Leslie La34

Leslie LA34 – Laure, le journal intime - L’esthéticienne, la suite et la fin

Comme il était prévu, je suis retournée dans le salon d’esthétique après avoir pris rendez-vous avec Lisa, la deuxième séance c’est à peu près dérouler comme la première…
Pendant la séance d’épilation, Lisa n’a pas arrêter de me caresser intimement et m’a fait jouir de ses mains, pénétrant de ses doigts mes orifices.
Les autres séances se passèrent de la même façon, et j’avoue que c’est avec plaisir que j’allais retrouver Lisa à chaque fois, qui ne se privait pas de se laisser caresser et jouir elle aussi. En fait, je réunissais en même temps mon désir d’être belle et épilée et celle de jouir avec une femme…

La dernière séance fut fantastique, en fait j’étais sa dernière cliente et le salon n’était rien que pour nous, alors j’ai hurlé mon plaisir sans retenue.
Puis lorsque la séance fut terminée, elle a fermé le salon et m’a emmené boire un verre chez elle, ne pouvant, m’a-t-elle dit, rester plus longtemps à ne pas me faire jouir toute une nuit et de faire de moi son amante.
- Tu me plais trop, me dit-elle, je suis folle de toi !

Dans sa maison, Lisa et moi avons savouré une boisson fraîche sur la terrasse, puis Lisa sans aucune pudeur, après s’être mise debout devant moi, a retiré sa robe et sa culotte, et m’a fait face, nue, en me demandant :
- Je te plais, me trouves-tu désirable ?
- Beaucoup, ai-je répondu, tu es magnifique et désirable.
Je la regardais et sentais de nouveau monter en moi des ondes de plaisir, cette jolie femme allait me rendre folle, avec son pubis entièrement épilé, ses petits seins arrogants qui réclamaient que de l’attention et de la tendresse, à cet instant, je me serais presque ruée sur elle.
- Alors, ne restes pas ainsi, déshabilles-toi aussi.
Je me suis exécutée pour son plus grand plaisir, bien qu’elle connaisse mon corps maintenant dans les moindres recoins et particulièrement mes parties intimes, elle me regardait et savourait de me voir me mettre nue pour elle.


Il faisait bon en ce début d’été, la terrasse close et protégée des regards indiscrets nous donnait toute la liberté pour des ébats torrides…

Debout devant moi, je la vois plaquer sa main sur son abricot tout lisse et constate qu’un doigt a disparu dans son intimité, et Lisa sans pudeur commence à se caresser, avec un peu trop d’application, car je la vois frémir et je sens sa respiration s’accélérer.
Puis se mettant à quatre pattes sur la terrasse, elle me demande de m’occuper de son petit trou, car Lisa entend profiter de mes caresses dans les moindres recoins de son corps.

C’est avec plaisir que je m’exécute, mes doigts glissant du coup avec facilité entre les parois de son cul, elle jouit rapidement, l’action de mes mains faisant des prouesses. Pour me remercier, elle m’embrasse avec fougue et sa main plonge entre mes cuisses et ses doigts se dirigent sans préambules vers mon clitoris.
Nous nous sommes retrouvées allongées sur le sol de la terrasse, tête bêche, pour un soixante-neuf langoureux, la nuit fut soudain emplie des bruits de succion de nos bouches sur nos sexes et de nos gémissements. Nous sommes venues ensembles, nos cuisses se crispant autour de la tête de l’autre. Lisa lapait mon sexe aux lèvres distendues par ses caresses buccales, avide et appliquée.

Puis une douche glacée nous a rafraîchies et nous avons repassé nos robes avant de sortir diner, mais sans culotte afin de nous sentir plus libre...
Nous sommes allées diner dans un restaurant, où nous avons fait notre petit effet…
Puis nous sommes rentrées chez Lisa pour nous aimer et dormir un peu.
J’ai découvert une autre facette de la personnalité de Lisa durant cette nuit, non contente d’être une amante insatiable, elle n’était pas que lesbienne, elle aimait aussi les hommes et m’avoua qu’elle aimait bien de temps à autre pratiquer la domination soft.
Harnachées tour à tour de son gode ceinture, nous nous sommes pénétrées et sodomisées en hurlant de plaisir, alternant les caresses et les pénétrations nous avons jouis une bonne partie de la nuit, avant de sombrer dans les bars l’une de l’autre dans le sommeil.


Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi, nous étions épuisées toutes les deux et les émotions vécues nécessitaient un repos salvateur. Lisa me tira du sommeil en m’embrassant tendrement, puis elle se leva et enleva son harnais, et enfilant ses chaussures à hauts-talons, elle se dirigea nue vers la cuisine pour réparer le petit-déjeuner.
Elle revint peu de temps plus tard quelques instants plus tard en m’annonçant que le petit-déjeuner tait prêt et uniquement vêtues de nos chaussures, nous avons pris notre petit déjeuner, nues sur la terrasse
A peine avions nous terminer de prendre notre petit déjeuner sur la terrasse ombragée, que le grondement sourd d’un quatre-quatre se fit entendre dans le chemin qui montait à la maison.
A cet instant, Lisa me dit :
- J’ai demandé à Pierre et Olivier de passer, hormis le fait que ce soient deux amis, ce sont des amants formidables…
Les deux hommes descendirent du véhicule, arborant un grand sourire, ils devaient se douter qu’ils ne venaient pas que pour une visite de courtoisie.

- Je vois que vous ne vous ennuyez pas ! Dit Olivier nous découvrant nues.
- Ohhh, rassure-toi, dit Lisa, nous avons été bien sages.
- Mais cela va-t-il continuer, dis-je, en jetant un regard en coin à Lisa.
Olivier déposa sur mes lèvres un baiser furtif, sa main glissant sur le bas de mon dos de manière câline et Pierre gratifia Lisa d’un langoureux baiser.
- On vous attendait, dit Lisa, nos corps réclament…
Je surpris le regard de Pierre sur mon intimité et l’effet fut immédiat, ses yeux découvrant ma chatte lisse, il se mit à bander, car une belle bosse se dessina au-travers de son pantalon.
Génial, pensais-je, je ne laisse pas indifférente.
Lisa aussi avait vu que Pierre bandait en me regardant et elle déclara :
- Alors vous êtes venus pour mater ou pour vous occuper de nous ?
Ils comprirent l’allusion de Lisa et se dévêtirent en un instant, pour se retrouver nus et exhiber fièrement leur membre en érection et de belle facture…
Je me levais pour aller déposer un baiser sur les lèvres de chacun d’eux, et je me dirigeais vers la chambre en prenant soin de bien onduler du bassin
Olivier passa sa main au creux des reins de Lisa lorsque celle-ci se leva en disant :
- On te suit !
Dans la chambre, Pierre se colla à moi et me glissa à l’oreille :
- Petite garce, tu aimes allumer, il va falloir assumer maintenant !…
- Ok, vas-y, je n’attends que ça, lui répondis-je.


Olivier embrassa langoureusement Lisa, coller lui aussi contre elle et les deux hommes se déchainèrent sur nous.
Lisa n’avait pas menti, c’était des amants formidables, virils et endurants, ils nous firent l’amour comme des dieux, nous prenant tour à tour de leur membres puissants et virils, nous faisant hurler de plaisir, puis ils nous sodomisèrent avant de s’épancher au fond de nos entrailles et nous laisser pratiquement sans vie, mais heureuses.
Après leur départ, avec Lisa nous avons pris une douche chaude. Elle me savonna tendrement et nous nous enlaçâmes amoureusement. Ce moment de réconfort nous était nécessaire et sans un mot nous comprenions que nous avions vécu quelque chose qui nous rapprochait davantage.

Puis, Lisa m’emmena dans sa chambre pour nous vêtir et elle ne tarda pas à trouver des ensembles très seyants. Elle me tendit une combinaison de résille recouvrant tout mon corps sauf ma tête, ma poitrine et mon entre-jambes. Elle m’aida à l’enfiler et s’habilla d’une guêpière latex noire seins nus et de bas noirs en latex,
Lisa à côté de moi s’était rapprochée de moi et elle commençait à me caresser, elle avait glissé un doigt sur ma fente et elle me masturbait doucement, avec délicatesse et je soupirais d’aise. Puis elle tout en continuant de me branler elle m’a introduit un doigt dans mon sexe maintenant ruisselant et elle m’embrassa en me disant :
- Maintenant je suis ta maîtresse !
Et elle m’entraîna vers une chambre où elle devait pratiquer ses instincts de domination soft.
Il y avait des godemichés, une ceinture permettant de les accrocher à la taille, et d’autres objets certainement destinés au plaisir et une table.

Elle m’allongea dessus et entreprit de me lécher tout le corps. Ensuite elle me mit des bracelets aux chevilles et aux poignets et elle m’attacha à la table et sortit, me laissant seule un peu désemparée...
Elle revint quelques instants et elle me caressa la bouche, ses doigts étaient mouillés, je léchais ses doigts et le goût était celui de sa cyprine, elle avait dû se caresser un peu avant de me donner ses doigts à lécher.

Puis, grimpant sur la table elle s’accroupît au-dessus de ma tête me présentant sa chatte trempée et elle appuya son sexe contre ma bouche. J’ouvris la bouche et je léchais son sexe longuement.
Lisa se releva et se plaça entre mes jambes, elle me malaxait la chatte de la paume de sa main, Puis elle prit un des godemichés et le présenta devant ma fente. J’étais bien mouillée et elle n’eut aucun mal à l’enfoncer en moi.
Ensuite elle me mit un petit vibro dans l’anus et descendit de la table, me laissant ainsi les deux orifices pénétrés en me disant :
- Si tu es sage, je te donnerais du plaisir
- Oh, s’il te plaît ne me laisse pas comme ça !
- Regarde comme je me caresse.
- Oui, mais vient, donnes-moi du plaisir !
- Attends un peu, sois patiente.
- S’il te plaît, ne me laisse pas comme ça je n’en peux plus.
Mais elle me laissa ainsi un bon moment, me laissant la supplier de me faire jouir, elle de son côté se caressait et se faisait jouir, et de l’entendre gémir me rendait folle…

Puis elle se mit en face de moi et après mit autour de sa taille la ceinture à laquelle elle a attaché le gode qu’elle venait de retirer de ma chatte, elle se positionna entre mes jambes largement écartées et me pénétra.
- Tu aimes ça ?
- Oui, Lisa baise-moi !
Et Lisa s’enfonça encore et encore en moi, me tirant une nouvelle fois des cris de plaisir, puis prétextant que ça ne me remplissait pas assez, elle changea de gode et me pénétra avec un plus gros et plus long, celui-là me remplissait bien et je sentais les nervures du gode contre mes parois intimes, je ne fus pas longue à venir et un formidable orgasme me submergea.
Sans changer de position, elle libéra ma chatte et, toujours entre mes jambes, elle présenta le gode contre mon petit trou.
- Non ! Criais-je.
- Alors, quoi, tu n’en as pas envie ?
- Il est trop gros !
- Pas plus que les membres de Pierre et Olivier que tu as acceptée tout à l’heure !
- Alors, oui, encule-moi.
- À fond ?
- Oui à fond, vas-y !
Et Lisa sans ménagement s’enfonça dans mon cul jusqu’à la garde. Je poussais un cri, mais c’était délicieux ! Elle me remplissait et je sentais mon anus complètement dilaté.
Soudain elle s’arrêta et me demanda :
- Tu resteras avec moi ?
- Peut-être.
- Je t’aime et te veux pour moi toute seule !
- Mais je suis à toi !
Elle se déchaina et me fit jouir…

Nous sommes restées ensemble quelques temps, mais c’est elle qui m’a quitté ayant certainement trouvée une plus vicieuse que moi pour assouvir ses désirs.

A suivre…

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