Au Marché De Djerba :

Salut tout le monde ! Je m’appelle Patricia, 56 ans, Française. Je vous raconte ce qu'il m'est arrivé au marché à Djerba:
Nous allons, mon mari et moi, au marché de la seule "ville" de Djerba. Il faisait très chaud et j'étais habillée légèrement: une robe de coton, soutif et string. Je me passe souvent de soutif, mais pas pour "sortir" car je n'ai plus mes seins de jeune et je les trouve trop tombants!
Quoiqu'il en soit, la chaleur et la promiscuité m'excitaient et je prenais beaucoup de plaisir à flâner au milieu de cette foule et sans chercher à éviter les contacts et les frottements plus ou moins volontaires dans la cohue!
J'arrive vers un vendeur de vêtements qui propose des robes exposées sur un portant et je regarde par curiosité... Quelques unes me plaisent. Rapidement, le vendeur, environ 30 ans, plutôt beau mec, s'approche et me fait l'article:
"Attends, je te trouve ta taille... En voilà trois, tu les essayes et si tu les prends, je te fais un prix!"
Je n'avais pas besoin de trois robes mais deux d'entre elles me plaisaient bien et le prix affiché étant déjà dérisoire, je ne risquais pas grand chose...
Il m'indiqua la cabine d'essayage située sous le grand auvent de toile où étaient exposés d'autres vêtements. En fait la cabine était une simple tringle et un rideau d'environ un mètre de large dans un coin!
J'ôtais ma robe quand mon mari, qui se trouvait près de moi, me dit: "Regarde, tu as un admirateur..."
Je me tournai et vis un vieux, qui était assis à l'ombre et qui me regardait en souriant!
"Eh! Ca ne va pas! Je ne vais pas me déshabiller ici!
"T'inquiètes pas! Tu en montres autant à la plage, et je vais l'occuper..."
Voilà mon mari et l'ancien qui se mettent à discuter comme de vieux amis!
Entretemps, mon vendeur revient et, en ouvrant le rideau:
"Alors Madame, elle te va? Oh, excuse, t'as pas fini!" Et il repart...
Moi, énervée, je tire le rideau sèchement et la tringle tombe!
Alerté par le bruit, le vendeur revient, accompagné d'un jeune d'une vingtaine d'années.

..
Je me tourne vers Jean, mon mari pour lui demander de l'aide, mais il plaisante avec son nouvel ami et me dit:
"T'inquiètes pas! Tu ne risques rien..."
Du coup, ça m'a complètement désinhibée et je me suis mise à enfiler la première robe, un peu juste en haut, ce qu'a remarqué tout de suite mon vendeur: "Tu devrais essayer la taille au dessus..." Il crie un prénom et un jeune d'environ 14 ans surgit aussitôt et va chercher la "taille au dessus"...
J'enlève donc ma robe, ou plutôt, j'essaie de l'enlever car, comme elle me sert au niveau de la poitrine, je me retrouve avec la robe retournée sur la tête!
A ce moment là, je sens les mains de mon vendeur et de son ami qui, sans doute encouragés par la passivité de mon mari, m'aident à me débarrasser de la robe... Tout en laissant traîner leurs mains sur mes fesses, mes seins. Je dois dire que me retrouver piégée de la sorte m'excitait énormément! Je sentais ma chatte qui coulait...
La robe enfin enlevée, mon soutif était remonté d'un côté et je le remis en place en prenant tout mon temps...
La taille au dessus allait beaucoup mieux! La deuxième robe allait bien aussi...
Comme la dernière ne me plaisait pas, le vendeur m'en proposa une autre, nouée derrière la nuque, et qui dégageait bien le dos...
Elle m'allait bien mais le vendeur me dit: "Ca va pas avec le soutien gorge, il faut que tu l'enlèves!"
Un peu indécise, je me tourne vers mon mari, mais il n'était plus là!
Alors, je l'ai enlevé, doucement, aidée par le vendeur qui ne se gênait pas pour me caresser les seins...
"Enlèves ta culotte" me dit-il en me pelotant les fesses...
Je ne sais pas ce que j'aurais fait car surgit une femme assez âgée qui se mit à crier en arabe et se disputer avec le vendeur (son fils?).
Le charme était rompu et je partis avec mes robes qui ne m'avaient pas coûté très cher et m'avaient donné bien du plaisir!
Comme par hasard, mon mari était tout à côté et je pense qu'il devait regarder discrètement car il était très excité à notre retour à l'hôtel!