Poséidon

En soulevant de vieux papier dans mon grenier j’ai trouvé de vieux articles de la Gazette d’Olympie, un peu mité (la gazette, pas les articles). Entre un papier sur un sportif oublié depuis longtemps et un autre sur l’acropole (le pole emploi des dieux), je tombe sur celui autrement intéressant de Poséidon. C’était un dôle de coco que ce dieu lo, pardon, la.
Poséidon était un dieu colérique qui se mettait dans des états catastrophiques quand il n’avait pas ce qu’il voulait. Sa mère Rhéa, ne le tient plus. Elle l’expédie en vacance en Hispanie au bord de la mer. Elle lui donne un trident pour qu’il s’amuse à embrocher les soles de la plage : un poisson ne parle pas, ça n’ameutera pas les foules en cas de plaintes.
Poséidon remarque, à son tout jeune âge que les filles du coin ne sont pas coincées. Il veut en profiter. Son manque d’expérience lui vaut de beaux râteaux : à l’époque dire : tu m’plais, on s’couche, ne suffisait pas. Malgré l’époque pas très civilisée, les hispaniques de l’époque aiment un minimum de compliments : t’as vu comme t’es belle ! T’sais j’te kiffe ; ma main serais bien sur ton chou que je farcirais bien s’tu permets. A force de faire le mariole le dieu pas dégrossi trouve pas hasard chaussure à son pied : une sirène du grand large échouées après une forte tempête causée par lui du coté d’Ibiza.
Les sirènes de cette époque étaient comme des femmes avec une queue de poisson dans l’eau, mais sur la plage elles perdaient leur belle queue pour des jambes comme vous et moi (sauf que le mienne sont moches d’après ma femme). Ouah, la belle meuf pense Poséidon, je me la ferais bien. Blouf, pense la sirène, ce mec, je me le paierais bien pour mon quatre heures. Les grands esprits se rencontrent comme a dit Victor Hugo ou son copain Amédée de Savoie.
Les voilà parti s’isoler un peu derrière le peu d’herbe du bord de mer. Pour la sirène le striptease est court : elle ne vit que nue avec deux ou trois algues décoratives sur les seins.

Pour le futur, il porte encore un blouson de cuir, un pantalon pat d’éph, ses sandalettes modes en cuir repoussé. Il se pose sur les fesse, enlève son fatras, se relève tout nu.
Alors là, ATTENTION : une nudité qu’envierai n’importe quel culturiste avec les muscles apparents, des fesses bombées un ventre ultra plat comme passé au fer à repasser. C’est vrais j’oubliais le principal, ce que vous attendiez tous, lecteurs acharnés de récit classés X. Son sexe, oui son sexe, parlons en de son sexe : il était constitué d’un machin sur le bas ventre comme un tuyau surmontant deux boules contenues dans un sac poilu. Quoi, encore ! Voilà : il avait une queue comme tout le monde sauf les dames. Sa queue était dressée en voyant la belle forme de la sirène. Elle aussi était curieuse de la queue, mais elle était trop près, elle me la cachait, voilà, il sort de la cachette. Je vois une bite, une vraie pine maousse. Un gland plus violet que le mien (oui, je me dévoile un peu et alors) Une goutte blanchâtre était au bout. La langue de la sirène passait d’un air gourmand sur ses propres lèvres gourmandes d’avance. (pareil que ma femme)
C’est une bite prête à baiser, comme il existe des machin prêt à cuire, à faire du bien n’importe où. Subjuguée, conquise, soumise d’avance, notre belle sirène est prête à se sacrifier pour l’humanité entière. Elle pensait plutôt à ses miches qui allaient recevoir la bénédiction de la divine bite.
Poséidon va baiser pour la première fois : d’ici un moment il ne sera plus puceau et un dieu puceau ça la marque mal. Ce qu’il ne sait pas encore est que la future madame Poséidon est aussi vierge que lui. Alors elle fait des manières : je ne suis pas celle que vous croyez, ma maman m’a dit de me méfier des gens trop entreprenant, et patati et patata. Poséidon sent la ruse pointer : la nana veut profiter de l’occasion pour se faire ses sous de l’époque (toujours pas de taux de change en euros). Ca ne lui plait pas. Il pique sa crise. Autant je suis opposé aux tempête tropicales, aux tempête en Bretagne, autant là je le comprends, il a raison.
Il va se faire une nana qui accepte et à la fin ferme ses fesses. Mais dans quel monde vit-on ?
Voyant le temps se couvrir Sirène accepte enfin. Elle accepte, se donne, se déchaine. C’est une véritable furie qui prend la queue, qui la serre un peu dans une main, qui lèche la petite goutte avant de branler. Lui se laisse faire en attendant des jours meilleurs. Il arrive, péniblement à la faire cesser la masturbation Il la fiche par terre pour venir sur elle. Aussitôt elle pense qu’il va la déshonorer. Pas tout à fait, il a vu la chatte ouverte. Ca l’écœure un peu alors il va d’abord goûter pour s’assurer que ce n’est pas du poison (on n’est jamais trop prudent) : Il léchouille à peine : c’est délicatement salé comme un fruit de mer, comme une moule. C’est bon agréable, consommable, alors il consomme. Sa langue se pose à peine sur l’abricot (pardon ce n’est pas un fruit de mer) : il éclate en une multitude d’étoiles. Etonné quand même un peu il recommence : les étoiles sortent des yeux de celle qu’il commence à baiser : c’est la manifestation du plaisir commençant. Il lèche longuement : d’une part ça lui sert de déjeuner et d’autre part la femelle en jouit. Sa maman lui avait bien expliqué qu’’une femme c’est fragile, alors il y fait attention. Pourtant arrive le moment où sa queue va exploser en vol. Alors il se met sur le corps de cette donzelle, Elle lui prend la queue, la dirige vers le hangar naturel. Il s’y gare en bougeant beaucoup. Elle laisse faire : il lui fait du bien. Sa cage aime ce genre de dressage. Elle part vers le ciel (pas vers Zeus qui n’y est pour rien dans les agissements de son frère) Elle jouit, jouit encore, dit tout fort. Même les sternes qui patrouillent autour cessent de voler, se posent pour voir le couple. Elle serre tellement son amant qu’elle pourrait l’écrabouiller. Il jouit pile à ce moment là. Même immortel il aurait succombé à l’étranglement.(de nos jours certains aiment se faire à moitié museler pour jouir mieux)
Le plus étonnant est le bruit qu’il fait en éjaculant : comme une cascade d’eau en montagne, plutôt comme le bruit de vagues à l’assaut du rivage (voir la Pointe du Raz)

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