Odeurs De Cuisine
Le calme renaît après les combats. Toute la section s'éloigne. Je ne sais pour qu'elle raison je reste seul en arrière dans ce hameau. Si, je me souviens ; ça sentait une odeur de cuisine. J'avais faim brusquement, je voulais savoir ce qui cuisait.
Je trouvais l'endroit : une maisonnette isolée. La porte ouverte m'invite : j'entre pour goûter, comme un envahisseur. Une jeune femme, d'après moi me regarde méchamment. Je ne lui veux pas de mal, elle doit le comprendre. Elle m'offre un verre d'eau : bonne idée. Par politesse, je mincline pour dire merci. Elle comprend que même si je suis un conquérant, je ne lui veux pas de mal.
Sous les haillons se devine un corps agréable. Si elle se laisse faire, si elle se donne, je suis preneur. Si elle me laisse faire seulement, je naime pas forcer les filles, surtout dans mon cas.
Je sais que ce soir avant de dormir, à cause delle ma main prendra ma queue pour me donner du plaisir : je penserais à elle, tient. Je rends le verre deau : elle tient ma main et le verre. Tiens elle sera daccord alors que je nai rien demandé. Je lâche le verre pour moi aussi lui tenir le poigne, sauf que je lattire vers moi. Je pensais à une certaine résistance : Je reçois sa bouche contre la mienne.
Non, pas ainsi. Chez moi cest lhomme qui fait la demande, pas la fille. Elle laura voulu, ma buche suit la sienne. Je sens sa salive quand sa langue entre dans mes lèvres. Ici aussi on sembrasse ? Tant mieux, jaime bien. Je la prends dans mes bras, elle est souple, trop ? Elle doit sentir que ce simple baiser me fait bander, depuis le temps que je nai pas eu de femme. A moins quelle veuille me faire un tour de cochon. Elle parait sincère : son baiser est trop franc. Et son ventre contre le mien se frotte à ma queue.
Elle doit être comme moi, en manque. Bien sur si je baisais avec elle, ma queue coulisserait dans son ventre, jaurais du plaisir, elle aussi Nous pourrions jouir ensemble, pas la première fois, mais la seconde.
Au fond de la pièce un genre de lit, une couchette plutôt recouverte dun tissus chamarré. Elle ouvre les boutons de ma chemise, moblige à la retirer. Elle essaie de retirer le pantalon. Je laide en lenlevant moi-même ainsi que le reste. Je me sens bien nu devant elle qui regarde la queue. Elle nen a pas peur. Sans doute que les hommes de son pays sont mieux dotés que moi. Je suis encore à me demander comment la déshabiller. Elle le fait tranquillement en souriant.
Alors là, chapeau, une reine de beauté. A son visage, je pense quelle a dans les 35 ans, à son corps à pine 20 et encore. Elle se couche, sans mattendre. Je suis à ses pieds, je lui fais ouvrir le compas. Elle comprend vite. Ma tête passe entres ses pied, ses genoux, ses cuisses. Elle mattend tout en haut. Je ne me souvenais pas quun vagin ait cette bonne odeur. Ni ce gout safrané et pimenté à la fois. Mes lèvres mordent ce fruit mur. Elle a un sursaut, elle souvre encore. Son petit bouton sort mieux sous ma langue. Je lèche, je continue longuement : je sais que es filles aimes ça, alors cest excitant pur moi, je continue.
Elle pose une main puis lautre sur mes cheveux. Elle voudrait me diriger vers je ne sais quoi. Jaccomplis le cunnilingus à fond : je la sens jouir au moins deux fois. Je monte vers elle, jarrive à coller ma queue contre son machin. Jentre en elle. Elle est plus douce là quaux cuisses. Je commence à limer, elle maide. Cest agréable davoir une femme qui repend son pied.
Sans trop le faire exprès je glisse.
Elle ne veut pas que je parte comme ça : elle me lasse le zizi avec un torchon sorti de je ne sais où. Elle renvient pour me branler elle me fait bander puis comme une chose due, elle me prend dans sa bouche. Je regarde ses lèvres entourer ma queue. Je sens sa langue tournoyer autour du gland, ses mains autour de mes couilles. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.
Je jouis trop vite dans sa bouche. Quand je sors elle tire la langue pour me montrer quelle a mon sperme dans la bouche. Et doucement, sans que je demande elle avale toute la semence. Jai eu une femme ennemie sensuelle.
Elle se lève, me tend luniforme : je dois partir, sans gouter ce quelle cuisinait. Pour rejoindre la troupe, je cours comme un dératé plusieurs heures, satisfait de ma baise. Il doit en être autant chez elle.
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