La Martinique...... 1er Jour ....
Après sept ans de vie commune, Anita vingt neufs ans et moi Mathis trente deux, nous somment mariés, avec les offrandes des invités et un complément des parents nous sommes partis fin décembre pour dix jours a la Martinique pour une lune de miel que nous espérions des plus sensuelle sous le soleil des tropiques alors que les nôtres se caillent en France !, cest une région du globe quelle adore , elle aime la nonchalance et la décontraction des habitants , elle ma quand même demandé sils restaient aussi mous au lit !
Je ne suis plus aussi prude quau début de notre rencontre, il faut dire que jétais vierge, nous pratiquons le naturisme et avons même fait un exhibe involontaire devant un homme qui nous regardait faire lamour sur une plage, ça mavait vachement excitée de montrer ma partie la plus intime écartelée par le sexe de mon homme, mais je ne lai pas avoué a Mathis de peur de passer pour une salope
Dés notre arrivée, malgré la fatigue et le décalage Anita a voulu découvrir les environs, le portier de lhôtel nous a conseillé une petite plage a proximité, très tranquille selon ses dires, il a même ajouté on peut même se mettre nu, simultanément un éclair est passé dans nos yeux ! nous nous y rendons sans tarder laprès midi, après avoir déniché un recoin abrité des regards car jai bien lintention de caresser ma femme nue et pourquoi pas plus
mais avant une petite sieste réparatrice simpose, ensuite pour me réveiller je suis allé avec masque et tuba dans cette eau turquoise et presque trop chaude pour admirer les poissons multicolores, Anita a préféré rester allongée dans une position plutôt érotique et offrir son corps aux rayons ardents
Mathis nétait pas plutôt partit a leau quune ombre sest interposée entre le soleil et moi
derrière mes lunettes de soleil je vois un homme couleur café au lait mobserver, feignant de ne pas lavoir vus je lobserve aussi, il a les cheveux crépus, la quarantaine, une gueule de pirate, quelques poils rassemblés par paquets couvrent son torse nu, un short loin dêtre neuf semble être son seul vêtement car une barre significative pend le long de la large jambière, une chaleur autre que celle environnante envahi mon être, je ramène un talon vers mes fesses et écarte le genou vers lextérieur, les lèvres de ma chatte doivent être séparées et luisantes, lhomme grommèle quelque chose et pétrit son short, aucun doute , il se branle a travers le tissu, jai une envie folle de mettre ma main entre mes cuisses, mais je résiste, de peur que Mathis me surprenne
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Une fois bien décontracté je sors la tête hors de leau et regarde vers Anita
que fait cet homme à ses pieds ? Ha, il repart, je vais lui demander sil là importunée
- Que te voulais cet individu ?
- Ho rien, il me demandait si je venais de la métropole et quelle ville jhabitais
- Ha, jai eu peur quil tembête, tu sais que tu es désirable ainsi exposée ? il a surtout dût remarquer tes poils blonds ici cest plutôt rare
- En tous cas il na fait aucune réflexions désobligeantes, vient donc tallonger a coté de moi chéri, jai envie de tes mains sur moi
- Cest exactement ce que je mapprêtais à faire !
Lhumidité de sa chatte ma un peu étonné, jai mis ça sur le compte de la chaleur, a demi couché sur elle je lembrasse dans le cou en massant sa poitrine, ma jambe sinterpose entre les siennes, mon genou appuis sur ses lèvres gonflées de désir, plus ça va plus elle salanguie, je ne me retiens pas plus longtemps, je monte sur elle, ma queue trouve immédiatement le chemin de son vagin et sy engouffre jusquaux testicules
Quel plaisir de sentir la verge de mon mari apaiser le désir que lhomme a fait naitre en moi, soudain, jouvre les yeux celui qui ma observée tout a lheure est là, il observe notre accouplement en se masturbant cette fois la queue a lair et quelle queue ! Je nai pas la force ni lenvie de le signaler a Mathis, cela déchaine ma rage de baiser, je me démène, exagèrent les contorsions de mon bassin, mon mari a lair surpris de ma fougue soudaine
- Que tarrive-t-il mon amour ? Tu es déchainée
- Lhomme de tout à lheure nous regarde
- Quoi ? que fait-il ?
- Il a les yeux braqués sur ta queue qui me lime
- Ça ne te choque pas ?
- Non
- Tu te ferais bien mettre par ce gars bronzé non ?
- Chéri
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- Tu as envie cest ça ??? nous somment a dix mille kilomètre de chez nous personne nen saura jamais rien
Elle ne répond pas, cest comme un aveu, du coup lexcitation me submerge et je décharge illico dans sa chatte, rapidement ma bitte ramollie et glisse hors de la vulve, je me retourne doucement de peur deffrayer lhomme et quil ne reparte, je susurre a Anita de ne pas bouger
- Bonjour
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Je vous épargne les mots créoles
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- Bonjour, elle est très belle jadore ses cheveux blonds
- Ses poils aussi sont blonds
- Jai vu, cest beau, du jus sort de sa coucoune qui brille comme un coquillage
- Tu veux dire sa chatte ? joubliais que tu parle créole ! oui, cest normal quelle coule, jai déchargé dedans, ça te dirais de la prendre ?
- Tu veux dire coquer avec mon cocoro?
- Oui, cest ça, la baiser avec ta grosse queue
- Je nai jamais fais ça avec une femme blanche, je peux ??
- Vas-y, elle est à toi
Anita consentante a gardées les cuisses ouvertes, la queue de lhomme sest développée en dix secondes, elle est marron, longue et noueuse, elle devrait la sentir passer, il sagenouille quasi religieusement devant le conin qui suinte, Anita tend la main vers cette hampe qui tressaute, le martiniquais sallonge en appuis sur les mains, ma femme relève les jambes, je vois la queue placée face a la chatte, il na plus qua pousser , le gland luisant repousse les chairs, Anita pousse un cri et enserre ses bras autour du cou de son amant, ses talons frappent les fesses cuivrées de lhomme
Cet homme me comble, sa queue ouvre mon vagin a merveille, Mathis doit mobserver mais il ma donné son consentement alors je me lâche a quoi bon refouler cette envie dhomme de couleur, je frappe ses fesses a la façon dun jockey qui incite sa monture à galoper, il se retire un peu et donne un violent coup de reins, ses couilles frappent mon anus cette foi ci mon col est ouvert, sa queue lubrifiée par le sperme qua laissé mon mari lime mon con sans efforts , je vais jouir très vite
Doù je suis, je vois le membre marron baiser celle que jaime, une mousse blanche sest formée autour de la bitte et sur les lèvres gonflées par lenvie, Anita lance son bassin à la rencontre de celui de son amant, ils se percutent violement, je ne lai jamais vue autant déchainée
Moi qui me demandais comment étaient les hommes de la Martinique au lit je suis confortée , cest un véritable zouk sexuel quil me fait danser, par décence pour mon mari je jouis en silence, seul mon amant perçoit les contractions de ma vulve et les tremblements qui me secouent, il me répond en sépanchant dans mon ventre avec de longs jets drus, repus, il se relève sans attendre, son gland goutte encore
Jai remarqué que lhomme sest contracté il a dût décharger dans le ventre dAnita qui ne cherche pas à le retenir lorsquil se relève, il esquisse un vague merci et part, soudain une idée traverse mon esprit je le ratt
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