Leslie La38

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Leslie LA38 – Laure, le journal intime - La plage, suite et l’inconnu

J’ai été réveillée en sentant un corps sur le mien et sentant un sexe qui s’emparait de moi, et j’ai entendu :
- Je t’ai vu, te gouiner tout à l’heure, t’es une petite salope…
J’ai voulu me sortir de cette étreinte non consentie, mais l’homme me maintenait vigoureusement en disant :
- Tu aimais tout à l’heure avec l’autre salope, alors laisses-toi faire, tu ne le regretteras pas !
Le membre qui s’emparait de moi était d’un beau calibre, il me remplissait totalement, écartant délicieusement les parois de mon vagin, glissant entre mes petites lèvres, ouvrant et élargissant l’étroit passage.
Un inconnu me prenait, et je m’étonnais de me laisser faire et de prendre du plaisir dans cette pénétration soudaine.

Les pénétrations, maintenant, profondes m’arrachaient des râles de plaisir. Des ondes voluptueuses naissaient au fond de mon ventre, enflaient à chaque coup de rein de mon amant en ondes concentriques et gagnaient tout mon ventre et même mes seins et mes cuisses…
Je commence à jouir de cette pénétration en pensant que je suis comme ces pétasses siliconées, dans les films pornos, se faisant sauvagement baiser par un mec bodybuildé limé en poussant des cris de souris.
Je me surprends même à écarter d’avantage mes cuisses pour accueillir encore mieux mon amant en moi.
Et soudain je me mis à jouir, le corps arqué par les spasmes du plaisir et retomber enfin, en me rendant compte que mon amant imperturbable n’avait jamais cessé de me besogner et n’avait pas jouit en moi.

À peine remise de mon étonnement, je sentis que son sexe toujours raide reprenait ses allers et venues, sollicitant de nouveau ma chatte et faisant renaître la boule de feu au fond de mon sexe.
Ce premier orgasme n’était qu’une première étape, et je sentis que mon amant allait me transporter vers l’extase absolue, me faire découvrir le paradis, alors, sans m’en rendre compte vraiment, je mis à onduler pour venir à la rencontre du sexe qui me transperçait…
Je suis besognée puissamment par mon amant qui met, à nouveau, ma chatte en émoi, en plus maintenant de deux ses doigts il me caresse mon bouton sensible et c’est le début de nouvelles sensations, ahhh le bougre, il sait y faire et je sens que je vais partir et qu’il va m’exploser la chatte…

Mon inconnu s’en donne à cœur joie, et pour tout vous dire, tout en me besognant avec savoir, il me caresse l’anus, qui je pense doit être trop étroit pour lui.

Alors il me prépare un peu pour que je sois plus ouverte, le salaud aurait-il l’intention de me sodomiser ?
Il me baise comme une jeune nymphomane en mal de sexe et je m’aperçois que j’adore la situation, être prise sans préalable, comme ça, juste pour le plaisir et je suis ravie de satisfaire cet amant inconnu et je jouis comme une vraie salope.
Il s’enfonce jusqu’à la garde dans ma chatte, je mouille comme une vraie cochonne et son doigt s’enfonce dans mon anus me faisant hurler de plaisir, il sait maintenant qu’il peut m’enculer quand bon lui plaira et que je ne refuserais pas…
Sans un mot, il redouble d’ardeur me faisant hurler, mon corps vibre et je sens que je vais l’évanouir, alors soudain, il se retire, me redresse et me prend par la main et m’emmène vers la mer pour nous baigner et je réalise soudain, qu’il n’a même pas encore jouit.

En marchant vers la mer, je le regarde et je suis surpris de la beauté de cet homme, trente ans environ et un corps de rêve, athlétique, les muscles bien dessinés et saillant sur son corps intégralement bronzé, et son sexe, mon dieu, son sexe imposant, épais et long et il est entièrement épilé.
Je viens de me faire baiser par ce sexe monstrueux et j’en voudrais encore, qu’il profite de moi longtemps encore et qu’il me laisse sans vie, inconsciente sur cette plage déserte.
Nous nous baignons en nous embrassant et en nous caressant, laissant nos désirs présents dans nos corps en émoi, puis après un long moment dans l’eau nous sommes retournés vers l’endroit où étaient posées nos serviettes.

Je me suis assise sur les serviettes et lui debout m’a présenter son membre dans une invite de le sucer, je luis ai fait une fellation pour lui redonner de la vigueur, rapidement son sexe devint dur et me prenant la tête dans ses mains il se mit à me baiser la bouche.
Longtemps il profita de mes lèvres accueillantes et de la douce chaleur de ma bouche, puis il s’allongea sur moi et me tenant les pieds par-dessus ses épaules, il s’enfonça en moi, me faisant hurler de plaisir.
A grands coups de reins il me besogna pendant de longues minutes, j’avais perdu la notion du temps et mon corps tout entier ne réclamait que du plaisir.
Longuement il m’a prise ainsi en me regardant dans les yeux et observant mes réactions, attendant mes gémissements et buvant mes feulements quand ceux-ci sortaient de ma gorge en m’embrassant à pleine bouche.
Je mouillais comme une vraie fontaine et je sentais le liquide de ma jouissance inonder mon anus, il coulissait en moi sans faiblir et je me demandais s’il jouirait un jour, mon sexe en feu n’en pouvait plus et je tremblais de jouissance sous ses assauts…

Mais Soudain il se retire et sans quitter ses yeux des miens, s’aidant de la main il fit descendre son membre pour le poser à l’orée de ma rondelle, c’était prévisible, mais l’introduction est difficile, mais il est patient et s’y reprend à plusieurs fois pour faire rentrer son gland doucement dans mon anus serré.
- Ohhh… punaise… qu’il est gros !
Je jouis en pensant à son gland qui m’écarte les chairs, distant mon anus serré, mais à cet instant je ne peux que dire :
- Ohhh, t’es trop gros !
- Ouvre ton cul de petite salope que je t’encule, me dit-il.
Malgré mes efforts pour m’ouvrir au maximum, le gland ne passe pas le sphincter, alors il me retourne et me fait mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette. Puis il repose son gland sur mon petit anneau, me faisant frémir, offerte comme je le suis il va n’avoir aucun mal à rentrer son gland en moi en poussant sur mon anneau...

Alors que je le sens pousser pour s’enfoncer en moi, lentement, très lentement et je me mets à me trémousser, à bouger mon cul dans tous les sens et à force de bouger mon cul comme une folle, je sens une douleur qui vrille mon cul lorsque son gland passe mon muscle.
- Ohhh, tu me casses le cul, dis-je.
Il s’enfonce lentement me tenant par les hanches et me tirant à lui, si bien que peu de temps plus tard, je sens son ventre contre mes fesses.
Voilà, il est entièrement enfoncé en moi, vous vous rendez compte, j’ai ses vingt centimètres, au moins, dans mon cul !
Et sans un mot, il me sodomise en me tenant par les hanches, je hurle comme une folle pendant qu’il grogne. Je ne suis plus qu’un corps avide de sexe et de plaisir.
Puis, il se déchaine, me disant :
- Ahhh, petite salope, tu la sens ma grosse bite !
- Oui, défonces-moi avec ta grosse queue.
- Tu aimes ça, petite salope, tu aimes te faire bourrer le cul§
- J’adore !
Il me lime et j’ai le cul en feu, mon trou du cul, n’ai plus qu’une plaie ouverte à ses assauts et soudain il se cambre derrière moi et son sperme chaud remplit mon cul avide en giclées intenses…

Enfin il vient de jouir, mais continue de prendre sauvagement, puis satisfait, il se retire et me présente son membre pour que je le suce. Je n’ai jamais sucer un membre qui vient de m’enculer, mais dans le délire de mon plaisir, je le prends entre mes lèvres et le suce comme une forcenée, appréciant les goûts mélanger de son sperme et de mon intérieur.
Alors je l’entends me dire :
- Alors toi comme vicieuse, tu te poses là !
Il s’est relevé et est parti, sans que je sache son prénom, il me laissait pas sans vie, mais le cul grand ouvert d’où s’échappait déjà sa jouissance, maculant mes cuisses.

J’ai revu Anaïs, mais jamais mon inconnu, en lui en parlant j’ai appris qu’elle aussi s’était laissée aller à se faire sodomiser sur la plage, au moins nous avions un souvenir commun…

A suivre…