Captive, Mais Pas Soumise

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cécile chez les amazones

Episode 1: Le bus

Il fait toujours beau au Brésil. Tout particulièrement ce jour-là. Cécile, après un vol sans histoires depuis Rio, s’apprêtait à monter dans le bus qui devait l’amener à sa destination finale : un village club en Amazonie, tout près des célèbres chutes de Panarita. Cécile attendait ces vacances depuis longtemps. Son seul regret était que François avait un empêchement de dernière minute pour son boulot et ne devait la rejoindre que dans 2 jours.
La séparation avait eu lieu 5 jours auparavant et avait fait l’objet d’une séance plutôt hot. En y repensant Cécile trouva que ces 2 jours d’attente seraient particulièrement longs, et cela d’autant plus que le club où Cécile se rendait avait une chaude réputation. L’endroit avait été recommandé par un couple d’amis de Cécile et François, un couple libertin ayant décrit l’endroit comme idéal pour un couple en quête de nouveautés. Le club était réservé aux couples et célibataires et l’ambiance était très chaude, tous les excès étant permis.
Le couple d’amis n’avait pas été avare de détails sur leurs expériences dans le club. Cécile et François n’avaient encore jamais participé à une quelconque activité libertine mais, récemment, ils en parlaient entre eux de plus en plus souvent. Cécile fantasmait sur le fait d’être prise par son mari et d’autres hommes en même temps. François se faisait à cette idée petit à petit, et commençait même à trouver cela excitant. Il avait beau la satisfaire, il ne pourrait jamais à lui seul lui faire connaitre ce plaisir ! Aller dans ce club serait l’occasion de tester s’ils étaient prêts à franchir le pas.
Cécile attendait patiemment de monter dans son bus. Elle était sur le tarmac du petit aéroport régional et le bus attendait les vacanciers. Le voyage sur des pistes à travers la forêt devait durer environ 6 heures.


Cécile étudia les autres personnes qui allaient faire le voyage avec elle. Principalement des couples, entre 25 et 50 ans, 3 hommes seuls et 2 filles ensembles. Cécile était la seule femme non accompagnée. Les 2 filles, sœurs jumelles, étaient de très bonne humeur. Elles n’arrêtaient pas de taquiner un des jeunes hommes, un garçon de 20 ans environ, blond, 1m85, américain.
Un organisateur vérifia leurs billets et les fit monter dans le bus, leur attribuant les places. Cécile se retrouva au milieu du bus, près d’une fenêtre. La place à côté d’elle fut allouée au jeune américain et les 2 autres places de l’autre côté de l’allée étaient occupées par les jumelles. Elles étaient blondes et avaient un air de ressemblance avec le jeune homme qu’elles continuaient de martyriser en lui faisant des réflexions sur le fait qu’il allait passer 6 heures près d’une femme et qu’il était trop timide pour en profiter. Le garçon était très gêné et les filles ne cessaient de pouffer de rire. Cécile faisait mine de ne rien remarquer pour ne pas plonger ce jeune garçon, par ailleurs très mignon, encore plus dans l’embarras.

Le bus démarra et le voyage commença.

J’avais très chaud. Ce bus n’avait pas la clim et les fenêtres entrouvertes donnaient un peu d’air mais pas suffisamment. L’air était humide et très vite je transpirai. Heureusement ma tenue était appropriée : une jupe courte et un petit chemisier. Je décidai de me reposer un peu et après avoir incliné mon siège je fermai les yeux. Je n’arrivais pas à dormir, repensant sans cesse à nos discussions avec François et à ce qui nous attendait au club. J’étais très perturbée. Quand nous faisons l’amour, l’idée de partager mon plaisir avec plusieurs hommes m’excitait énormément mais de la à passer à l’acte je ne savais plus ! François semblait prêt, avec des réserves, beaucoup de réserves. Il voulait pouvoir contrôler totalement la situation, pouvoir décider avec qui et comment. Je devais être complètement soumise.
Les autres hommes seraient anonymes, aucune communication avec eux, pas de baiser, pas d’enlacement, aucun signe de tendresse avec un autre homme. François choisirait les hommes. Pour moi ce ne devaient être que des queues. Cela me convenait. Je rêvais uniquement de François me sodomisant pendant qu’une autre queue me remplirait la chatte et que je ferais jaillir dans ma bouche le foutre de plein d’autres bites.
Cela faisait une heure que nous étions partis et nous roulions sur une piste taillée à travers la jungle. Entre la chaleur moite qui régnait dans le bus et mes pensées coquines j’avais vraiment très chaud. Aussi je me mis à l’aise en relevant mes jambes sur le dossier et en tirant ma jupe sur le haut des cuisses, Comme toujours je ne portais qu’un mini string et je remarquai que le jeune homme assis à côté de moi ne pouvait s’empêcher de jeter des regards appuyés sur mon entrejambes. Il avait une vue imprenable sur mon string. Je remarquai aussi que les jumelles continuaient de le taquiner, cette fois-ci en se trémoussant de manière provocatrice et se touchant mutuellement les cuisses ou la poitrine. Elles étaient en maillot de bain 2 pièces qui ne cachait pas grand-chose de leur anatomie. En les écoutant parler je compris que le jeune homme était leur cousin et que c’était leur père, très fortuné, qui leur avait offert à tous les 3 ce voyage pour les 18 ans des jumelles. Livrées à elles-mêmes, elles avaient pris le parti de passer le temps du voyage en émoustillant leur cousin.
Celui-ci, entre les provocations de ses cousines et le spectacle de mon entrecuisses, commençait à être excité, à en croire la bosse qui se formait sous son short et qu’il ne parvenait pas à dissimuler. Piquée au jeu, je gardai les yeux fermés mais je descendis ma main droite entre mes cuisses et je commençai à me caresser lentement. Mon index posé sur le string tripotait mon petit bouton qui commença à gonfler. Le jeune homme tentait en vain de cacher l’énorme érection sous son short mais il était coincé car les jumelles aussi avaient remarqué mon petit manège ainsi que l’érection de leur cousin.
Elles lui lançaient des petites piques et comme celui-ci les ignorait, à leur tour elles commencèrent à se caresser, chacune ayant une main dans le maillot de l’autre. De temps en temps elles sortaient leurs mains et portaient leurs doigts à la bouche pour les lécher de manière provocatrice sans quitter du regard leur cousin.
Je sentais le plaisir monter en moi et j’émis de petits gémissements tout en me caressant de plus en plus vite.
C’est alors que le bus pila brutalement et que je me trouvai plaquée contre le dossier du siège devant moi.

Devant le bus, un énorme tronc barrait la route. Le chauffeur l’ayant vu au dernier moment avait pilé brusquement. Une fois le bus stoppé, et avant que le chauffeur et l’organisateur n’aient eu le temps de réagir, un groupe d’hommes armés firent irruption à l’intérieur du bus. Ils criaient en brésilien et firent sortir sans ménagement le chauffeur et l’organisateur. Ceux-ci se trouvèrent bien vite ligotés, bâillonnés, et balancés sur le côté de la route. D’autres guérilleros firent sortir les passagers du bus, 2 par 2. Chaque couple d’otages se vit intimer l’ordre de se déshabiller totalement et une fois complètement nus un soldat les attacha l’un à l’autre, aux pieds et aux mains face à face. Ainsi ligotés les déplacements devenaient difficiles et chaque couple devait coordonner ses mouvements pour pouvoir avancer. Toute possibilité de s’enfuir était ainsi enlevée.
Cécile se retrouva donc attachée au jeune homme, nus tous les deux. Le jeune homme ne bandait plus du tout. Les guérilleros firent avancer leurs prisonniers vers des Jeeps bâchées qui les attendaient sur un chemin perpendiculaire. Cécile s’installa au fond de la Jeep, face au jeune homme. Ainsi attachés ils étaient obligés de se faire face mains et pieds liés. Les jumelles prirent place juste à côté d’eux puis deux soldats s’installèrent face à face sur les deux dernières places, fusil mitrailleur bien en évidence. Rapidement les véhicules se mirent en branle.


Episode 2 : la Jeep

J’avais peur, mais pas trop. Jusqu’alors les soldats n’avaient pas fait preuve de brutalité. Nous avions entendu parler de rebelles dans la région mais là ils étaient vraiment loin de leur base. Nous avions été prévenus qu’en cas de prise d’otages nous ne devions pas résister. Je n’en avais aucunement l’intention. J’étais persuadée d’être libérée rapidement.
Les jumelles, par contre, étaient terrorisées. Elles se tenaient serrées l’une contre l’autre en essayant de cacher leur nudité. Les deux soldats ricanaient et n’arrêtaient pas de les regarder. Ils discutèrent entre eux et au bout d’une demi-heure l’un d’eux se leva dans ‘espace confiné de la Jeep et se positionna debout au milieu des jumelles. Il baissa la braguette de son short kaki et agita sa queue encore flasque devant la figure d’une des jumelles. Le message était clair mais la jeune fille se recula au maximum et ferma la bouche. Les soldats se mirent à rire puis celui qui était resté assis appuya le fusil sur la tempe de l’autre sœur et fit comprendre à la jeune fille de s’exécuter sous peine de voir sa sœur exécutée.
Elle se mit à sangloter mais finalement entrouvrit la bouche et l’approcha de la queue du soldat. Celui-ci immédiatement fourra sa bite dans la bouche de la jeune femme, lui attrapa les cheveux et commença un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. Il lui tenait fortement les cheveux et la força à engloutir la totalité de sa queue. La fille s’étouffait et voulut ressortir cette bite plantée profond dans sa gorge mais le soldat lui maintenait la tête fermement. Finalement elle comprit qu’elle ne faisait qu’empirer les choses et elle arrêta de résister. Au contraire, elle s’activa comme si elle voulait que l’homme en finisse au plus tôt. Elle se mit à sucer goulument cette bite maintenant bien dure.
Le soldat haletait et je voyais qu’il allait bientôt jouir. Son compère n’en perdait pas une miette. D’une main il tenait son arme toujours pointée sur la sœur et de l’autre main il astiquait sa queue qu’il avait sortie de son short.
Malgré la peur sous-jacente, la situation commençait à m’exciter. J’avais toujours les mains attachées à celles du jeune homme assis devant moi, et, fatigués de les tenir en l’air, nous avions fini par les poser sur mes cuisses, celles du jeune homme reposant sur le haut de mes genoux. Sentir ces mains sur moi tout en regardant le premier soldat se faire sucer la bite et le deuxième soldat se branler vigoureusement, me donnait des envies et je sentais ma chatte qui commençait à mouiller. Bien sûr je restai immobile à ma place mais j’avais légèrement écarté mes cuisses et, étant complètement nue, le jeune homme avait une vue imprenable sur ma chatte humide. Lui aussi, excité à la fois par la scène entre sa cousine et le soldat et par la vision de mon entrecuisses, commençait à bander légèrement.
Soudainement, le soldat sortit sa bite de la bouche de la blonde, et éjacula. Un jet de sperme atterrit sur les joues et les lèvres de la fille. D’autres jets de sperme finirent sur sa poitrine. Une fois soulagé le soldat enfonça à nouveau sa queue dans la bouche de la blonde. Celle-ci ne voulait pas avaler. Peut-être était-ce la première fois pour elle. Le soldat lui secoua la tête avec brutalité jusqu'à ce qu’elle finisse par abdiquer et par lui lécher totalement la bite. Le soldat se retira et remit sa queue maintenant flasque dans son short. Il se recula et admira le spectacle de cette jolie blonde avec du foutre qui lui coulait sur le visage, sur le cou, et sur les seins.
L’autre soldat était lui aussi excité par la vue qu’offrait la jumelle souillée de sperme. Avec la pointe de sa mitraillette il força la seconde jumelle à se lever et à s’agenouiller devant sa sœur. Il lui cria un ordre en brésilien mais la fille ne comprenait pas. Il lui tira alors la tête fortement par les cheveux et la poussa contre sa sœur jusque sa bouche soit collée contre sa poitrine. Il cria à nouveau et cette fois la jeune fille comprit et entama de lécher la peau de sa sœur en commençant par les seins qui dégoulinaient de foutre. Elle semblait moins gênée que sa sœur et avalait le sperme en donnant l’impression d’aimer ça.
Le premier soldat gardait toujours son arme braquée vers les deux filles mais le deuxième finit par baisser complétement son short et il se positionna derrière la fille à genoux en train de lécher le foutre sur le corps de sa sœur. Il lui écarta brutalement les fesses. Je pouvais apercevoir la fine toison blonde autour de la fente très serrée de la jeune fille. Son petit trou du cul aussi était bien visible avec les fesses ainsi écartées. Je pensai alors à François qui adore me voir les fesses très écartées et mon petit trou bien ouvert. Cela lui procure une envie irrésistible de me sodomiser.
Le soldat n’était pas attiré par le cul de la blonde mais par sa chatte. Il essaya de lui enfoncer un doigt mais la fille résista et tourna la tête vers lui en criant « No ! Please no ! ». Le soldat la gifla alors violemment. La fille se mit à pleurer mais arrêta de crier et de résister. Le soldat lui appliqua à nouveau le visage contre sa sœur, sur la bouche d’où perlait encore un peu de foutre. Les sœurs se mirent à s’embrasser, s’enfonçant la langue dans la bouche.
Le soldat cracha alors dans ses mains et se frotta la queue pour l’enduire de salive. Sa queue était de taille moyenne mais bien raide. Avec deux doigts il écarta légèrement la fente de la fille, lui maintenant le bassin bien haut, et il positionna son gland à l’entrée de l’orifice. Son compère ricanait et l’encourageait. Les sœurs continuaient de s’embrasser et se serraient fortement l’une contre l’autre comme pour se protéger de l’inévitable. Le cousin lui aussi regardait la scène mais il savait qu’il ne pourrait pas empêcher le viol de sa cousine. Il me murmura alors « she’s still a virgin ! ».
Le soldat avait du mal à faire pénétrer sa queue tellement la fille était étroite. Il cracha à nouveau dans ses mains et mouilla sa bite et la chatte d la fille. Il plaça son gland au bord des petites lèvres et s’enfonça d’un grand coup. La fille poussa un cri de douleur et sa sœur se mit à lui chuchoter doucement que tout irait bien. Le soldat resta ainsi un court moment la verge enfoncée jusqu’aux poils. Il ressortit sa queue et sembla amusé par la vue d’un peu de sang sur son gland, puis il se mit à lui bourrer la chatte sans ménagement à grands coups de boutoir.
Il ne mit pas longtemps à jouir et il éjacula dans la chatte de la jeune blonde. Il sortit sa queue, fit rasseoir la fille sur le banc de la Jeep et approcha sa bite encore toute gluante de sperme et de sang de la bouche de la première jumelle. Celle-ci, maintenant totalement soumise, la prit dans sa bouche et la suça jusqu’à ce qu’elle soit complétement nettoyée. Satisfait, le soldat remonta son short et s’assit à nouveau sur son siège à côté de la fille qu’il venait de violer, en tenant son arme braquée sur nous.
Le premier soldat était toujours debout et il avait remarqué que le spectacle ne nous avait pas laissés indifférents, ni le jeune homme ni moi. Avec la pointe de la mitraillette il me montra le bas-ventre du cousin et me baragouina en brésilien. Je compris vite ce qu’il attendait de moi et ce n’était pas pour me déplaire.
A mon tour je me mis à genoux devant le jeune homme et j’avançai mes mains vers son sexe. Lentement je posai mes mains sur le haut de ses cuisses et les fis glisser jusqu’aux testicules que je me mis à palper doucement, les faisant rouler l’un après l’autre dans mes mains. Puis, je remontai mes doigts pour lui agripper le bas de la verge que je me mis à serrer fortement.
Il bandait comme un cerf et ma main n’arrivait pas à en faire le tour. Il était superbement bien monté. Les soldats appréciaient le spectacle que je leur offrais et me laissaient tranquille à mener les opérations comme j’en avais envie. Les jumelles semblaient remises de leurs ébats s et avaient les yeux fixés sur la queue de leur cousin comme hypnotisées. J’avais déjà vu de belles et grosses queues, mais uniquement dans des films porno et une fois dans un live show à Amsterdam. Je n’avais connu que François et son pénis était d’une taille très honorable mais pas dans la même catégorie que celui qui était maintenant à quelques centimètres de mes lèvres
Avec mes deux mains je me mis à le branler lentement car je ne voulais pas qu’il jouisse trop vite. J’étais décidée à profiter pleinement de cette grosse bite. Dans nos fantasmes avec François je lui décrivais souvent comment je sucerais une bite. Cette fois-ci c’était pour de vrai.
Je lui décalottai complètement le gland et je lui tins la queue, juste à la base du gland, en serrant bien fort. Son gland était énorme, rouge, turgescent. J’approchai ma bouche. Avec la pointe de la langue je lui touchai le bout du gland puis, toujours doucement, je laissai ma langue faire des petits cercles sur toute la surface de son gland. Sa verge était si dure dans mes mains et j’avais tant envie de la prendre toute entière dans ma bouche, mais je continuai à le titiller avec la pointe humide de ma langue, m’attaquant tout d’abord au petit frein sous le gland puis à tout le tour du gland.
Sa verge était bien dure et lisse et ma langue descendit doucement vers les testicules. Apres 2 ou 3 coups de langue bien appuyés, je pris une de ses couilles toute entière dans ma bouche et je me mis à la sucer. Je passai ainsi d’une couille à l’autre puis je me relevai, j’agrippai sa verge à deux mains, j’ouvris mes lèvres bien grandes et n’en pouvant plus j’enfonçai cette énorme bite dans ma gorge.
Je n’arrivais à prendre que la moitié de la longueur mais je sentais le gland toucher la paroi au fond de ma gorge. Je restai un moment ainsi, avec cette grosse queue bien dure qui me remplissait la bouche, en tournant ma langue autour de sa verge. Avec mes mains je lui pétrissais sans cesse les couilles. Puis je me mis à lui sucer la queue de plus en plus vite, du gland jusqu’au maximum de ce que je pouvais prendre, jusqu’à m’.
J’aimais cette sensation d’avoir la bouche totalement remplie, de sentir sa queue durcir sous ma langue. Je sentais sa queue palpiter et je savais qu’il allait bientôt éjaculer. Je serrai fort sa queue au fond de ma gorge avec mes lèvres, et dans le même temps je serrai la base de sa verge. Je sentis avec mes doigts qu’il jouissait et je m’enfonçai encore plus profond sur sa bite. Je sentis ma chatte se mettre à mouiller au même moment où il lâcha le premier jet de foutre tout au fond de ma gorge. J’avalai cette première gorgée, étrangement sucrée, et je me mis à le sucer comme une folle pendant qu’il inondait l’intérieur de ma gorge de puissants jets de sperme. J’adorais le gout de tout ce foutre dans ma bouche. Je gardai sa bite dans ma bouche et je me mis à me caresser furieusement mon petit bouton. J’eus rapidement un orgasme. Je finis d’avaler tout le foutre et de lécher son énorme bite jusqu’à la dernière goutte.
Je me relevai alors et me rassis au fond de mon siège, en continuant de me caresser doucement. Les mains du jeune homme, toujours attachées aux miennes par les poignets se trouvèrent ainsi posées sur l’intérieur de mes cuisses qui étaient trempées de mouille. Le jeune homme n’osait pas me regarder. Les jumelles continuaient de fixer la queue de leur cousin qui avait maintenant débandé, mais sa queue était encore d’une belle taille et reposait sur le haut de sa cuisse droite.

C’est alors que la Jeep s’arrêta brusquement !...

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