et prendre appui, le cul nu, contre un tronc darbre en se cambrant un maximum.
Sans un mot, lafricaine se place derrière lui et se met à lenculer comme une sauvage, tout va très vite et en mon de cinq minute jentends Louis hurler son plaisir.
Sur le chemin du retour, Louis me dit juste :
- On ne se refait pas !
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!