Collection Folle Du Cul. Maryse Et Monsieur X (4/4)
Par lintermédiaire de Chris71, jai commencé à vous raconter ma vie depuis mon mariage.
Après laprès-midi passé dans ma chambre, à me faire baiser par monsieur X, ma vie avait pris un sacré virage.
De statut de femme mariée, je prenais celui de prostitué de monsieur X.
Comme il me la demandé, cest une femme un peu honteuse qui rejoint la chambre 69 de lhôtel indiqué sur lenveloppe.
Les 400 francs quelle contenait, je les prends comme paiement de léquivalent dune passe dune prostituée.
Pute et femme mariée aimant son mari, je le serais jusquà la fin de mes remboursements.
Quinze jours entre chaque folie quil me faisait faire font que certaines fois, cest loin dêtre ma petite culotte que je souillais.
Cest directement à ma source quil buvait malgré ces quelques jours de fin de cycle naturel.
Ses abjections sont telles quun jour, cest moi qui ai pris linitiative.
Il me donnait généralement toujours la même somme, 400 francs une fois sur deux.
Je voulais quil en ait pour son argent alors je me suis mise en levrette.
Cest sa position favorite, certainement à cause de son embonpoint.
Quant à son hygiène, il est toujours égal à lui-même.
À croire que cest un personnage quil sest créé et que cela en fait parti.
Je vois monsieur X les lundis, ma belle-mère sabsente fréquemment les mercredis.
Connaît-elle la chambre 69 comme je la connais après des mois ?
Je préfère lignorer.
Je mentends parler quand je lui ordonne de franchir une étape dans nos rapports assez ignobles.
Monsieur enculé-moi.
Les mots étaient prononcés et dans la position où jétais, je savais avoir du mal à men échapper.
Êtes-vous sur de ce que vous me demandez.
Par chance cette question avec toujours ce vouvoiement réciproque a été prononcée sans coupure dans laction démarrée.
Jai senti son gros gland au contact de mon anus et cest moi qui ai commencé à pousser pour le faire entrer.
Jai eu quelques douleurs, mais jétais fière pour une fois davoir pris linitiative.
Putain, jai connu de nombreuses salopes depuis que je suis devenu la banque de ces dames.
Mais une salope comme toi on en redemande.
Il ma pilonné et non content de me dépuceler lanus, est-ce les sécrétions, mes sécrétions quil avait sur la queue, mais il ma quitté avec un peu de regret de ma part.
Il sest allongé.
Venez, sucez-moi, je veux finir dans votre bouche.
Que cette chose était délicatement demandée en passant par ses vous.
Jai eu un petit mouvement de recul.
Comment pouvait-on demander à une jeune femme de vous sucer la bite alors quune fraction de seconde avant elle se trouvait dans votre conduit anal.
Un gentleman se serait levé, aurait rejoint la salle de bains se serait rafraichi avant de revenir vous la fourrer jusquà votre glotte.
Mais monsieur X semblait se foutre comme de sa première chemise den être un.
Ce quil aimait par-dessus tout, cétait de contraindre le plus de femme possible dêtre tributaire de leurs ennuis dargent et de leur montrer que son fric était à leur disposition pour ses jeux pervers.
Il me la prouvé à la fin de laprès-midi, alors que nous allions nous séparer, lorsquil a sorti son portefeuille de sa veste de costume défraichi.
Il était plein de billets, de grosses coupures, en sortant une, de 500 francs, plus gros billet jamais vu à cette époque, me montrant que mon cul valait cette somme.
Je lai pris comme je prenais tous les autres.
Pute un jour, pute toujours.
Un samedi où nous étions vu le lundi précédent et où il mavait baisé memportant vers des sommets de luxures et de perversions, nous étions dans une boîte de nuit à la mode avec Claudio et des amis.
Je lai vu entrer, jétais face à lui.
Heureusement, que la lumière était tamisée, car jétais rouge de honte et de confusion.
Il nous a vus et il est venu directement vers nous, saluant les hommes et pratiquant le baisemain à chaque femme.
Cest Claudio qui ma apporté le coup de grâce.
Monsieur X, cher voisin, installez-vous à notre table.
Si vous saviez les éloges que ma mère vous fait.
Sil savait que de lendroit ou il avait vu le jour, cet homme y mettait sa verge et la baisait régulièrement.
Il a remis une tourner, il avait ses yeux dans les miens ou est-ce la peur quun incident fasse savoir à tous que je remboursais encore la voiture avec laquelle Claudio mavait amené !
Un moment jai cru que jétais fichu, tous allaient savoir que jétais à la limite dêtre la prostituée de cet homme qui enjôlait mon mari.
Ils étaient tous fascinés par cet homme que jaurais voulu voir à des lieux de la table basse et des banquettes moelleuses où nous étions installées.
On vous voit toujours seul, avez-vous une amoureuse cachée.
Ça y est mon sang se glace.
Des femmes, jen ai autant que je veux, jai baisé la plupart de mes voisines.
Cest fait, adieu mariage.
Dans ces années-là, les boîtes diffusaient de la musique où il y avait des slows.
Ils commençaient à en diffuser un.
Il sest levé et a pris ma main ajoutant.
Sauf vous madame.
Maccorderez-vous cette danse, si votre mari est consentant, il va de soi.
Je retrouvais là toute la perfidie du bonhomme, les lundis dans le lit conjugal, à lhôtel lorsquil me baisait sans les moindres tabous.
Mais oui, monsieur X si Maryse est daccord !
Je me lève, je me coule dans ses bras.
Je sens son bras appuyer sur mes reins pour me plaquer à lui.
Sans bander complètement, sachant le volume quelle aurait représenté, je la sentais contre mon ventre.
Je mouillais.
500 pour vous baiser dans les toilettes.
Il voit que jhésite.
1 000, vous savez que je les ai sur moi.
Il serait dommage que votre cher mari apprenne la salope que vous êtes, vous encule-t-il comme je lai encore fait lundi à lhôtel.
Vous avez cinq minutes, pour vous y rendre, je trouverais le moyen de vous rejoindre.
Je lai fait, jy suis allée.
En peu de temps, je me suis retrouvée appuyée les mains sur la cuvette.
Dans lune delles, je voyais les deux billets quil venait de me donner.
Des grosses coupures étaient rares à cette époque et je savais que jaurais du mal à les écouler, la fausse monnaie étant courante.
Il a soulevé ma robe et déchirant ma petite culotte il ma pris comme la chienne quil avait réussi à faire de moi.
Il va de soi, que la peur et la situation ont décuplé mon plaisir jusquà ce quil se vide les couilles avant de mabandonner.
Le lundi suivant, cétait le lundi du dernier versement.
Javais toujours la même sensation dabjection et de plaisir qui tapissait ma vie depuis que mes mains les avaient posées sur ce paquet de billets afin déviter le chômage à mon mari.
Madame, voulez-vous que nous nous retrouvions ici comme nous le faisons régulièrement depuis un an.
Vous seriez très...
Généreux, oui, je le serais.
Voilà, jarrive au bout de mon histoire avec monsieur X.
Pendant des mois, environ cinq, mon mari a profité des largesses de monsieur X.
Jarrivais à lui cacher, je lui offrais des vêtements toujours à la mode sans quil cherche à savoir, comment je me procurais largent liquide.
Je lui offrais aussi des vacances au bord de la mer où nous mangions au resto nous regardant les yeux dans les yeux avec Claudio.
Claudio dont je vous raconterais ma rencontre jusquà mon mariage et ma vie.
À bientôt.
Encore merci à Chris.
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