Elle

Seul sans elle, elle avec qui nos longs moments d'intimités devenaient inoubliables, mémorables. Notre moralité particulière qui englobait les plaisirs comme devise. Pourquoi est-elle partie ? Je ne la satisfaisais plus ? Ou alors elle voulait que je ne la touche pas.
Elle me disait qu'elle aimait quand je la caressais, que je passais mes mains sur elle. C'est vrai que mes mains n'oubliaient aucun endroit de son magnifique corps. Il me semble encore sentir le grain de sa peau sur mes paumes. J'ai encore sur mes doigts la douceur de son sexe, de ses seins, de ses fesses quand j'y posais la main, qu'elle me suppliais d'aller à la recherche de son intimité cachée.
Et ses mains qui faisaient développer mon excitation, qui venaient chercher je ne sais quoi dans mes cheveux quand je l'embrassais. Ses mains qui venaient se poser sur mes fesses aux moments les plus intenses de nos accolades intimes. Elles qui cherchaient mon sexe pour l’emboîter dans le sien.
Elle ne se souvient plus de notre première vraie fois, pas quand presque par hasard je l'ai pénétrée sans qu’elle le veuille vraiment, mais la vraie, quand nous le voulions tous les deux. C'était même dans sa chambre, sur son lit. Elle voulait, j'hésitais.
Elle me faisait m’asseoir au bord de son lit, venait contre moi, m'embrassait comme elle savait si bien le faire. Nos langues s'amusaient bien ensemble dans nos bouches gourmandes. Elle m’excitait volontairement, je le caressais les genoux avant de mettre ma main sur son endroit paradisiaque. Qu'il était chaud, brûlant comme une savane d'Afrique avec la moiteur qui va avec. J'osais, pour la première fois lui caresser ce qu'il y a de plus mystérieux chez une femme. Elle se laissait faire, elle m'encourageait. Je titillais cet endroit, je le reconnaissais pour les fois suivantes. Elle me laissait faire jusqu'au nomment où elle fermait les jambes sur ma main. Je sentais ses spasmes réguliers, aussi réguliers que ses soupirs et ses « oui ».


Quand je lui ai demandé de faire l'amour, elle répondais oui, cette première vraie fois. Plus de sans doute ou de peut- être. Elle était nue devant moi, j'étais nu devant elle. Je le souviens de son regard sur mon sexe tendu. Il me semblais qu'elle avait envie de me dévorer par sa bouche, son sexe, sa chatte. Elle a même touché la bite. J'en aurais explosé. Puis, calmement nous nous sommes mis, elle sur le dos, moi sur elle. Ses jambes s'ouvraient, les miennes venaient entre les siennes. Je n'avais aucune crainte elle m'avait dit qu’elle n'était pas vierge, et alors ? Elle en avait aimé d'autres, belle affaire.
Nos mains se sont rencontrées quand je prenais mon sexe pour le lui entrer dans le ventre. Nous le tenions bien, je ne risquais pas de le perdre en route.
Je sentais ses lèvres s'écarter sur mon passage. C'est à cet instant qu'elle m'a emprisonné. Ces talons venaient sur mes fesses. Je sentais un sentiment d'amour de la sentir ainsi, s'abandonner dans mes désirs. Je glissais doucement pour bien profiter de sa douceur autour de mon pieu. Elle prenais mes épaules, posait sa bouche sur la mienne. Nous nous embrassions de chaques cotés. Nos corps transpiraient ensemble. Nos plaisir se confondaient en un seul. Je sentais son miel autour de ma queue.
Elle me demandait de jouir en elle, elle me voulais, elle désirais mon sperme.
Je lui ai donné ce qu'elle voulait. Je jouissais longuement pour cette première fois : elle attendait que mon orgasme se termine pour jouir à son tour : merveille de notre amour naissant. J'allais me retirer quand elle serrait ses muscles vaginaux. Je restais en elle.
Elle m'a demandé de me retourner, ce que j'ai fait en restant en elle avec difficulté. Elle s'est retournée sur moi, assise sur les fesses. Elle me caressais à mon tour la poitrine, le ventre avant de me faire rebander. C'est elle qui menait notre, ou sa danse à son rythme. Je devenais une monture, un cheval qui l'emmenait là où elle voulait.
Je ne pouvais faire autrement que regarder ma bite entrer et sortir d'elle. Pour augmenter son plaisir elle se caressait le clitoris, là où mes doigts étaient un instant avant. Elle ne disait rien, elle me baisait simplement. Son silence était rompu quand elle jouissait d'un grand Han. Je la sentais jouir autour de la queue. J'aurais voulu lui donner plus de plaisir d'un seul coup. Elle était penchée en arrière, ses mains sur mes cuisses.
Elle voulait encore profiter de ma queue qui bandait : elle s'est légèrement déplacé pour s’empaler sur son anus. Elle jouissait trop vite de cette sodomie involontaire de ma part.
Les nombreuses fois suivantes, c'étaient souvent quand elle se masturbait. Elle aimait se donner du plaisir devant moi. Des fois je faisais comme elle, mais le plus souvent j'arrivais à attendre son premier orgasme pour venir la baiser ou mieux, ce qu’elle adorait que je lui lèche la chatte. Je la faisait jouir ainsi avant qu'elle se retourne pour me sucer. Que de 69 nous avons pu commettre ! Que d'orgasmes communs.
Mais elle est partie, partie pour toujours, emportée par LA sale maladie.

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