La Goulotte ...
Un 24 décembre
Il est midi. la moitié du personnel part en congé de Noël pendant une semaine. Tous se dépêchent pour rentrer chez eux, préparer le réveillon ou faire quelques achats de dernière minutes ... Tous, sauf six, qui se retrouvent dans la buanderie, au sous-sol ... tous sont des hommes, des habitués auxquels je rends des services que paraît-il leurs femmes respectives leurs refusent !! Ça fait plusieurs années que je les fait profiter de mes talents ... au début, cétait un seul, puis plusieurs, un par un, puis un jour, deux ont eu envie en même temps, on a tiré au sort pour savoir lequel attendrait son tour, et il se trouva que celui qui ma regardé faire sur lautre a trouvé ça très intéressant, comme un stimulant qui la rendu un peu impatient, et quand est venu son tour, à peine en place, il ma gratifié de sa satisfaction
Depuis ce jour-là, entre les gars, le bouche à ... oreilles a fait son oeuvre ... ils se sont parlé entre eux. Chacun ignorait que jétais aussi généreuse, mais de lapprendre ne les a pas fait fuir ... bien au contraire !
De plus en plus souvent, le soir après la fermeture, ceux qui le peuvent, passent par la buanderie avant de partir. Le tirage au sort est tout de suite devenu indispensable, car chacun aime profiter du spectacle avant que ce soit à lui.
Çà a commencé avec un gentil technicien qui ma t-il dit, trouvait mon sourire irrésistible, révélant une dentition parfaite ... quand il a su que je le devais à une prothèse complète, son intérêt pour louverture de mes lèvres prit une ampleur visible ... Je la voyais bien, sur le bas de son devant, et ce nétait pas pour me déplaire, mais ça, il ne le savait pas, alors jai décidé de le laisser mijoter quelques jours ... juste pour voir si ce nétait pas que passager !
Rendue à la mi-cinquantaine, les misères de la vie avaient épargné mon apparence et jétais toujours flattée des remarques à double sens de bien plus jeunes
ce qui me confortait dans lidée que je pouvais encore plaire.
Cest dans cet état desprit que je voyais venir Denis, mon technicien.
Finalement, un jour, poliment, mais sans sembarrasser de détours inutiles, il ma touchée en arrière, sous la ceinture, et ma dit quìl avait envie de moi ... quil y pensait la nuit, éveillé auprès de sa femme, endormie près de lui. Il y est allé de confidences ... son épouse, enceinte de sept mois, avait perdu toute envie de rapprochement ... même seulement de ses mains, elle refusait tout, et sendormait sans se soucier de ce que son indifférence avait de douloureux pour lui ... alors il se levait
allait à la toilette et en revenait soulagé ... détendu ... capable de sendormir ... comme dans son adolescence ... quand il rêvait aux filles ...
Ce jour-là donc, il sest fait insistant
je me suis fait prier, pour la forme, car moi aussi javais envie, mais pas de la même chose que lui ! Croyant que je me refusais, il ma montré un petit billet de banque
jai pensé quil perdait la tête
il voulait me payer
il me prenait pour une femme qui se vendait ! Jaurais dû me fâcher et le remettre à sa place
jai choisi de me faire plaisir
et de lui montrer que même si javais largement lâge dêtre sa mère, javais encore celui dune femme capable de rendre un homme heureux !
Jai repoussé la main avec le billet
jai fixé de manière à ce quil sen rende bien compte, la bosse de son pantalon
je me suis accroupie en écartant les genoux pour montrer
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mes cuisses
par-dessus le tissu jai pris sa bosse et lai attirée
jai descendu la fermeture,
flatté lenflure de son sous-vêtement, un slip étroit, presque un string, que jai écarté pour faire apparaître la raideur qui le tourmentait
elle était chaude et dure
ni grosse ni petite, ni démesurément longue, normale quoi
navait pas son petit chapeau
dune main je lai enserrée, fait de lents aller retours
de lautre, caressé à sa base la grosse boule, habillée de poils blonds, comme une balle de fourrure, tellement gonflée que je ne pouvais palper les deux à lintérieur
je me suis mise à genoux
tant pis pour la vue sur mes cuisses, me suis approché, bouche ouverte
Jai levé les yeux et fixé les siens
nos regards rivés lun sur lautre, jai retiré mes prothèses, celle du haut en premier
il pouvait voir ma bouche édentée cerclée du rouge de mes lèvres, prête à labsorber
il sest avancé en même temps que moi et ma pénétrée comme ça
ou peut-être est-ce moi qui lai englouti ?
il me prenait la bouche comme un sexe, en me tenant la tête, je le sentais glisser contre mes gencives lisses, lubrifiées de ma salive
il était doux, je navais pas limpression de le sucer, je ne bougeais pas
il me faisait lamour comme çà, en silence
moi je me rappelais bien des années en arrière quand javais un homme
nous aimions tant ces choses-là !
Quand jai senti son premier jet, jai réagi comme si je navais jamais cessé de faire ça,
faut croire que ça se perd pas les bonnes habitudes
il y en avait beaucoup,
jai réussi à tout garder et avaler à petits coups
je lai retenu longtemps à lintérieur
il débandait à peine et aurait sûrement recommencé, mais lheure approchait où les préposées des étages allaient venir chercher le linge, et puis moi, il fallait que je me mette au ménage.
Venant par derrière, il ma donné un baiser dans le cou. jai eu envie de le lui rendre, mais je ne voulais pas montrer que jy avais pris plaisir moi aussi
oh, je navais pas joui, mais ça ne tarderait pas
ma culotte était à tordre, et avant de commencer mon travail, jirai à la toilette
le temps nécessaire.
En partant, il a glissé quelque chose dans une poche de mon tablier
après, jai regardé
encore un billet, mais le chiffre était plus gros
dabord envie de courir après pour le
lui rendre
je nétais pas une pute, il mavait peut-être pris pour çà mais je nen étais pas une
et puis bah!
je le verrai demain et je lui parlerai
Le lendemain, quand je suis arrivée, comme toujours en fin de journée, son bonjour a été plus chaleureux que dhabitude. Son regard était une caresse sur ma bouche, il sapprêtait à partir, dehors il pleuvait, jimaginais, cachée sous son imperméable, sa queue bandée qui forçait le devant de sa braguette en se rappelant les quelques minutes de la veille
au bout du couloir, la porte de sortie vers le stationnement
juste avant à droite, lescalier pour aller vers la buanderie, en lui disant bonsoir, jai descendu deux marches, puis lai regardé quelques secondes avant de continuer
et entendre ses pas
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derrière moi
jétais contente quil me suive
il avait aimé, moi aussi
après tant dannées de « solitude », lenvie de donner et recevoir reprenait sa place je ne recherchais pas un amant de mon sexe, mais un qui aimait le plaisir comme je le lui offrais
et lui, probablement pas une maîtresse
son désir de moi quil mavait dit, ce nétait sûrement rien dautre que lenvie de se soulager de sa frustration conjugale, et ses caresses sur mes fesses, me faire comprendre ce qui lintéressait ! Il est vrai que mes fesses, je savais quelles en faisaient bander plus dun (Ces petites excitations secrètes, cétaient mes préliminaires pour moi toute seule
), mais depuis mon défunt mari, personne ne pouvait se vanter de les avoir explorées !
en fait, personne, nulle part ! Ni en bas ni en haut, ni devant ni derrière
que mes doigts, et quelques jouets ! Denis était ma première fois depuis longtemps, il était gentil, il mavait laissée faire ce que jaimais
je métais sentie renaître
je ne voulais plus connaître le désert ! Mais il fallait maccepter comme jétais, et aimer ce que jaimais, et ce soir-là, jai su quil aimait !
Ce ne fut pas long, mais cette fois-ci je ne me suis pas contentée de baisser la fermeture, jai détaché la ceinture de cuir tressé
(un peu difficile, mes doigts fébriles peinant à décoincer lardillon pris dans le tressage)
déboutonné le haut
agrippé pantalon et slip en même temps et baissé jusquaux genoux
je ne voulais pas que faire, je voulais voir aussi
jai eu à peine le temps de dégarnir ma bouche de ses dents quil y pénétrait et voulait imposer son rythme
il avait lair pressé daboutir, moi je voulais en profiter quand-même un peu, légèrement reculée jai serré son membre à la base pour le retarder, je ne voulais pas avoir juste la bouche baisée
je voulais le plaisir de sucer, de lécher, de me remplir les yeux de ce gland, congestionné de son envie déclater et de cracher
il tentait de mapprocher la tête, mais je résistais
sa tige était saillante de ses veines gonflées
ma langue en goûtait les reliefs
ma deuxième main se caressait contre la poche poilue et aussi en arrière, en remontant, et jai tenu
.
- Sil vous plaît
sil vous plaît
je nen peux plus
laissez-moi jouir
sil vous plaît
Javais gagné, jétais maîtresse de son plaisir, il allait jouir au moment où je le voudrais
mes doigts crispés se desserrèrent mais restèrent en place
je ne voulais pas dentrée trop brutale
en même temps que je lai accueilli et encerclé de mes lèvres hermétiques
le jet fut violent
jusquau fond
chaud
je nai pas avalé tout de suite, jai attendu quil finisse avant de faire tourner dans ma bouche
vous savez, comme un goûteur de bons crus
les yeux fermés
le goût et lodorat aux aguets, faisant le plein des saveurs et des bouquets
cétait bon, très bon
mais la comparaison sarrête là, les goûteurs eux, ils recrachent
Moi, pendant que je ne recrachais pas, ses quelques mots en forme de supplique me sont revenus
sil vous plaît
sil vous plaît
prêt à « orgasmer » dans ma bouche, il mavait vouvoyée, il ne me méprisait pas, il ne me prenait pas pour une espèce de pute à
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la petite semaine faisant des pipes pour quelques dollars
alors, ceux quil avait glissés dans ma poche
pourquoi ?
Plus tard il ma dit
sa femme, elle ne suçe pas, elle trouve ça dégoûtant, contre nature
le sexe, cest pour avoir des s, pas pour faire des cochonneries. Il en avait vite pris son parti
son devoir conjugal était vite devenu un acte machinal, sans réel plaisir, une façon hygiénique de calmer une nature demandeuse. Dabord en solitaire, la tête pleine de fantasmes, il allait dans les toilettes publiques gicler sur les murs, en y lisant les inscriptions cochonnes
il y avait même des numéros de portable
des hommes qui faisaient pour le plaisir, et des femmes qui demandaient quelque chose
La première fois, il a essayé avec un homme, pas parce que ça coûtait rien
pour voir comment cétait.
Une fin daprès-midi, sur le chemin du retour à la maison, il sest arrêté dans une taverne gay où un certain Sam lui avait donné rendez-vous.
Quelques couples à des tables, un type au comptoir, seul, la bonne vingtaine, apparemment châtain, décoloré, chemisette rose ouverte, nouée à la taille
comme il avait dit
ce doit être lui. Il y va et commande une bière, lautre sapproche
- Denis ?
- Oui
Sam ?
- Oui
Pas dautres mots
perchés sur leurs tabourets hauts, une main de Sam sur la cuisse de Denis
une main qui ne traîne pas
une main qui ne ségare pas, qui va tâter le paquet entre les cuisses de Denis
Denis se décontracte
la chaleur de la main de Sam traverse la fine toile gris-pâle du pantalon
ça lui plaît, il commence à bander, lautre le sent et prend à pleine main la queue qui durcit de plus en plus
- Viens
Pas plus
Sam glisse de son tabouret, Denis le suit. Près du comptoir, une porte, un couloir puis une autre porte, une cabine avec une petite couchette, mais Denis reste debout
. Sam, tout de suite à genoux, avec une dextérité étonnante a sorti sans difficulté de sa cachette la bite tendue quil senfourna dans la bouche sans autre préambule, le nez enfoui au milieu de la braguette ouverte
les mains sur les fesses de Denis pour le tenir collé contre lui
bien loin enfoncé.
Ce doit être ça une fellation profonde se disait Denis
il pensait à sa femme, à sa bouche
sy croyait
excité comme jamais, il a senti jaillir son plaisir, conscient que cétait dans la bouche dun homme, mais peu importe, puisque elle, elle ne voulait pas
- Merci, cétait bon
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En plus, il lui disait merci de lui avoir éjaculé dans la bouche !!
Peu de mots, peu de gestes, juste se laisser faire, déjà lenvie de revenir
voudra-t-il ?
Après, accoudé au comptoir, Sam
- Si ça ta plu, reviens quand tu veux, tu as mon numéro, appelle moi.
non
non, laisse faire, la bière cest pour moi
je loffre toujours !
Guère plus de dix minutes, vite fait, un exutoire à ses envies
pas de questions, pas dexigences
de la bière en échange de sperme, drôle de penser ça
certainement que je reviendrais. !!
Sans savoir pourquoi, ce soir-là, la femme de Denis a trouvé son mari particulièrement de bonne humeur, et il na rien demandé en se couchant, elle a bien dormi, et lui aussi !
Après ça, à la fin de sa journée, il passait souvent par la taverne
depuis trois semaines comme çà
des fois, il ne buvait même pas la moitié de sa bière
mais Sam était là
Un jour, il nétait pas là, à lattendre au comptoir comme dhabitude
un signe de tête du barman vers la porte du couloir
il a compris
la cabine
il a ouvert, Sam était nu, assis au bord de la couchette, il ne lavait jamais vu comme ça ! Il lui faisait signe dapprocher
- Viens, jai envie de toi autrement, viens
je vais bien te sucer, puis jaimerais que tu mencules
viens, je suis prêt
viens
jai envie de te sentir
-
?
- Allez, viens
mon chéri ...
Viens
viens
viens
Sam ne parlait jamais, là il avait parlé, nu, fesses offertes
mon chéri
te sentir
encule-moi
les mots tournaient dans la tête de Denis, il navait jamais imaginé aller jusque-là
les pipes, ça allait, mais les fesses
sodomiser un homme
il ne pourrait pas se résoudre à ça
lenvie labandonnait
son sexe se recroquevillait, et cest comme ça quil est reparti !
À la maison, il a été bougonneux toute la soirée
deux jours comme ça !
Le troisième jour, des numéros de femmes sur le mur dune toilette
un appel
le prix
trop cher ! Un autre et un autre, toujours trop cher
finalement il est passé par le parc, dans le petit boisé en arrière du musée, il paraît quon ne trouve pas moins cher que là.
des copains en parlaient
pourvu quil nen rencontre pas ! Cest vrai que la noirceur qui tombait se faisait complice
pas grand danger dêtre reconnu.
Une silhouette adossée à un arbre, à peine éclairée par un réverbère
- Combien ?
- 20
mais je suce seulement
- Ok
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Quelques pas vers les bosquets tout proches
on entend un peu de bruit
mais on ne voit pas. Et puis au diable
Il faut payer davance
la femme se penche pendant quil zippe sa braguette et sort sa queue
une main qui branle
une bouche qui suce, pressée de satisfaire le client
un jet blanchâtre qui en sort et va sécraser dans la mousse
Il a jouit dedans, mais une bouche qui « travaille », et une qui le fait pour le plaisir, cest pas pareil
cétait quand-même bien meilleur avec Sam
!
Malgré tout, Sam, ou éventuellement un autre, il y avait un blocage ! fini
Il retourna donc assez souvent derrière le musée, toujours avec la même, il na jamais demandé, et elle na jamais dit son nom, mais était-ce bien nécessaire ? Comme il était devenu un habitué, elle lui faisait un prix à quinze dollars.
Çà a duré jusquà ce quil remarque ma présence, pourtant je le voyais presque tous les jours, quand je commençais vers 20h, mon travail qui se terminait aux petites heures du matin. Il est vrai que fagotée comme jétais dans ma grande blouse dun vert pâle qui paraissait délavé, mal ajustée, les cheveux cachés sous un bonnet à élastique comme ceux des chirurgiens, je navais rien de sexy
et puis, une femme de ménage, cest du petit personnel, on ne fait pas attention à une femme de ménage
elle fait partie des murs
en plus, pas coquette pour deux sous, sans maquillage, je ne faisais rien pour être « vue » Pourtant, des commentaires un peu trop forts, sur le cul que je devais avoir, entendus involontairement, auraient dû minciter à mieux me montrer
Son compliment inattendu sur mon sourire a été le déclic
il a ressuscité mon envie, je me suis arrangée, mes cinquante-cinq ans se sont embellis, et sa main sur mes fesses
tout ça ma donné le goût de conjuguer le verbe « revivre » !... et vous savez le début !
Le billet dans ma poche la première fois ? : Manière de me remercier du plaisir que je lui donnais sans en exiger en retour
il ne se doutait pas
Il ne se doutait pas que ce quil mavait donné, cétait ça mon plaisir
le sperme que javais avalé était mon meilleur aphrodisiaque, prélude à ce que je me dispensais toute seule
Jai même failli le lui dire
je ne jai pas fait
ses remerciements nont jamais cessé, et ma conscience sen est fort bien accommodée, ils étaient les bienvenus
je ne demandais rien, jacceptais seulement, et puis honnêtement, ça faisait bien mon affaire.
Ma fille et son compagnon, décédés mavaient laissé deux adorables petits s, dont je moccupais entièrement, mes revenus étaient tout juste suffisants
les billets de Denis
cétait pour eux
pour les gâter un peu
La buanderie, cest là, dans un petit cagibi quest tout le matériel dont jai besoin. On sy retrouvait presque tous les soirs, quand il partait et que moi jarrivais. Nous avons fini par nous tutoyer
le « vous » devenait gênant, mais nos courts moments « dintimité » ne changeaient pas
caresses
fellations
plaisir
je suçais, il jouissait
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javalais
et quand il était parti, moccupais de moi avant de commencer mon travail.
Si jarrivais la première, je retirais mes dents
lui, entrait toujours bandé rien quà lidée
moi à genoux ou assise sur le petit banc
jétais prête
Il ne me touchait pas de ses mains, sauf pour me maintenir la tête. Un jour, pendant que je suçais, il ma demandé
jai dit oui
nous avons changé de position pour que je sois plus accessible, blouse et robe relevées, jai senti sa main, tremblante dexcitation, glisser entre mes fesses, sy attarder un peu et me toucher par le côté de la culotte
là où je mouillais
je ne pouvais pas le cacher
ses doigts me firent du bien
je me suis laissée gagner par lorgasme qui montait
il y mettait tout ce quil pouvait, autant là que dans ma bouche
pour la première fois jai laissé échapper un peu de son jus, quand jai joui bouche grande ouverte, en même temps que lui
Il ne savait pas que je le faisais toute seule, il était tout heureux de mavoir fait jouir. Je me suis dit, ça y est maintenant il sait que jy prends plaisir, il ne se sentira plus obligée
de me donner mon petit cadeau
jai pensé à mes petits-s
jai regretté davoir dit oui !
je nai même pas regardé dans la poche de ma veste accrochée à la patère, où il le mettait dhabitude, une entente tacite
Vers 6h du matin, à larrêt dautobus, en cherchant mon billet, jai trouvé
je ne regrettais plus
Ce nétait pas beaucoup à chaque fois, mais petit à petit, je me garnissais une petite cagnotte, tout allait bien, mais pas vite, et je me suis dit : Pourquoi pas ??
Eh oui, pourquoi pas ?
le plaisir et lutile
mais il en faudrait plusieurs ! je ne me vendrais jamais, suffira quils aient la juste idée de me témoigner leur reconnaissance !
Jen ai parlé à Denis, jappréhendais un peu sa réponse. Je ne me sentais pas obligée de lui demander la permission, mais plutôt le rallier à mon idée
et me servir de lui !
Ça a marché
il avait lair tellement accroc à mes petites gâteries quil était prêt à beaucoup, et jen ai profité ! En échange, bien que je naccepte toujours pas de pénétrations, je lui ai permis de se finir derrière moi et de décharger entre mes fesses
ça me privait de ce que jaimais
mais fallait bien le récompenser !
Une fois, peur dêtre surprise, jai vite remonté ma culotte
pas vraiment agréable de sentir que ça colle dans la raie
après, comme je ne savais jamais quelle fin il allait choisir, jai pris lhabitude de lôter en même temps que mes dents
Dans leurs conversations entre gars, les histoires de cul étaient toujours dactualité, untel enculait sa belle-mère
lautre baisait sa belle-sur etc
etc
et les autres, nayant pas de « salope » à leur disposition, aimaient se faire sucer par des putes et les voir cracher leur foutre
mariés
pas « gâtés », ils trouvaient compensations ailleurs. Ce ne fut pas difficile, tous travaillaient chez nous, Denis les connaissait
cétait bien
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pratique ! le premier fut Henri, un soir, tard, il était de nuit
ma abordée dans un couloir, pas très à laise
- Bonjour
Denis ma dit que je
enfin que vous
Jétais presque attendrie de sa gêne
ça ne me déplaisait pas. Il fallait descendre à la buanderie avec mon chariot
six étages
dans lascenseur, pour que ce soit bien clair, jai testé
une main ferme, autoritaire, sur sa braguette jai tâté, je sentais que ça durcissait
Il allait savoir comment ça se passe, sans chichis, il fallait que je sois bonne, meilleure que les putes quil avait lhabitude daller voir
quil ait envie de revenir !
Vite entrés, porte fermée, je ladosse à la cloison et mattaque à louverture de sa braguette
elle est encore à boutons
me semblait que ça ne se faisait plus ! Je déboutonne
il na pas de slip
son engin jaillit
cest drôle, on dirait quil est bronzé
plus court que celui de Denis
pas bien long mais gros, yen a qui disent « épais », moi jaime mieux « gros », ça mexcite plus de dire que jen ai gros dans la bouche
« épais », je garde ça pour ce qui en sort !
Je nai pas baissé le pantalon, je me dénude la bouche en le regardant
ses yeux sarrondissent de surprise devant cet orifice dégarni
jécarte et tire la braguette vers le bas pour sortir les couilles
il savance et pénètre
je les tiens pendant quil se fait aller, elles me claquent sur le menton
le nez dans le poil, je nai pas longtemps à attendre
il jouit en geignant
des ho
ho
ponctuent ses giclées
et quest ce quil ma mis !
un vrai festin
depuis que jai recommencé avec Denis, je ne métais jamais autant régalée !
il devait être en manque depuis un moment
jétais vraiment remplie
je nai pas avalé dun seul coup
jai dégluti plusieurs fois
Après Henri, Antoine
Damien
josé
ont été les suivants
qui ont été suivis par beaucoup dautres
jai même oublié des noms
jai dû adapter mes horaires
arriver plus tôt
partir plus tard, tout allait bien.
Je me suis acheté un portable, fallait gérer, éviter que les uns rencontrent les autres
comme pour les médecins, fallait prendre rendez-vous ! Malgré ça, il y eut la fois où deux se sont présentés en même temps. Lidée du tirage au sort a tout arrangé
jai déjà dit.
Partie dun hasard, cest même devenu une activité organisée, fort plaisante, bien que quelquefois, ceux qui attendaient leur tour naient pu tenir assez longtemps
ils se vidaient avant
ils jouissaient dans le vide
tant pis pour eux !! Vu labondance, je ne le déplorais pas trop, dautant plus que chacun déposait quand-même son obole
!
Tout marchait à merveille, mon magot faisait presque de lembonpoint, bien à labri dans un coffret de sûreté à la banque
bien vite, la boite à biscuits cachée sous les piles de vêtements était devenue trop petite
les petites coupures se changeaient en grosses
cétait du revenu net , mon salaire de femme de ménage devait avoir des complexes, pas dimpôt, du travail au noir, enfin
si on peut dire
!!
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En ce 24 décembre, je repense à tout çà.
Pas loin de cinq ans déconomies
des placements sûrs, la retraite sannonçe confortable
et je compte bien sur au moins autant dautres années
Peut-être quà 65 ans
?
et encore
Et quand je pense quavant, je rêvais de pouvoir me payer des implants
!
Le plus drôle, cest que je ne fume pas
et que les pipes rythment mes journées
mais cette fumée-là, elle ne fait pas de mal aux poumons
Ce soir, létudiante à qui je « loue » une chambre, en échange de la garde des s la nuit, va dans sa famille pour la durée des vacances,
donc je vais rester à la maison. Je vais avoir une remplaçante pour le ménage
seulement ! il y en a qui vont sennuyer
mais moi, je vais profiter de mes petits trésors.
En attendant, ce midi du 24 Décembre, avec six de mes « fidèles », ça va être échanges de cadeaux de Noël.
Mes dents, dans leur bain transparent, sur la petite tablette au-dessus du lavabo verront ma bouche ouverte se remplir de sexes tendus
de queues au bord des larmes, venues y sangloter
y vider le contenu de leurs bourses trop pleines
tant quils en sentiront le besoin
aujourdhui, ce sera vraiment sans limite
sauf les leurs
Le 31, ce sera au tour de ceux de lautre moitié, ceux qui auront leur semaine de congé pour le jour de lan. Je ne sais pas encore combien ils seront, mais jy serai
jaime trop les cadeaux
La GOULOTTE : Nom que mont donné mes
amis
Pour celles ou ceux qui savaient ou qui ont cherché, pas de problème
pour les autres, voici une des définitions ; Petite rigole qui sert à lécoulement des eaux
vous voyez le rapport ? Non ! Oh voyons
un peu dimagination
Moi je laime, je trouve quil me va bien
pas vous ?
NAT-LM - 12/2013
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