Mes Premières Fois

Il m'a fallu attendre les cours d'éducations sexuelle pour découvrir avec d'autres que j'avais un clitoris. Il m’a fallu entendre encore pour oser le toucher, et encore avec précautions. C'est vrai que se tripoter la chatte n'est pas dans mes habitudes. Mon flirt d'alors voulait que je me laisse faire quand il passait sa main sur mes cuisses. Je savais qu'il ne cherchait qu'à assouvir son rêve de me dépuceler. Je tenais à rester vierge pour mon futur mari.
Un jour, pour une visite médicale je me permettais d'en parler. Le médecin m'affirmait que je pouvais sans crainte me toucher, me masturber comme il disait, me faire même toucher par un autre, sans problème. Sachant que c'était agréable j'autorisais mon flirt à passer sa main et venir sous ma culotte. Avant de me faire toucher je commençais moi même.
J'ai en mémoire cette première fois. J'étais allongée, sur les draps. Par précaution j'avais enlevé la culotte. La jupe sur le ventre j'accédais vite sur mon bas ventre. Première constatation : j'étais trempée. Deuxième je sentais qu'il fallait que je dégage le petit bout de sa protection. Après une simple affaire de caresses maîtrisées. Je prenais vite la position de la main, des doigts pour sentir monter ce plaisir inoubliable.
Je pensais à une foule de bêtises, à des hommes nus, des femmes nues, d'accouplements monstrueux. Quand je sentais cette fameuse petite mort. Je suis restée dans les vapes un bon moment. Je me suis réveillé quand j'entendais ma mère monter l’escalier.
Mon copain que je voyais le lendemain recommençait à vouloir me déshonorer. Je le laissais me toucher. Il me donnait aussi sa verge gonflée, ma première queue. Il me montrait comment il fonctionnait. Ma main droite faisait descendre et monter sa peau. Je voyais son jus partir en jets violents au dessus de ma main.
Sa main savait comment procéder. Il me masturbait tendrement. J’allais avoir mon premier orgasme partagé quand il voulait mettre deux doigts dans le vagin.

J'ai eu peur : je le lui ai interdit. Il a changé d'endroit pour venir sur mon petit trou. J'acceptais cette intrusion peu agréable uniquement pour lui faire plaisir. Je sentais son doigt aller et venir dans mon fondement. Ça avait l'air de l'exciter, moi j'étais dubitative : quel genre de plaisir peut-on avoir à cet endroit. C'est quand je me suis détendue que je sentais monter le plaisir qu'on qualifie d'anal.
S'il avait voulu mettre son engin là, dans mes fesses, j'aurais accepté.
Plusieurs mois plus tard, j'avais changé de copain: il était plus mignon, plus grand, plus fort. Il ma caressait bien mieux, j'aimais quand ses mains étaient sur moi. C'est lui qui le premier est venu poser sa queue sur mon petit trou. Il faisait plus que la poser, un jour il est entré royalement. Je sentais mon cul s'ouvrir doucement sous sa poussée. Je n'avais qu'à peine mal. J'ai joui en même temps que lui, quand il donnait sa semence.
Il aurait voulu me faire femme, ce que je refusais toujours. C'est le dernier homme de ma vie qui alors qu'il venait de me demander en mariage m'a dépucelé. Je le regrettais sur le moment, pas, plus tard, quand j'ai joui enfin d'une bite dans ma chatte.

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