Anniversaire De Mariage
Ca y est, ça le reprenait, elle avait bien vu depuis quelques jours quil était nerveux, elle sentait bien quil nétait pas comme dhabitude. Il la négligeait lui qui pourtant était assez porté sur la chose et il y avait bien quinze longs jours quil ne lavait pas honoré et elle commençait à ressentir le besoin qui montait en elle, ce sourd fourmillement qui lui démangeait la foufoune. Elle commençait à ne plus pouvoir regarder les hommes sans baisser discrètement le regard sur la bosse de leur pantalon, cherchant à imaginer la position de leur kiki, et la grosseur de leurs roudoudous.
Cest en rangeant un outil, quelle avait découvert des magazines qui traînaient au fond dun tiroir dans le garage, ils étaient couverts de photos de partouze mais, ce qui était bizarre cest que sur chaque cliché, il ny avait quune femme qui était entourée de mâles en rut, leurs queues tendues comme des bourricots.
Et, le pire cest quen lisant lhistoire qui les accompagnait elle apprit que le mari de la dame faisait parti du troupeau et que cétait même lui qui avait invité ses 2 copains à venir déguster son épouse!
Il y en avait un qui avait planté son gros saucisson dans le petit derrière de la dame pendant quun des autres sactivait dans sa foufoune sa grosse queue toute baveuse allant et venant dans sa petite chatte trempée de cyprine. La pauvre, comment résister à un tel assaut. Et elle referma vite les magazines en serrant les cuisses car, ma petite culotte commençait à être trempée
Comme cétait leur anniversaire de mariage le dimanche soir suivant, ils allèrent au restaurant, Jean qui semblait avoir retrouvé la forme, narrêta pas de lexciter pendant tout le repas et à peine dans la voiture, passant sa grosse paluche sous ma petite jupette et trouvant que la petite culotte le gênait, il la balança sans façon sur le siège arrière. Alors pour le faire cesser de peur d'un accident, elle se pencha sur sa braguette qui allait bientôt craquer et dégageant la queue tendue comme un arc, elle commença à la sucer tout en long dune langue experte puis, serrant les lèvres sur le bout du gland, elle se lavala doucement, la dégustant avec délice pendant quil conduisait.
Comme la voiture ralentissait, elle pensa quil ne pouvait plus tenir sous le traitement de choc quelle lui faisait subir et quil était à point pour la prendre avant de cracher.
Il sétait arrêté devant un chantier de construction et il l'entraînât tout excité dedans et elle se retrouva bientôt haletante acculée entre deux baraques blanches, les cuisses écartées offerte attendant impatiemment ses gros doigts qui nen finissaient pas de lui caresser ses mamelons quil avait libéré de son corsage les exposant au petit vent du soir; impatiente quelle était que sa queue noueuse écarte ses gosses lèvres pour senfoncer dans son antre qui lattendait avec impatience mais, elle tremblait en même temps de peur dêtre surprise dans cette position obscène par un inconnu et ce cochon savait bien que la peur la faisait mouiller de plus belle !!!
Cest alors quelle les vit tous les deux, ils étaient appuyés contre la baraque den face les yeux exorbités fixés sur la main de Jean qui abandonnant ses seins commença à relever la jupe pour les rendre encore plus fous en leur exposant la chatte poilue pour quils puissent se branler
Ce salaud avait bien préparé son coup.
Elle essaya bien de retenir le fragile tissu avec ses deux mains serrées sur les gros doigts plantés entre ses cuisses mais ce salaud se mettant sur le côté pour leur dégager la vue se mit à accélérer la cadence pour les exciter encore plus en lui faisant écarter les cuisses, et quand ils lentourèrent tous les deux, il lui susurra bon anniversaire chérie au creux de loreille en lembrassant dans le cou et il leur céda la place
Cest vrai quils avaient de belles queues ! Ils les frottaient contre ses deux mains qui essayaient encore de défendre faiblement sa foufoune, les deux glands déjà baveux cherchaient à forcer ses paumes pour se faire câliner. Comment résister à ces deux matraques bouillantes et palpitantes qui forçaient ses petites mains, avides de son corps et quand ils commencèrent à frotter leurs poitrines velues et odorantes contre la pointe de ses seins, elle simagina écrasée sous eux les jambes écartelées par les grosses cuisses musclées et oubliant tout, elle laissa sa jupe tombée entres ses pieds, s'abandonnant en leur dévoilant sa foufoune et semparant des deux colonnes bouillantes, elle se mit à les branler frénétiquement en les traitant de bande de salauds.
Quand elle sentie la porte céder derrière elle, elle se laissa porter à l'intérieur, bousculée sur un matelas couvert de taches de sperme pendant que des grosses lèvres piquantes écrasaient les siennes, violant sa bouche à la recherche de la sienne
Deux mains sétaient refermées sur ses seins bouillants les caressant comme un trésor de guerre, deux autres sétaient positionnées entre ses cuisses, remontant et descendant en frôlant seulement sa toison pour la faire mouiller. Elle qui pensait quils allaient la prendre là, à la cosaque, depuis le temps quils navaient pas vu de femmes, mais non, ils ne semblaient pas pressés, les deux pines se frottaient contre ses cuisses, ils la respiraient, se soulant de son odeur femelle et quand elle sentie une tête toute crépue forcer ses jambes, elle releva les genoux écartant ses cuisses les ouvrant pour, offrir sa chatte en feu à la langue gourmande pendant que lautre homme qui la chevauchait comme une monture promenait sa queue entre ses seins, le gland baveux de foutre venant frôler ses lèvres à chaque poussée en y marquant un petit arrêt avant de redescendre entre les deux mamelons affolés. Ce nétait pas possible, il allait voir et le tirant soudain par ses poignées damour, elle réussie toute contente d'elle à refermer sa bouche sur la queue bien décidé à la faire cracher son jus.
Elle adorait tourner les glands dans sa bouche les enroulant de sa langue experte, ils étaient si lisses et si chauds et puis, cette saveur de sperme qui suintait était si agréable et quand elle entendit le mâle commencer à haleter en se crispant, elle relâcha le gland, et emprisonna la queue dans la vallée de ses seins et les giclées de sperme commencèrent à sécrasèrent chaudes et gluantes sur ses deux mamelons quelle sempressa de pétrir, étalant la précieuse semence odorante jusquà la pointe de ses tétons qui disparurent bientôt noyés dans le foutre
Elle essaya décarter la tête collée à sa foufoune qui la rendait folle, mais, depuis le temps quil navait goûté le jus qui bavait de la chatte affolée, l'homme ne voulait pas lâcher sa vulve poilue, sa langue fouillant le trou adoré, titillant le clito en tout sens.
Le salaud savait travailler, il senfonçait dabord en tortillant dans la chatte brûlante écartant les grosses lèvres toutes poilues puis, secouant son pieu au fond de son trou, il se retirait doucement sur le bord de la minette avant de se renfoncer dune violente secousse la faisant tant mouiller quun bruit de gargouillis sélevait à chaque fois tant sa mouille coulait.
Elle sentait ses mains puissantes qui se cramponnaient, la collant contre son corps musclé et, quand il la basculât sur le côté, elle regretta de ne plus être écrasée sous lui mais en sentant soudain la chaleur dun autre corps venir se coller contre son dos, elle comprit pourquoi il lui écartait tant les fesses, dégageant son petit trou tout gluant de sa mouille qui avait coulée dessus en le graissant, et quand elle sentie la chaleur de lautre gland sur sa rosette, elle ferma les yeux pendant que la langue poisseuse du premier mâle se mettait à farfouiller dans sa bouche.
Jean n'en pouvait plus du spectacle, il s'était assis face aux douces cuisses écartelées et voir les pieux qui s'enfonçaient tous les deux en cadence, ressortant tout gras de jus, dans Denise qui gémissait de plaisir le rendait fou d'excitation et il ne pouvait plus se contrôler, sa main secouant son mat en mesure, prêt à cracher. Aussi, quand l'homme se planta devant lui, l'empêchant de voir le spectacle, il essaya d'abord de l'écarter mais, apparemment, il ne l'entendait pas de la même oreille et quand il lui présenta sa bite devant les lèvres après l'avoir fait s'agenouiller devant lui en le prenant par les cheveux, il comprit que c'était sa punition pour avoir livré madame et fermant les yeux, il ouvrit la bouche, refermant ses lèvres sur la queue puante
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