Leslie La36

Leslie LA36 – Laure, le journal intime - Le papillon, suite et fin

À poil dans mon lit, mon petit papillon placé au bon endroit, je commençais à vibrer de tout mon corps, il était, depuis une semaine, devenu maintenant partie intégrante de mon corps.
J’allais au cours avec, dans la rue je prenais plaisir de le savoir collé contre mon intimité et pouvoir le mettre à vibrer n’importe quand, ah si les passants savaient…
Mais là, ce matin je me donnais du plaisir, seule et nue dans mon lit, je commençais à partir et dans mon délire j’ai saisi mon petit gode et je me suis sodomisée avec, l’effet fut que quelques minutes plus tard, je gisais en travers du lit complètement anéantie par l’orgasme que je venais de me donner.

Je revenais au calme quand je me suis souvenue de ma petite vendeuse, j’ai aussitôt cherché dans mon sac et après l’avoir trouvé, je lui ai téléphoné.
Après deux sonneries, elle a décroché en disant :
- L’univers des plaisirs, bonjour, Léa à votre service.
- Bonjour, je suis la jeune fille au papillon de la semaine dernière, vous vous souvenez de moi ?
- Bien-sûr que je me souviens de vous, ce n’est pas tous les jours que je vends cet article et en plus à une belle jeune fille comme vous ça ne s’oublie pas facilement.
- Merci du compliment…
- Tu voudrais me revoir ? Me demanda Léa.
- Je crois que oui.
- Alors attends-moi ce soir à dix-neuf heures devant le magasin.
- Ok, je serais là.
- A ce soir.
Et elle raccroche, me laissant dans u état pas possible.

Je me suis rallongée et j’ai remis en route le papillon, mais j’ai pensé que si je prenais le miroir de la salle de bains, je le verrais faire ses effets sur moi et ma chatte couler de désir.
La gorge sèche, je me relève et vais décrocher le miroir de la salle de bains, je me réinstalle dans le lit jambes écartées, les pieds posés sur le mur avec le miroir au milieu.


Puis je remets en route le petit papillon, en vitesse douce et commence par me caresser les seins, puis ma main droite après avoir augmenté les vibrations, se dirige par l’arrière de mon entrejambe, les cuisses bien ouvertes, sur le dos et commence à me caresser l’anus de mon doigt.
Le gode sera si nécessaire pour plus tard…
Pour l’instant je commence à partir sous l’effet du papillon qui me ravage le clitoris et mon doigt que s’enfonce dans mon œillet.

Maintenant, après avoir pris mon autre gode et en avoir sucé le gland, pour l’enduire de salive, j’enlève le papillon et positionne le gode à l’entrée de mon vagin.
Je pousse doucement le gode en moi et ne ressens aucune résistance, il rentre avec une facilité déconcertante, je dois être bien lubrifiée.
C’est moins gros que certain membre de mes amants et moins doux aussi, mais c’est mieux que rien, en tout cas cela va me faire patienter en attendant de retrouver Léa.

Moins de sensation lors de la pénétration. C’est un engin pour les petites filles, j’aurai dû prendre un plus gros, taille adulte.
Je creuse le ventre et je continue de l’enfoncer doucement dans ma chatte toute humide d’excitation. La sensation devient autre, très agréable. Je me pénètre très profondément, c’est trop bon.

Je commence à donner au gode des petits mouvements synchronisés avec des ondulations de mon bassin, les va-et-vient me font du bien, mais peut-être trop en attente de retrouver Léa, je n’arrive pas à accéder au plaisir.
J’ai beau me ramoner le vagin, rien ne monte dans mes reins, alors je repositionne le papillon sur mon clitoris et je m’enfonce le gode dans l’anus, les deux ensemble, là c’est… divin !
Je sens que ça monte, oui, ça vient, ça monte, ça monte, je sens que je vais exploser…
« Ohhh, oui… »
Je me cambre, puis je me contracte sous le spasme. Je me recroqueville sur le gode que je continue de remuer dans mon fondement, tandis que le papillon me ravage le clito, et plusieurs vagues de plaisir déferlent, s’enchaînent décrescendo…
Oh ! Punaise… Avec ce truc, c’est un plus.
C’est la jouissance assurée.

Plus tard, un peu calmée, je file boire un grand verre d’eau fraiche à la cuisine pour me remettre les idées en place.
Pour m’adonner de la sorte aux plaisirs solitaires, suis-je déjà une fille perdue comme le dirait ma chère mère qui, elle, se perd quotidiennement dans le plaisir.
Une journée sans orgasme est une journée de perdue, me dit-elle souvent, voilà la vérité, et faire l’amour avec soi-même, ce n’est pas un mal, si nous avons un clitoris, organe uniquement dédié au plaisir, c’est pour en jouir et pourquoi s’en priver…

Quand j’ai retrouvée Léa, elle était belle comme un cœur, elle m’a directement embrassé sur la bouche, sans forcer mes lèvres, puis me, prenant par le bras elle m’a emmené boire un verre sur la terrasse d’un café voisin.
Une fois installée elle m’a demandé :
- Tu portes le papillon ?
- Oui, dis-je, d’ailleurs j’avoue avoir du mal à m’en séparer.
- Tu vois, je te l’avais dit, ajoute-t-elle.
Elle me regarde dans les yeux et rajoute :
- D’ailleurs il doit maintenant faire partie de toi.
Elle ne peut pas mieux dire, car effectivement je le porte le plus souvent possible, comme un bijou, une parure intime prête à m’emporter à chaque instant.
- Je porte aussi le mien, me dit-elle, échangeons nos télécommandes, ça risque d’être amusant, mais interdiction de dépasser le troisième niveau, juste là pour s’exciter un peu.
Discrètement nous échangeons aussitôt nos télécommandes, puis après avoir joué un bon moment avec nos jouets tout en buvant nos consommations, Léa me propose d’aller dans un restaurant, en rajoutant :
- Et là, pas de limites !

Nous sommes parties, bras dessus, bras dessous, comme deux vieilles copines pour nous rendre au restaurant, en arrivant j’ai tout de suite compris qu’elle m’avait emmené dans un endroit qu’elle connaissait et qui avait la particularité de recevoir des femmes s’aimant, des lesbiennes.

Apparemment elle était connue et certaines femmes la complimentèrent sur sa nouvelle copine, moi en l’occurrence.
Nous avons diné sous les regards envieux de certaines femmes, peut-être des ex de Léa, et évidemment nous avons joué et usé de nos jouets, nous faisant nous mordent les lèvres et nous trémousser sur nos chaises, si bien qu’en sortant nous étions toutes les deux excitées comme des puces.

Je ne me suis pas fait prier quand Léa m’a entrainé chez elle…
Dans son petit studio nous nous sommes aimées comme des folles, explorant nos corps durant une bonne partie de la nuit et usant de ses gadgets sur nous.
Elle avait une collection impressionnante de godes et d’accessoires en tout genre, j’ai gouté à ses godes dans tous mes orifices et pour terminer elle m’a sodomisé avec son gode ceinture préféré, puis ce fut à mon tour de lui rendre la pareille, si bien que nous nous sommes endormies au petit matin, heureuses mais épuisées.

Notre aventure à durer quelques semaines puis comme c’était à prévoir, un jour elle m’a quitté pour une autre, mais loin de lui en vouloir, je garde un bon souvenir de ces moments passés avec elle et quand j’utilise mon papillon, les souvenirs reviennent et une certaine nostalgie m’emporte dans le souvenir…

A suivre…

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