Une Lueur Dans Son Regard Vert (2)

A présent j'avais ma langue enfoncé le plus loin possible dans son vagin chaud et humide. Mon amie criait de toutes ses forces et je sentais son orgasme arriver. Je ressortis ma langue de sa chatte, me remis à la lécher de haut en bas et de toute mes forces et soudain ça y était : elle écarta ses jambes encore plus, hurla comme jamais encore je ne l'avais entendu hurler, et jouis sur ma langue. Je continuais à la lécher une minute, beaucoup plus lentement, puis remontait vers sa bouche que j'embrassais tendrement. Nos langues se caressaient doucement, et je sentais ses jambes enserrer ma taille et ses bras autour de mes épaules. Enfin, nous rompîmes notre baiser. Elle se laissa tomber dans le canapé, fatiguée.

" - Ca va ?
- Je ne croyais pas que ce serait aussi bon ... C'est tout le temps comme ça ou c'est toi qui est douée ?
- J'en sais rien .. Demande à mes derniers coups !" lui répondis-je d'un air malicieux en me levant, prête à me rhabiller. Je sentis de suite une main m'attr par le bas de ma culotte (noir et rouge, en dentelle aussi, type boxer pour les voyeur coquin que ça pourrait intéresser ;) ) et me tirer vers le canapé à nouveau. Je me retournais, sourire aux lèvres. Léna me fit tomber sur elle et m'agrippa fermement.

" - Qu'est-ce que tu veux, chaudasse ?
- Ton entrejambe, salope."

Elle colla sa bouche à la mienne et m'embrassa longuement, puis je senti ses mains s'aventurer entre mes jambes. Elle me caressait par-dessus ma culotte. Je gémis doucement contre sa bouche, m'en écartais.

" - Dans ma chambre. De suite.
- Pourquoi ? On est bien ici.
- J'm'en branle. Dans ma chambre."

Elle rit en sentant qu'elle m'avait émoustillée, fière d'elle. Elle prit la direction de ma chambre, ma main dans la sienne. Une fois rentrée dans la pièce (en bordel, évidemment, pour ne pas changer), je la plaquais contre le mur et l'embrassait avec une fougue et une envie non dissimulé.

Je la voulais entre mes jambes. Maintenant et ici. Elle avait parfaitement compris : elle me poussa sur mon lit, je tombais sur le dos, jambes écartées. Elle restait debout, me regardant avec envie. Il faut dire que les sous-vêtements que je portais ce soir-là comptaient parmi les plus sexy de ma garde-robe : un soutien-gorge à balconnets rouge et noir et une shorty assorti, surtout noir avec un liseré de rouge sur l'élastique. Enfin, elle s'agenouilla entre mes jambes, tira sur ma culotte pour l'enlever et posa sa langue sur ma fente. Elle me léchait très profondément, jouant de ses doigts sur mon clitoris. Je sentis sa langue s'aventurer dans mon vagin, puis emprisonner mon clitoris entre ses lèvres. N'y tenant plus, je lâchais un "doigte moi". Elle ne se fit pas prier et me pénétra doucement, d'abord à un doigt, puis à deux. Sa langue me léchait avec applications, récupérant toute ma cyprine. J'étais trempée, heureuse, chaude. Au bout d'un quart d'heure, alors qu'elle caressait de ses doigts ma fente tout en enfonçant profondément sa langue dans mon vagin, mon orgasme me terrassa, et je jouis de deux copieux jets de mouille qui coulèrent entre mes cuisses. Mon amante s'empressa de me lécher encore quelques minutes, puis vint m'embrasser. Cette nuit-là, nous avons fait l'amour sans discontinuer pendant de longues heures. Les semaines qui suivirent furent pleines d'expériences elles aussi, et je m'empresserais de vous les raconter au fur et à mesure ...