La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°239)
Suite de l'épisode précédent N°236 ''Chris au Château -
Chris était debout, nue au milieu de la pièce. Sa peau lui disait que lair de cette pièce était tiède mais pas trop chaude. Elle se sentait irradiée par une douce chaleur qui rayonnait dun seul endroit. Comme elle ne voyait rien, ni nentendait dautres bruits que ceux de ses battements de cur et de sa respiration, elle ne pouvait pas « voir » cet endroit. Le Marquis dEvans était fasciné par Sa soumise dont la lumière de lâtre léchait, illuminait la peau blanche et fine de la belle Chris. Il la sentait couler sous Ses caresses, sa chatte était grande ouverte. Gardant Ses autres doigts dans sa chatte, il saisit son clito en érection entre Son pouce et Son index lui pinça en roulant lorgane entre Ses doigts. Il sentait le corps de Sa chienne se tendre et sa croupe emplie du gros god se cambrer sous Son action. La soumise ouvrit la bouche pour mieux respirer. Elle coulait abondamment sur la main de son Maître. Sous Ses caresses, ses seins sétaient dressés, insolents. Mu par pulsion, le Marquis dEvans attrapa la laisse de Sa chienne et lattirant à terre en repoussant dun coup de pied la petite table basse en fer forgé recouverte dun plateau de verre qui prenait place sur lépais tapis. Chris atterrit sur les genoux, chute bien amortie par lépaisseur du tapis avec lequel son corps faisait connaissance.
Il était à terre avec Sa soumise quIl fessa un grand coup pour lui faire perdre un peu plus le sens de lorientation. Chris se recroquevilla instinctivement. Il ressaisit la laisse pour la secouer et lui donna une nouvelle fessée. Chris toujours sourde et aveugle ne comprenait plus ce quil se passait. Pourquoi le Maître la brutalisait de la sorte alors quIl avait été si doux avec elle jusquà présent ? Le Marquis, lui, savait très bien ce quIl faisait et Il souriait dun air sadique en turbulent Sa soumise. Il avait senti Sa petite chienne si excitée par ce qui venait de se passer quIl lui fallait faire retomber cette excitation au plus bas niveau pour leur plus grand plaisir à venir
Chris gisait à présent allongée sur le côté, elle dont le corps attendait la prochaine fessée.
Pour tester son action, lentement, Il introduit deux doigts dans son vagin. Oui ! Cela avait fonctionné. La source de Chris était à présent presque tarie de mouille. Elle était prête. Avant de senvoler pour la Jouissance, Il allait la baptiser
Alors Le Marquis dEvans lui enleva le bandeau lui recouvrant la tête. Chris découvrit lendroit. Lumière tamisée juste créée par le feu dans lâtre immense devant lequel ils se trouvaient. La pièce était spacieuse mais peu meublée et aménagée de manière à ce que tout soit centré par rapport à lantique cheminée. Les tapisseries qui recouvraient les murs dépeignaient tout à tour des scènes tendres damants en action et de belles scènes de D/s. Le mobilier avec un bureau style Régence et son fauteuil assorti, une bibliothèque et un grand canapé du même cuir bleuté que celui recouvrant la table bureau. La table en fer forgé que le Marquis avait repoussé aux pieds du canapé donnait à la pièce un ensemble fin, équilibré et chaleureux
Il se dévêtit complètement, la prit dans Ses bras et lemmena dans la pièce dérobée dont lentrée se trouvait à côté de la cheminée.
- Ma petite chienne, tu vas vivre un moment important de ta vie de soumise. Avant de tapprendre à jouir, Ton Maître va maintenant te baptiser, te marquer dans tes chairs. Tu sauras ainsi à qui tu appartiens à jamais. Si je tai démasqué les yeux cest parce que je veux que tu vois et que tu ais pleinement conscience de la solennité de ce moment pour Ton maître et pour toi.
Le Maître vit un brin de crainte naître dans les yeux de Sa soumise. Il la serra un peu plus contre Son torse, elle qui nétait vêtue que de son collier, de sa laisse et du plug quelle avait toujours dans son fondement
Ils pénétraient maintenant dans la pièce dérobée. Elle était petite mais suffisamment vaste pour pouvoir facilement se mouvoir à deux ou à trois. La pièce était aménagée comme une immense douche italienne dont les murs étaient carrelés avec un matériau aussi réfléchissant quun miroir. Le Marquis sourit de voir que Marie la cuisinière lui avait tout préparé sans rien oublier. Il y avait du linge de toilettes aux armoiries des Evans suspendus au porte-serviettes chauffant, du nécessaire de toilettes. Chris aperçu également des plugs, des godes de toutes tailles mais aussi quelques petites boites mystérieuses et détranges sébiles par-dessus lépaule du Marquis. Celui-ci déposa Sa soumise au sol. Elle remarqua que le sol en petits galets lisses et ronds rayonnait dune douce chaleur.
- Ma belle, tu sais que Je taime et Je sais que tu maimes. Tu es à Mes pieds, tu vas rester ainsi, immobile et tu vas ouvrir ta bouche de chienne sans la refermer quoi quil tarrive. Je te lordonne ! Ton cul est plein de Ma semence et le plug que je tai fourré dans le cul le préserve de toute fuite. Je sais que tu ne dois pas être à ton aise mais Je décide, tu obéis.
A ces mots, le Noble pris Son vit qui arborait une couleur rouge violacé de désirs les plus vifs dans Sa main et commença à uriner dans la bouche de sa soumise :
- Chris, Je te baptise de Mon urine, bois-la avec honneur, (il orienta ensuite le jet sur les seins de Sa soumise) Que ces seins mappartiennent, Que ta chatte Mappartienne.
Sa vessie vidée le Noble se détourna de Sa soumise toujours étendue à terre, qui gardant la bouche ouverte de stupéfaction suite à ce qui venait de se passer, navait toujours pas osé avaler lurine de son Maître. Son corps était détrempée de la Douche Dorée quelle venait de recevoir.
- Ma petite salope, si tu crois que je vais me souiller pour que tu avales la première offrande que ta bouche de salope vient de recevoir
Stança-t-il.
Le Maître se retourna les mains gantées de cuir noir et toisa Sa soumise très sévèrement. Chris était comme hypnotisée par son Maître qui saccroupit à côté delle avec le même air sévère. Il lui empoigna le menton dune main et de lautre Il lui boucha le nez.
- Je pensais bien que tu serais complètement paniquée, Ma belle, lui dit-il dun air radoucis. Je suis désolée de devoir en arriver là mais tu ne me laisses pas le choix.
Bien quentraînée, Chris ne fut pas longue à suffoquer par manque dair et avala leau de baptême de son Maître. Puis repris sa respiration. Le Marquis lâcha Sa prise, ôta son collier et sa laisse du cou de Sa soumise et se dirigea vers la douche. Il se lava, la laissant encore un peu allongée dans Son urine pour quelle comprenne à qui elle avait à faire, dune part et quelle comprenne ce premier don que le Noble venait de lui faire. Il remarquait que Son vit était toujours tendu, et rafraîchit un peu la température de leau pour se calmer. Il lui devenait de plus en plus difficile de ne pas se jeter sur Sa Chris pour la baiser. « Non, non, pas encore, respire Edouard, Chris nest pas encore tout à fait prête ! » se dit-il en se souriant
En effet, Il avait prévu de marquer la nuit de Sa soumise de différentes façons. La soumise navait pas bougé dun pouce lorsquIl se retourna vers elle. Il prit la pomme de la douche, la dévissa et entreprit de laver également Sa soumise.
Elle lui montrait son cul au milieu duquel la base du plug saillait. Il ressentait à nouveau cette pulsion dans Son bassin. Il arrêta leau et envoya un drap de bain en direction de sa chienne.
- Ton Maître ta lavé maintenant sèche-toi, nous avons encore des choses à faire, lui lança-t-il tout en se dirigeant vers la petite vasque du lavabo et des instruments qui étaient posés à côté.
Il plaça un peu de charbon dans une sébile et sorti un petit sceau marqués des deux lions gaulois dressés, se faisant face, ornant Son blason. Il plaça le sceau dans le charbon. Pendant ce temps, Chris sétait assise tant bien que mal sur le sol et sessuyait. Elle se surprenait davoir avalé lurine de son Maître et tenta :
- Maître ? dit-elle timidement en regardant au sol.
Le Marquis se retourna et vit la position de Sa soumise : Il en était fier.
- Oui, chienne Chris ?
- M
merci. Maître Edouard.
- Merci pourquoi ?
- Merci pour ce cadeau. Maître. Je vous suis reconnaissante de mavoir baptisé ainsi
Je
- Hum
Ce nest quun début, Ma belle petite chienne, ce nest quun début
dit-il lui coupant la parole (et en la regardant de Ses yeux clairs et brillants)
Chris, met-toi en position quadrupède en me tournant le dos, ton cul face à Moi.
Chris sexécutait sans mot dire et se mit à quatre pattes. Elle sattendait à ce quIl lui remette son collier, ce collier qui lui manquait à son état de chienne.
- Oui, reste ainsi et ne bouge plus.
Il sapprocha delle avec le sceau et une petite fiole donguent entre Ses dents. Le Maître se plaça sur le dos de Sa soumise à califourchon lui enserrant les côtes comme sIl montait un cheval. En cavalier émérite quIl était la position était facile. Il savait quelle supporterait Son poids sans problème. Dune main Il lui prit les cheveux quIl tira pour bloquer la tête de Sa soumise et dans le même mouvement de lautre, Il attrapa le sceau et lappuya brièvement sur le gras de lépaule. Chris hurla aussi fort quen début de soirée mais cette fois-ci plus de surprise que de douleur.
- Voici ton second baptême, reçoit-le et soit-en fière. Tu viens dêtre marquée aux armes de Mes illustres ancêtres comme létaient leurs esclaves à lépoque.
Chris ne tenait plus la position, des larmes roulaient sur ses joues. La brûlure avait été tellement intense. La douleur dans la chair de son épaule était lancinante. Elle navait jamais ressenti une telle chose. Lodeur de chair brûlée lui donnait des haut-le-cur. Jugeant que Sa avait été assez loin, le Marquis lâcha le sceau qui tomba sur le sol. Il déboucha alors la petite fiole et versa un peu de son contenu sur le feu de la brûlure. Il attendit un peu que le muscle de Sa soumise se débande et doucement commença à masser lendroit où Son fer avait entamé la chair.
- Tout doux, Ma petite chienne adorée, tout doux, lui dit-il de sa voix la plus douce. (Il desserra son étreinte autour du corps de Sa soumise, qui saffala sur le sol). Allez, viens-là, dans Mes bras, lui dit le Noble en lattirant à Lui de Ses mains et refermant Ses bras sur le corps de son amour de soumise.
A ces mots, Il se releva et prit Chris tendrement dans Ses bras, qui, enfin sanglota à chaudes larmes dans les bras de son Amour de Maître. Elle sy blottit et posa sa tête sur la solide et douce poitrine de son Maître. Ils restèrent ainsi un moment. Le Marquis Edouard dEvans caressait la tête de Sa petite chienne avec une infinie tendresse, attendant que la source de ses yeux se tarisse avant dentreprendre de faire couler à nouveau une autre source
Il savait que ces moments de tensions quil venait de faire vivre à Chris, allaient les emmener vers une jouissance la plus fulgurante
Il se releva portant Sa soumise dans Ses bras pour repasser dans la pièce doù crépitait lâtre majestueux. Il la déposa doucement sur lépais tapis. Il lui passa la main dans les cheveux. Le Marquis rapprocha la table basse et y prit place la regardant reprendre doucement des couleurs. Le regard de la soumise était empli de bonheur, elle se sentait si bien, si heureuse. Et même si le marquage lui avait procuré une vive douleur, celle-ci était bien peu de chose face au sublime bonheur de se sentir appartenir pleinement à son divin Maître. Elle lui appartenait totalement, elle était à Ses pieds et seul cela comptait
(A suivre...)
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