Quentin Kendall,De Retour Du Japon, Mari..Ée À Carole.
L'avion de la compagnie ANA vient se ranger dans l'aérogare de Roissy. Carole m'attend à la descente.
- Quentin, viens vite ! me dit-elle. J'ai loué une chambre au "Bambou" !
- Pourquoi faire ?
- J'ai un nouveau jouet pour toi...dit-elle en passant sa main sur mon cul. Il m'a manqué !
- Laisse-moi arriver !
Arrivés à la porte de la chambre, elle m'a laissé entrer le premier. La porte à peine refermée, elle s'est collée dans mon dos, a dégrafé mon pantalon et a arraché mon slip. Elle m'a poussé vers le lit et m'a renversé dessus. Sous sa robe, elle avait déjà revêtu son article vestimentaire préféré, une ceinture gode. De son sac à main, elle sortit une bite factice. Elle prit ma main et y glissa l'engin.
- Touches, on dirait un vrai !
Elle lubrifia l'engin et mon trou du cul. Elle écarta mes jambes, se mit à genoux et prit ma bite entre ses dents.
- Non, dit-elle en se relevant. Mieux que ça ! Je sais ce que tu aimes et tu sais ce que je veux.
Je me suis relevé et me suis rhabillé. Pendant ce temps-là, Carole s'était dévêtue. Elle enfila un pantalon par dessus l'objet préalablement nettoyé. A la place de son chemisier, elle passa un t-shirt bleu marine avec une ancre dorée. Elle avait déposé sur le lit un costume que je reconnus tout de suite. Elle voulait inverser les rôles. La vie est drôle tout de même. Carole rêvait d'être un homme, et moi, j'étais sûr d'être une fille.
Elle s'est approchée de moi, et m'a collé contre elle. Les cheveux ébouriffés, elle ressemblait maintenant à un garçon. Elle m'a embrassé dans le cou, pétrissant mes fesses. Elle me caressait le cul en embrassant ma poitrine. Ses doigts dégrafaient ma chemise tandis que ses lèvres déposaient des baisers mouillés sur ma peau. Le pantalon rejoignit la chemise.
- Va t'habiller, maintenant !
Il n'y avait pas de string. J'ai passé le t-shirt rose, les collants blancs et le kilt à carreaux rouges. Le fond de teint, l'eye-liner et le tube de rouge ont complété l'illusion. J'ai enfilé les longues bottes blanches pour donner la touche finale au tableau. Je suis retourné dans la chambre. Je ne m'attendais pas à ce qui s'est passé.
Carole s'est approchée de moi et a passé sa main sous le kilt, et l'a posée sur ma fesse. Elle a soulevé le t-shirt et m'a embrassé. Soudain, elle m'a administré une gifle magistrale.
- Salope, me dit-elle, t'es une vraie pute !
Elle m'a tordu la main pour me faire mettre à genoux. Elle a ouvert la braguette de son pantalon et a sorti la bite factice. Elle m'a empoigné par les cheveux et me tendant l'engin, elle a dit d'un ton menaçant :
- Suces pouffiasse !
J'ai pris le gode dans ma bouche. Carole posa ses mains sur ma tête et ondula des hanches pour faire glisser la bite factice entre mes lèvres. L'objet était assez gros pour distendre mes lèvres. Je voyais l'excitation sur son visage.
Elle me releva et me poussa vers le lit. Plaqué sur la couverture, elle rabattit le kilt sur mes reins, découvrant mes fesses.
- Salope, dit-elle, t'as même pas de culotte !
Elle dégagea la ceinture du pantalon et m'en cingla deux ou trois coups sur les fesses. Le pantalon sur les chaussures, elle s'approcha de moi et écarta mes fesses. Elle m'enfonça le gode dans le cul.
- T'aimes ça, hein, salope ! dit-elle.
Elle m'a limé un bon bout de temps et s'est allongée sur moi. Nous sommes restés dans cette position, une bonne demi-heure.
Quand elle s'est relevée, elle était vidée. Je pensais qu'elle simulait encore, mais quand elle a roulé sur le côté, j'ai vu qu'elle avait vraiment pris son pied.
J'ai encore attendu un long moment avant qu'elle reprenne ses esprits. Quand elle s'est levée, elle m'a regardé. Un immense sourire de bonheur illuminait son visage. Elle se précipita vers moi et se pendant à mon cou, elle m'a embrassée, a glissé sa tête dans mon cou et je l'ai sentie qui sanglotait.
- Eh ben ! Qu'est-ce qui t'arrive ? Pourquoi tu pleures ?
- Tu peux pas comprendre ! Je peux être un homme ! Quentin, je vais me faire opérer !
- Quand tu seras décidée, murmurais-je, nous irons ensemble !
- Tu veux te faire opérer aussi ? s'écria-t-elle.
- Oui, et peut-être même te demander en mariage.
Elle m'a serré encore plus fort et dans mon cou, elle a pleuré ces mots :
- Je t'aime. Si tu savais depuis combien de temps je t'attends....
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