Les Aventures D'Amélie 3

- Que c'est beau ! je crois que nous allons encore améliorer nos relations… fit il.

Il retira rapidement sa chemise puis s'asseyant sur le bord du lit il posa son pantalon et son slip d'un même mouvement libérant une verge déjà dressée. Voyant les dimensions généreuses de la virilité de son cousin Amélie fut troublée. En se frottant à lui, elle avait bien senti la bosse dans le pantalon mais elle n'avait pas clairement imaginé l'objet…S'asseyant sur le lit, elle enleva son chemisier et dégrafa son soutien gorge pour offrir sa poitrine marmoréenne aux regards de son cousin.
S'allongeant sur la couette, celui ci prit appui sur un coude et se pencha pour agacer les pointes dressées des seins offerts, caressa les aréoles étroites et claires faisant courir la pointe de ses doigts agiles sur leur bordure puis à nouveau sur le téton durci.
Amélie se cambra, elle ferma les yeux et se mit à respirer plus fort. Bruno posa sa bouche sur un de sein dressés et commença à le téter doucement en titillant la pointe dure de sa langue experte. Amélie la tête renversée sur le traversin gémissait doucement.
Lentement, Bruno fit descendre sa main sur le ventre de la jeune fille. Les doigts caressant délicatement la peau douce faisaient naitre des vagues de frissons portant l'excitation de celle-ci à son extrême. Relevant la jupe, il glissa sa main entre les cuisses et remonta vers le fin duvet du pubis. Amélie se cambra à nouveau et gémit plus fort lorsque les doigts touchèrent sa féminité. Écartant largement les jambes elle releva les genoux offrant une vue imprenable sur sa chatte entrouverte. Un doigt tendu de chaque côté des lèvres intimes le garçon commença ses va et vient, de temps à autre il appuyait sa paume sur le clitoris tendu arrachant des gémissements profond à sa cousine. Au comble de sa propre excitation il souffla à l'oreille de la jeune fille :
- Branle moi, j'en peux plus…
Celle-ci les yeux toujours fermés saisit la verge dure et commença le mouvement.

Elle sentait Les mains du garçon qui couraient sur son corps et cette grosse pine dans sa main lui faisait bouillir le sang. Elle sentait la virilité du jeune mâle qui vibrait entre ses doigts et pensant qu'il n'allait pas tarder à jouir, elle changea de position pour pouvoir flatter les couilles de son autre main. Bruno profita du mouvement pour changer lui aussi de position et se plaçant la tête vers le pied du lit, il attira la fille sur lui et commença à lui lécher la vulve. Amélie sentant la langue pointue glisser sur son clitoris fut secouée par un frisson lui remontant le long de la colonne vertébrale. Écartant à nouveau les jambes autant qu'il lui était possible elle bascula le bassin et plaqua ses lèvres intimes sur la bouche du garçon.
Bruno sentait la cyprine de la fille lui couler dans la bouche, d'une main il guida le visage de sa partenaire vers son entre cuisse et de l'autre il introduisit son membre démesurément tendu dans la bouche entrouverte.
Amélie se mit à sucer la grosse queue d'abord timidement puis peu à peu elle l'emboucha complètement en caressant doucement les bourses gonflées de sève. Bruno ondulait du bassin baisant la bouche généreuse. Sentant qu'il ne pourrait pas résister longtemps, il accéléra le rythme de sa langue arrachant des grognements des plus en plus sonores à sa partenaire. La jeune fille accéléra elle aussi le tempo de sa langue qui caressait le gland lisse. Brusquement elle se tétanisa et jouit sur la bouche du jeune homme. Au bout de quelques secondes, ayant repris son souffle, elle recommença sa fellation sur un rythme rapide accompagnant les mouvements de sa main, malaxant en souplesse les couilles de son cousin. À son tour Bruno se crispa dans un soupir, éjaculant abondamment dans la bouche de sa partenaire. Celle-ci surprise recula la tête et reçut un autre jet de sperme en plein visage.
Le jeune homme changeant de position se couchant contre sa suceuse et après l'avoir embrassée lui dit tendrement :
- Merci Lilie, sans toi mes couilles auraient éclaté.
La jeune fille prit un air malicieux et lui répondit :
- Tu m'as donné du plaisir, je te devais bien ça…
Se collant à lui elle ajouta :
- C'est bon de te sentir contre moi, regarde, mes tétons sont encore tout dressés…
Enlaçant sa compagne Bruno roula sur elle en l'embrassant à pleine bouche. Amélie encercla la taille du garçon dans ses jambes et dit d'une voix rauque :
- J'ai encore envie… et tu dois avoir envie toi aussi, je sens ton sexe tout dur contre mon ventre…
Le garçon planta son regard dans les yeux de la jeune fille et demanda :
- Tu te sens prête pour que je te fasse l'amour ?
- Oui, prends moi… il y a trop longtemps que j'en ai envie…
Bruno commença des mouvements de va et vient sur le ventre de sa partenaire, puis glissant un peu vers le pied du lit il frotta son érection contre la vulve humide de sa cousine qui releva ses genoux, enserrant toujours la taille du jeune mâle entre ses cuisses.
Lorsque le souffle de sa partenaire devint plus profond, le garçon présenta son gland gonflé entre les lèvres intimes et poussa lentement pour la pénétrer. Dès que son gland fut rentré, il sentit une résistance et la fille se crispa un peu. Il se retira et refit quelques mini pénétrations faisant monter encore l'excitation de sa partenaire. Brusquement elle éperonna ses fesses le faisant pénétrer plus profondément.
Comme elle avait poussé un petit cri il s'était tétanisé, mais elle éperonna à nouveau les fesses musclées en l'encourageant de la voix :
- Viens ! encore… encore… oui…
Le garçon la pénétra profondément et accéléra progressivement le mouvement.
La jeune femme gémissait, mais cette fois, il se rendit compte que la douleur n'avait plus rien à y voir. La fille talonnait frénétiquement ses fesses jusqu'au moment où elle l'enserra violemment de ses bras et de ses jambes en poussant un rugissement sonore. Sentant les spasmes puissants du sexe de sa cousine, Bruno fit deux ou trois pénétrations lentes avant d'être emporté à son tour par un violent orgasme sans pouvoir se retirer.
Haletant, il roula sur le côté entraînant la jeune femme encore collée à lui comme si sa vie en dépendait.
Submergés par leurs émotions, les jeunes gens s'endormirent rapidement, leurs sexes toujours intimement imbriqués…