Fantasme Professionnel Vii
Chapitre 7
À genoux sur le sofa, Rosalie paniquait intérieurement mais ne voulait rien laisser paraître, trop fière pour se mettre à pleurer devant cette momie pseudo-dominatrice qui lui servait de patronne. Elle se fit également la promesse de lui retourner chaque coup de cravache lorsqu'elle en aura la possibilité.
Charlotte se positionna derrière Rosalie, prête à frapper. Emmanuelle fixait la scène avec effroi : sa meilleure amie, celle qui était en train de l'aider dans son combat, allait se faire fouetter sous ses yeux. Elle lança un regard suppliant à Maître Pittet. Celui-ci se contenta de hausser les épaules et s'adressa à son épouse :
Ma chère, eu égard au travail accompli par notre assistante et à ses apports à notre cabinet, je ne vous accorderai que trois coups de cravache.
Charlotte poussa un grognement de frustration : elle s'imaginait déjà fouetter cette petite salope de Rosalie Frei qui se permettait de la prendre de haut et de tenter de séduire son mari afin d'avoir de l'avancement.
La quinquagénaire ravala sa colère et porta le premier coup de cravache sur le fessier de Rosalie, qui planta ses ongles dans le cuir du sofa afin de mieux pouvoir supporter la douleur. La jeune assistante serra les dents : elle refusait d'offrir à sa complexée de patronne le plaisir de la voir manifester le moindre signe de souffrance.
Sous le coup, la croupe de la jeune avocate avait rosi et sétait zébrée dune striure blanchâtre. Elle sentit une chaleur insolite envahir son postérieur cambré et sétendre jusquà son bas-ventre ; quelques gouttes gluantes perlèrent sur ses lèvres intimes.
Charlotte infligea un deuxième coup. Cette nouvelle frappe ne fit quaccroître le trouble de Rosalie, qui tendit instinctivement sa croupe vers cette cravache qui à sa grande honte lui inspirait de troubles désirs et une excitation grandissante. Cette fois-ci, l'avocate recula de quelques pas et, prenant de lélan, asséna avec violence le troisième coup de cravache.
Georges voulut mettre fin au calvaire de la jeune femme :
En voilà assez. Maintenant, j'ose espérer que vous avez retenu la leçon, Mademoiselle Frei.
Il fut étonné de lentendre geindre, dune voix suppliante :
Encore, Maître, je vous en prie
Répondant au regard interrogateur de son épouse, Georges hocha la tête en signe dacquiescement. Charlotte abattit par trois fois sa cravache sur les fesses frémissantes de la stagiaire qui jouit en un long feulement de délivrance. Elle saffaissa contre le dossier du canapé, essoufflée ; entre ses cuisses restées écartées, les petites lèvres de son sexe saillaient, luisantes de son nectar intime.
À la vue de ce tableau dune rare obscénité, la verge de Maître Pittet sétait érigée ; il tenta de lui donner de laise mais cétait peine perdue, tant elle avait pris dampleur. Il se résolut à ouvrir sa braguette ; son pieux jaillit, orgueilleux, son gland arrogant déjà à demi-décalotté. Le regard dEmmanuelle, fixé sur cette érection triomphante, ne pouvait sen détourner. Georges saperçut de son trouble.
Quant à vous, Mademoiselle Perrin, vous allez faire la connaissance de mon épouse : allongez-vous sur le dos. Mademoiselle Frei, accroupissez-vous au-dessus de visage de votre amie, la tête tournée vers moi. Et vous, ma chère, amusez-vous bien avec notre infirmière.
Les deux jeunes filles se mirent dans la position indiquée. À quelques centimètres du visage dEmmanuelle souvrait impudiquement la vulve de son amie. Elle ne put sempêcher de passer sa langue sur les cuisses maculées de Rosalie, sabreuvement de sa cyprine. Lorsquelle eut tout avalé, elle se mit à laper directement à la source qui continuait de délivrer son jus savoureux.
Pas tout à fait remise de son précédent orgasme, la jeune avocate sentit à nouveau une boule de désir grossir dans son ventre embrasé par la langue habile de son amie qui léchait cette vulve épanouie.
Lépouse de Georges sapprocha de lui puis, ayant placé sa cravache sous la verge en érection, elle la souleva en lui portant un regard appréciateur.
Eh bien, mon ami, vous êtes en grande forme ! Je vous ai rarement vu dans daussi bonnes dispositions
Elle laissa retomber le membre violacé et le tapota de sa badine. Sous leffet de cet attouchement pervers, une goutte de liquide clair apparut à lextrémité du gland boursouflé. Elle sen retourna vers le canapé où les deux amies se livraient à des caresses lubriques.
Rosalie, je nen peux plus depuis tout à lheure, dans les toilettes
Fais-moi jouir !
Tu veux jouir, petite dévergondée ? sécria Charlotte. Alors, à genoux, et tourne-toi ! Vous aussi, Mademoiselle Frei !
Côte à côte, les deux amies tendirent leur croupe à la quinquagénaire. Prenant son phallus de cuir en main, elle lamena à lorée de la fente de linfirmière et le fit glisser à plusieurs reprises de toute sa longueur contre le sillon ruisselant. Lorsquil fut bien lubrifié des sécrétions intimes dEmmanuelle, elle se recula un peu, lappliqua sur lanus palpitant et sy engouffra dune longue et inexorable poussée. La jeune fille, le souffle coupé par cette lente progression qui lécartelait, ouvrit la bouche en une longue plainte inaudible, se crispa convulsivement autour du formidable engin qui lui transperçait les entrailles et jouit immédiatement sans que Charlotte Pittet eût à faire le moindre va-et-vient. Lorsque le phallus se retira, elle sécroula contre le cuir du canapé, le cul encore offert dévoilant son anus distendu.
On va voir si tu es plus résistante que ta copine
ricana la vieille avocate en se plaçant derrière Rosalie.
Elle posa une main au niveau de la cambrure des reins de son assistante, la fit glisser sur la courbure du fessier et, dun index investigateur, pénétra le vagin encore tout englué.
Pas besoin de lubrifier cet orifice !
Elle neut quà appuyer légèrement pour que lengin sengouffre profondément dans le ventre de Rosalie. Celle-ci, qui avait déjà joui plusieurs fois en peu de temps, natteignit lorgasme quaprès que le gode-ceinture lui eût fouillé son fourreau pendant pas loin dun quart dheure. Madame Pittet était tout aussi épuisée quelle après cette chevauchée fantastique. Haletante, elle ordonna à Emmanuelle :
Maintenant, tu vas me lécher, petite chienne !
Reconnaissante du plaisir que lavocate lui avait procuré quelques minutes plus tôt, la jeune infirmière enfouit sa tête entre les cuisses de la quinquagénaire et sappliqua à introduire sa langue le plus loin possible dans le conduit intime de madame Pittet, tout en alternant avec des succions de son clitoris, quelle avait très développé. Lorsquelle lui introduisit un doigt dans son petit trou, lavocate se mit à proférer des obscénités que lon ne pourrait imaginer sortir de la bouche de cette bourgeoise à laspect habituellement austère :
Bouffe-moi la chatte, espèce de salope ! Sale gouine, tu aimes les vieux trous comme le mien ? Eh bien, régale-toi, petite pute ! Lèche ! Avale-moi ! Oui
comme ça
Aaaah !
Elle fut prise dune jouissance irrépressible qui la laissa pantelante.
Georges, demeuré à lécart, le dard agité de spasmes, avait suivi avec intérêt les ébats des trois femelles ; mais à présent, il ne pouvait plus contenir son envie.
À genoux, les jeunes gouines ! Vous allez me sucer toutes les deux !
Devant tant dautorité, Rosalie et Emmanuelle sexécutèrent. Agenouillées côte à côte devant Maître Pittet qui dardait une bite congestionnée, au bord de léjaculation, lune se saisit du membre tandis que lautre prenait ses couilles en main. Elles commencèrent à le caresser.
Vos bouches, salopes !
Les deux amies approchèrent leur bouche de cette pine majestueuse prête à cracher son venin et, disposant leurs lèvres de part et dautre de la hampe noueuse, elles les firent courir le long de cette verge arrogante, avalant chacune à leur tour ce gland tuméfié qui laissait perler des gouttes annonciatrices dun plaisir imminent.
Vos langues, maintenant, sur le frein ! Léchez-le !
Emmanuelle et Rosalie joignirent la pointe de leur langue sous le gland de lavocat où elles entamèrent un ballet frénétique sur cette partie si sensible, les langues se mêlant parfois pour un baiser sensuel.
Charlotte, à genoux devant moi, vite !
Son épouse eut à peine le temps de prendre place quun jet de sperme phénoménal vint sécraser sur son front. Un deuxième atteignit ses yeux ; les suivants achevèrent de lui maculer le visage tandis que son mari hurlait de plaisir.
Après quelques instants, Rosalie adressa un clin dil à son amie et lui souffla à loreille :
Je te lavais bien dit : avec mes employeurs, le sexe, cest un exercice de haut niveau !
[ à suivre ]
Note des auteurs : afin d'obtenir des retours sur cette série, nous vous proposons, chers lecteurs, de nous donner vos ressentis par rapport aux personnages. À quel personnage vous identifiez-vous le plus et pourquoi ?
Merci d'avance pour votre participation.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!