Ménage De Chantier
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je travaille sur des chantiers de construction résidentielle, pour faire le ménage après la fin des travaux. Un soir, alors que nous devions être deux, je me retrouve seule puisque mon collègue est à lhôpital pour une appendicite. Comme je nai que deux appartements à nettoyer, je ne demande pas de remplaçant pour maider à faire le boulot. À mon grand regret
ou à mon grand plaisir. Cétait la canicule jétais vêtue seulement dun minishort et dune camisole, javais ma musique a plein volume dans les oreilles, me remuant les fesses en rythme puisque me croyant seule. Je sentie tout-à-coup une main sabattre sur mon épaule.
- AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!
- Bonjour beauté, mes copains et moi venions pour reprendre nos outils, quand nous sommes tombés sur un spectacle magnifique
- Ma
mais comment êtes-vous entrés ? Je suis la seule avec le promoteur à avoir la clé
- Le promoteur ? Mais le voilà
- Bonsoir, japprouve totalement, le spectacle était magnifique regarder leffet que vous nous faites
En disant ça ils sortent leurs queues dures comme le roc
- Comme cest vendredi soir, personne ne viendra avant lundi, ce qui nous laisse amplement le temps de nous amuser, nest-ce pas les gars ?
- Oh oui, répondirent tous en cur
- Il nen est pas question !!
- Les gars il semble quelle ne veuille pas nous aider à nous détendre volontairement, mais ce nest pas grave, pas besoin de sa collaboration
Je fus saisie de chaque côté par deux géants, qui me soulevèrent comme si je ne pesais pas plus quune plume. Jai été emmenée dans un autre appartement pas encore fini, puis ligotée aux quatre coins dun cadre de porte. Je savais quil était inutile que je me débatte puisque jétais seule et ligotée contre une dizaine peut-être même une quinzaine dhommes forts, musclé alors que moi avec mon mètre 65 et mes 52 kg ne faisions pas le poids.
- Cesse de te débattre, sinon tu auras encore plus mal
-
non sil-vous-plait, arrêter, je ne dirai rien
- Arrêter ? Mais nous navons pas encore commencé
Les larmes ce sont mises à couler le long de mes joues. Tête baissée, jattendais la fin de mon cauchemar. Me voyant calmée les hommes sapprochèrent pour tâter cette beauté qui était à eux pour le week-end. Mes seins assez volumineux, malgré ma petite taille, furent pincés, étirés, tordus.
- Regardez-moi ces seins, ils donnent envie de mordre dedans
- Vas-y ne te gêne pas, mais fait attention il ne faudrait pas trop labîmer, sinon on ne pourra plus samuser
Lhomme se pencha, saisi mon mamelon droit entre ces dents et mordit assez fort, puis il fît la même chose avec le gauche. Les autres hommes, ce caressaient la verge en attendant leurs tours de jouer avec moi. Mes yeux ce sont alors posé sur les deux hommes les plus éloignés de moi, je navais jamais vue de monstre pareil !! Leurs queues étaient gigantesques, je nen avais jamais vue daussi grosse, même dans les films X visionnés sur internet. Le promoteur voyant mon sursaut, suivi mon regard, et sourit.
- Cest Mamadou et Abdellah ils ne parlent pas beaucoup le français, mais ils ne sont pas ici pour papoter nest-ce pas ? dit-il en éclatant de rire
Un des hommes sapproche de moi, se penche et membroche dun coup sec. La douleur est atroce. Il me besogne rapidement et jouis, à peine est-il sorti quune autre queue prend sa place, suivi dune autre et dune autre. La douleur diminue, puisque ma chatte est maintenant lubrifiée avec tout le sperme des précédents.
- Ah non ! Pas question que tu manques une seule minute du spectacle
Le dernier fini par éjaculer, je croyais mon cauchemar terminé
erreur il ne faisait que commencer. Ils mont détaché et traîner, à moitié inerte, vers une pile de planche, je fus à nouveau ligoter, mais à quatre patte cette fois. Le promoteur, qui semblait le plus sadique, prit alors un câble et dun coup sec me fouetta le dos, puis les coups ce mirent à pleuvoir, mais il savait ce quil fesait puisque le sang ne coula pas.
- Il nest pas plus joli son dos ainsi marqué ?
- Oh oui !! Mais ces fesses ne sont pas assez rouges
Les coups reprirent, mais cette fois sur mes fesses, qui chauffèrent atrocement, rapidement.
- Vous êtes satisfait de la couleur ?
- Oui patron !
Un doigt vint me titiller la rondelle, puis senfonça dun coup, un deuxième puis un troisième virent rejoindre rapidement le premier. Les doigts sortirent, et un gland les remplacèrent aussitôt. La brûlure fût atroce, et encore une fois je mévanouie. Une nouvelle paire de baffe me ramena aussi sec à la vie. Jhurlais de douleur et jétais secoué de sanglot.
- Un volontaire pour la bâillonner ?
Une queue ce présenta devant mes lèvres, et senfonça directement au fond de ma gorge, me donnant un haut-le-cur.
- Si tu vomis, je te fais bouffer tout ce qui est sorti
Je ravalais péniblement ma bile et je tentai de me détendre pour calmer la nausée. Jétais embroché par les deux bouts, je me faisais secouée davant en arrière violemment. Puis celui au derrière moi ce vida dans mes boyaux et sorti, aussitôt remplacer par un autre. Même chose pour ma bouche, ils ne me laissaient aucun répit.
- Il ne reste plus que Mamadou et Abdellah
Puis il éclata dun rire sadique. Lorsque jai senti le gigantesque gland pressé ma rondelle, jai paniquée et je me suis débattue, nouvelle paire de baffe.
- Ne te débat pas et détend toi sinon tu souffriras encore plus parce que de toute façon ils entreront tous les deux
Je tentais de me détendre, mais rien à faire. Quand il commença à senfoncer, je me suis sentie scinder en deux. La douleur et la sensation de brûlure était inimaginable. Heureusement il éjacula rapidement et ce fût autour du dernier, qui lui non plus ne dura pas longtemps, tellement ils étaient à létroit. Il éjacula dans un rugissement. Un petit répit me fut accorder, mais pas assez long à mon goût. Détachée à nouveau et traîner dans une autre pièce où il y avait une pile de bâche. Le promoteur ce coucha au centre et deux des mastodontes me placèrent au-dessus de lui, je me retrouvais empaler sur sa queue, heureusement pas trop grosse. Il me tira vers lui pour membrasser, je suppose, mais je suppose mal, cest plutôt pour libérer laccès à ma porte arrière. Un gland ce presse contre elle et senfonce sans plus de cérémonie. Mon cri fût aussitôt étouffé par un mandrin senfonçant dans ma gorge. Rien ne pouvait arrêter mes larmes, jétais secouée de sanglot.
Le promoteur resta bien calé au fond de ma chatte malmenée, et les queues ce succédèrent dans mon fondement. Lorsque je vis le sourire carnassier de cet homme je su qui arrivait derrière moi : Mamadou et Abdellah. Jeue un moment de surprise lorsquil se retira, mais ce fût pour laisser sa place à un des deux monstres.
- Je te réservais le meilleur pour la fin
Je fût maintenue solidement en place et lautre senfonça derrière. Je croyais avoir goûtée à la pire douleur, mais je me trompais. Lourdement. Javais limpression quun fer chauffé à blanc senfonçait en moi. La dernière chose dont je me souvienne avant mon évanouissement, cest le rire démoniaque du promoteur.
- Bon elle se réveille, on va pouvoir recommencer à samuser
Les coups de fouet commencèrent à pleuvoir de tous les côté à la fois. Ma peau se marbra rapidement de rainure rouge vif.
- Et maintenant que voulez-vous essayer ?
- Une double vaginale !!
- Une double anale !!
Je fût horrifier dentendre ça. Finalement loption double vaginale avec Mamadou et Abdellah retint la majorité. Sans prendre la peine de détacher mes membres, ils me descendirent de la poutre et mempalèrent directement sur le premier, couché au sol, le deuxième sapprocha, colla sa queue sur celle de son copain et commença à forcer le passage sous les vivat des spectateurs. Quand ils furent bien installé au fond de ma chatte, qui nétait plus quun trou béant, ils commencèrent à faire des va-et-vient lent puis de plus en plus rapide, jusquà lexplosion. Ils se retirèrent puis mabandonnèrent au milieu des bâches, tous les hommes mencerclèrent et méjaculèrent, un mélange de sperme et durine, partout sur le corps, visant particulièrement mon visage.
Ils me détachèrent et je restai seule avec le promoteur.
- Tu as aimée ?
- Oui merci mon amour, il faudra recommencer, peut-être avec plus de grosse queue et plus de participant
- Daccord, maintenant vient, rentrons à la maison pour que tu prennes un bon bain
- Oh oui ! Et tu me feras lamour après le bain?
- Tu es insatiable, me dit-il avec de lamour dans les yeux
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