Plaisir Métissé (Partie 2)
Un mois sest écoulé depuis la première fois où jai pu goûter à la saveur sucrée de sa peau et à la chaleur de son étreinte. Depuis, tous les jours, il vient me voir et environs trois fois dans la semaine nous faisons lamour, je ne men lasse pas, il prend de lassurance et se lâche de plus en plus. Sur le plan émotionnel, nous sommes devenu très proche, à vrai dire, on ne se quitte plus, sauf quand il rentre chez lui et à peine est-il parti quun vide se fait sentir, donc on se parle par le biais de sms jusquà ce que lun dentre nous sendorme.
Il y a quelques jours, il ma parlé dun secret qui le gênait terriblement et dont il avait honte ; il est irrésistiblement attiré par les pieds des femmes. Javoue que lorsquil me la dit, je nai pas su comment réagir, je suis très ouverte, avec mon petit palmarès dhomme jen ai vue pas mal, mais un fétichiste des pieds cétait la première fois. Je lai rassuré en lui disant que ça ne me dérangeais pas, au contraire, jadore les nouvelles expériences, puis si cet homme peut aimer chaque parcelle de mon corps que demander de plus ? Curieuse, je me suis empressée de lui demander ce quil faisait avec les pieds des femmes, jai vite appris quil sétait arrêté au fantasme car il en avait fait part à personne avant moi. Flatté quil me mette sur un piédestal, je lui promis de lui laisser tout le loisir de jouer avec mes « patounes » comme il les appelle la prochaine fois quil viendra me voir
Ce soir, il passe pour la première fois la nuit chez moi, grand moment sur lequel je mise beaucoup, autant sur le plan sentimental que sur le plan sexuel. La veille, pour jouer avec lui, comme jaime le faire avec les hommes et leurs faiblesses, je lui ai envoyé par message une photo de mes pieds, mes petites patounes taille 36 ont fait sensation auprès de mon asiatique. Pas de tatouage, pas de vernis, juste mes pieds à létat naturel, de type égyptien avec le second orteil légèrement plus grand que le gros orteil et les ongles parfaitement coupés.
Le repas se passe en silence, on entend que le son de la télé qui me permet, en temps normal, de faire un bruit de fond, il a lair visiblement gêné par le fait que je connaisse son secret. Je place mes pieds de façon visible à côté de ma chaise mais il ne les regarde pas, je commence à penser quelles ne lui plaisent pas. Je fini par lancer la conversation, on parle de tout et de rien, jévite de parler de ce qui a lair de le déranger, au fond, je ne comprends pas, je suis tellement ouverte que je narrive pas à concevoir que lon puisse être bridé à ce point et refuser de vivre tous ses fantasmes avec ou sans fétichisme.
Après le repas, je lemmène à la chambre, je mets un film pour détendre un peu lambiance, et pour le fond sonore, je hais faire lamour dans le silence, car, fétichisme ou pas fétichisme, ce soir je compte bien lui sauter dessus, ma libido étant insatiable et demandant dêtre comblée. Il sassoit sur le lit, je me mets à ses côtés et attend, il va enfin tenter quelque chose oui ou non ? Je mimpatiente. Je décide de jouer, je mallonge de manière à poser mes pieds sur ses genoux, il pose sa main sur lun dentre eux et me regarde, je lui lance :
- Je tai promis de te les laisser ce soir, tu ne les veux pas ?
- Si, dit-il timidement, mais tu sais que cest gênant pour moi jen ai honte
- Il ne faut pas, ça ne me dérange pas au contraire, vas-y fait toi plaisir avec, montre-moi ce que tu veux en faire tu as carte blanche.
- Tu es sur ? Ça ne va pas te paraître bizarre, tu ne vas pas me repousser après ?
- Mais non, si tu savais jen ai vus des choses bizarres dans ma vie et surtout venant des hommes, lâche toi, je te les offre.
Il hésite un moment, puis fini par prendre mon pied gauche dans ses mains et le caresse doucement, masse la plante avec soin, cest très agréable, jadore les massages et je nai pas lhabitude de me faire masser à cet endroit. Avec son pouce, il appui en remontant de la plante jusquau orteil, puis, entre son pouce et son index, il masse chacun de mes orteils. Quand ses doigts effleurent la base de mes orteils, je tressaille, ça chatouille, amusé il se met à me chatouiller la plante, je me tords de rire, je suis décidément très sensible à cet endroit et ça lui plait. Il me demande darrêter de bouger, je mexécute et il répète son passage sur mon pied droit, jen savoure chaque instant, cest agréable, ça détend, finalement je ne comprends pas pourquoi il a honte si son fétichisme se limite à masser et caresser des pieds de femme. Dun coup, il sarrêt, il examine mes patounes avec insistance, puis me regarde en souriant et me dit :
- Elles sont sublimes, adorables, elles tiennent dans mes mains et elles sont douce, incroyablement douce cest tellement agréable de les touchées, Je peux les goûter ?
Les goûter ? À ce moment je nose imaginer ma tête, jai du mal à cacher ma surprise et je ne sais pas si je vais pouvoir le supporter en vue de ma sensibilité aux chatouilles. Jaccepte tout de même, je veux quil me montre ce quil veut de moi, quil assouvisse ses envies. Cest alors quil prend dans ses douces mains un de mes pied, lamène à sa joue et le presse contre elle, cest chaud et agréable, il la frotte contre la plante avant de se reculer, lexaminer puis me regarder avec des yeux brulants de désir en léchant ses lèvres de manière à ce que je comprenne ce quil sapprêtait à faire. Il caresse dabord ma patoune avec ses lèvres avant de semparer de mon gros orteil entre ses dents, puis il fait tourner sa langue autour, je me retiens de ne pas bouger ni rire car les chatouilles que cette sensation produit sont intenses et à la limite de lincontrôlable.
- Ça ne ta pas trop gêné ?
- Bien sûr que non, lui répondis-je, jai apprécié cétait agréable.
- Merci davoir fait ça pour moi, maintenant jai très envie de toi mais je suppose que tu nes pas excité, je vais arranger ça allonge toi.
Il se penche sur moi, membrasse et menlève ma robe. Il me caresse du bout des doigts les seins puis me pince doucement les tétons, les roules entre ses doigts, joue avec, je réagie aussitôt, je suis extrêmement sensible de cette partie du corps. Voyant que je réagis vite à ce quil fait, il att entre ses lèvres un de mes tétons avant de passer sa langue dessus de plus en plus rapidement pendant que sa main continue de jouer avec lautre, cest délicieux et je savoure chaque geste quil fait. Lentement, il descend le long de mon ventre, tourne avec sa langue autour de mon nombril, enlève mon tanga, descend encore, me mord les hanches, ce qui me fait sursauter, puis arrive à la hauteur de mon pubis où il fait pleuvoir de petits baisers. Avec son bras gauche, il relève une de mes jambes et avec sa main droite, il caresse mon entre jambe de haut en bas puis en décrivant de petits cercles, je commence à bien mouiller et je me délecte de ce qui mattend. Après avoir titillé un moment mon entre jambe avec ses doigts, il y approche ses lèvres, embrasse mon clitoris avant de lui donne un petit coup de langue qui me coupe le souffle de surprise.
Je latt par le cou et je tire vers moi en mallongeant, jai faim de lui à un point inimaginable, il se place sur moi et me pénètre. Incroyable ! Il est si dur, maintenant je comprends la portée qua, pour lui, le fait de jouer avec mes patounes, il fait de grands mouvements, rapides et va profondément en moi. Je sens sa respiration et entend ses gémissement, je joins mes mouvement au sien tout en contractant mon vagin pour quil ait le plus de plaisir possible. Le plaisir monte en moi, de telle sorte à ce que jai envie de le dominer à mon tour, je nous retourne de telle sorte à me retrouver sur lui, je me redresse me mettant bien droite, pose mes mains de chaque côté de sa tête afin de prendre appuis et jentame des mouvements rapides et secs, je donne des coups de bassins vers lavant, il aime et je le sent sur le point de venir et je ne veux pas, je veux jouer avec lui, encore un peu. Je prends maintenant appuis sur la pointe de mes pieds pour me surélever de façons à ce que seul le bout de son pénis soit en moi et je fais de petits mouvements pour stimuler juste cette partie, il geint, cest si atroce dêtre sur le point datteindre la jouissance et de ne pas réussir pour cause de petits mouvements bien contrôler. Je contracte de plus en plus mon vagin et je fais, maintenant, des mouvements plus lents mais plus long pour le r encore un peu, je prends plaisir à le faire, le voir frustré cest si amusant. Finalement je fini par mettre fin à son supplice, je me relève, me met à quatre patte et lui demande de me prendre en levrette, jadore cette position, il sexécute, et, agrippant mes hanches fermement, commence à me pénétrer violemment, il se venge de ce que viens de faire, et ce nest pas pour me déplaire. Il me pilonne, allant de plus en plus loin en moi, son pubis claque contre mes fesses et ses mains se crispent sur mes hanches, enfonçant ses doigts dans ma chair, cest si bon, me faire prendre de cette manière, comme sil me dominait, me disant que je lui appartient, ça mexcite énormément et je sens le plaisir monter en moi. Mes bras tremblent, je le supplie de continuer, la sensation dans mon bas ventre grossi, elle devient énorme avant dexploser dans un violent et bruyant orgasme. Je suis épuisée, mais je dois le satisfaire à mon tour, je me baisse pour me positionner en appuis sur mes avants bras, les fesses surélevées lui permettant de mieux sentir les parois de mon vagin, de nouveau, je prends les choses en mains, je bouges et me contractes de tout mon être, il gémit de plus en plus fort et létreinte de ses mains se fait de plus en plus ressentir, cest à la fois douloureux et jouissif, cette sensation de ne pas pouvoir séchapper, dêtre à sa merci. Il va bientôt jouir, il va de plus en plus vite, me possède entièrement, je sens son souffle court, la chaleur de son corps, dans un ultime mouvement il senfonce au plus profond de mon être attirant mes hanches vers lui et cambrant son corps vers moi, puis je sens son pénis se contracter à plusieurs reprise et un liquide chaud me remplir, dans un impressionnant orgasme, il vient de se vider en moi.
Il se retire et nous nous écroulons sur le lit, épuisés, cétait tellement bon et intense, jen tremble encore. Il me regarde tendrement puis, se retourne et sallonge de manière à être face à mes pieds :
- Elles sont sublimes tes patounes, merci de mavoir laissé jouer avec.
- Ne me remercie pas, jai vraiment apprécié.
- Je lespère, pourrais-je rejouer avec tes pieds ?
- Autant que tu le voudras elle tappartiennent.
Sur ces mots, il enlace mes jambes et presse sa joue sur la plante de mes pieds, cest doux et chaud et tellement mignons, jai limpression dêtre son doudou, il est attachant ce petit asiatique, il parait tellement fragile. Tandis quil sendort en câlinant mes patounes, je réfléchis, je pense avoir décelé une autre chose qui lui fait beaucoup deffet, qui lexcite sexuellement parlant et dont il ne ma pas fait mention. Je pense savoir comment vérifier mon hypothèse, il ne me manque plus quà tout mettre en place et une fois encore emmener mon petit asiatique de plus en plus loin dans la luxure. Vilaine fille que je suis
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