Leslie La41
Leslie LA41 - Laure, le journal intime - La petite Nipponne
Quels sont ceux ou celles qui nont pas un jour fantasmé sur une rencontre improbable, celle dont ont à toujours rêvé et qui ne se produit que par hasard, un jour, mais faut-il être là au bon endroit et au bon moment
Cest certain, ce jour-là, je devais être au bon endroit au bon moment, enfin à vous de juger et peut-être que cet instant alimentera vos fantasmes et vos rêves, et qui sait hantera vos nuits.
En vacances près du Puy en Velay, javais entendu parler dun petit train touristique qui parcourait les gorges de lAllier entre Langeac en Haute-Loire et Langogne en Lozère.
Un itinéraire entre volcans et granit, sur la mythique ligne des Cévennes, parcours particulièrement audacieux traversant des gorges sauvages et inaccessibles, le relief accidenté ayant nécessité l'édification de très nombreux ouvrages d'art.
Pendant deux heures, le train chemine sur soixante-sept kilomètres, traversant pas moins de cinquante et un tunnels et seize viaducs, construits à la force de l'homme au dix-neuvième siècle.
Donc ce matin-là, dès neuf heures le train se met en route, nous sommes au début de la saison et malgré le beau temps peu de personnes ont pris place, quelques touristes et des retraités profitant de ce moment privilégié avant larrivée des touristes.
Assise sur ma banque, je me laisse aller en regardant le paysage magnifique, tout en étant ballotée dans les virages et de temps à autre je jette un regard à ma voisine face à moi qui absorbée elle aussi par le paysage, ne me calcule même pas.
Cest une jeune japonaise, aux yeux noirs et rieurs, qui semble bien fluette pour le lourd sac quelle trimbale avec elle. Chaussée comme une randonneuse professionnelle, elle porte curieusement une ample jupe écossaise dont le pan est retenu par une grosse épingle à nourrice. Son torse est avantageusement moulé dans un pull-over à grosses côtes, blanc écru.
Mais entre deux contemplations du paysage qui se déroule très lentement sous nos yeux, nos regards se croisent, de plus en plus souvent et nous nous sourions.
Dans un virage plus instable que les précédents, ma voisine japonaise prend linitiative de venir caler son pied lourdement chaussé près de ma cuisse.
Ce faisant, elle relève sa jupe pour mieux manuvrer. En un éclair je distingue ses cuisses fines et nues au-dessus de ses grosses chaussettes de marche.
Le spectacle est dautant plus charmant et affriolant que mon regard continu à fouiller rapidement lombre sans quil ne puisse être arrêté par un quelconque sous-vêtement !
Illusion ou réalité ?
Ma voisine en provenance de lEmpire du Soleil Levant ne porterait-elle pas de culotte ?
Alors là ! Je suis stupéfaite, non je nai pas la berlue
jentrçois son berlingot.
Ce geste, la-t-elle fait exprès
Est-il destiné à mon intention ?
Sous le coup de létonnement et avec une certaine émotion qui me fait tressaillir, imperceptiblement, je tourne ma tête de droite et de gauche pour constater que nous sommes seules et que ma voisine, restant dans cette position impudique, continue de sintéresser quau monde minéral qui nous entoure.
Alors, je reviens directement planter mes yeux dans ceux de la jeune Nipponne.
Durant quelques longues minutes, nous restons ainsi, dans une sorte de joute, de défi, de jeu, les yeux dans les yeux.
Bien sûr, mon regard redescend, presque automatiquement, vers sa jupe quelle a sagement rabattue sur ses genoux, et son regard accompagne le mien.
Cest certain, elle a compris, volontairement ou non, que jai trouvé la vue quelle venait de moffrir, à mon goût et que, jen reprendrais bien un petit peu
Puis son regard remonte se fixer au mien. Impénétrable et rieur.
En vision marginale, je vois son genou se relevé, lourlet de sa jupe glisse le long de sa cuisse, mais se bloque un peu plus haut juste retenu par lépingle.
Je surveille ses mains, pour linstant, sagement posées sur ses genoux. Des mains quelle bouge avec lenteur, presquimperceptiblement, comme dans un jeu, et qui semparent du bord du kilt et le relèvent légèrement pour venir caler le second pied contre mon autre cuisse, ce qui fait que ses deux pieds posés de chaque côté de mes cuisses, elle moffre, les cuisses ouvertes, une vue imprenable sur son intimité.
Oui, elle me permet de contempler et me repaître de son entrejambe, nu, maintenant entrouvert, quelle mexpose impudiquement en souriant.
Malgré lombre de la jupe, je peux parfaitement voir le renflement formé par son sexe et ses lèvres, légèrement plus sombres et fines et au-dessus, le départ dune courte toison pubienne.
Elle est soigneusement épilée et doit entretenir sa fourrure taillée court, mon sang ne fait quun tour et je sens que mon sexe mouille déjà ma culotte
Puis, jugeant certainement men avoir assez montré, avec discrétion et lenteur, elle rabaisse sa jupe et moffre un nouveau grand et large sourire.
Contentement ou connivence ?
Je ne sais comment linterpréter et nai pas le temps de pousser plus loin mes investigations, car déjà, la gare terminus est là, je me lève et au même moment un coup de frein me propulse sur la jeune japonaise.
Dire que je lui tombe dans les bras, serait la moindre des politesses, et elle prend la chose en riant
Avec confusion, je tente de mexcuser et me fait comprendre que ce nest rien
Nos têtes sont trop proches, nos bouches nont que quelques centimètres à parcourir pour se joindre. Contre mes lèvres, je sens son haleine, chaude et instinctivement, nous nous embrassons, goulûment, sauvagement.
Nos bouches unies, nos langues partent simultanément en exploration de la bouche de lautre, mais bientôt nous sommes obligées de nous désunir pour sortir du wagon.
Elle sempare de son lourd sac à dos et se dirige vers la sortie, sans prononcer une parole, en accrochant ma main dans la mienne et en me tirant, en disant :
- Suis-moi !
Me tenant par la main, nous sortons de la gare et à pied, elle memmène vers les rives du lac de Naussac, après un petit quinze minutes de marche, nous sommes au bord de leau dans un coin retiré et discret, à lombre des arbres et des regards indiscrets.
Sans un mot, elle se défait de son sac et le pose à terre. Avant que je ne puisse faire un geste, elle me colle ses lèvres chaudes sur ma bouche et à nouveau, nous échangeons un brûlant et profond baiser.
Mais là, seules, isolées, loin du regard des promeneurs et des touristes, mes mains peuvent partir à la découverte de son corps.
Je palpe ses fesses et elle se cambre pour mieux me les offrir et sa langue sempare de ma bouche et la fouille, profondément.
Puis, elle lâche ma bouche et doucement saffaisse, mettant sa frimousse à hauteur de mon pubis, ma retrousse la jupe en la rabattant sur mes hanches et plaque ses lèvres sur mon intimité, je frissonne et je feule sous sa bouche douce et chaude, mais sa langue sinsinue en moi et elle me fouille mon intérieur qui déjà doit être humide.
Je me raidis quand elle aspire mon bouton désormais raide et tendu par le désir qui métreint, dans un mouvement lent, elle laspire, le lèche, passe de petits coups de langue sur le bout si fragile, me tirant des gémissements de bonheur ?
Le traitement quelle minflige est délicieux et excitant en diable et après avoir exploser, lui inondant la bouche de ma jouissance, je réussis à la faire remonter pour moccuper delle.
Jécarte les pans de sa jupe et découvre le tabernacle aperçu furtivement dans le train. Son sexe, imberbe, est luisant de désir et aux premiers contacts de ma langue, ses mains plaquent ma tête, écrasent ma bouche sur son intimité qui souvre, telle une fleur suave et humide.
Par petits coups de langue, jarrive à son clitoris, tendre petit bouton perdu dans les replis de ses chairs intimes. En quelques secondes, je la sens se tétaniser sous le coup du plaisir qui monte en elle. Rapidement, le long de mon menton, elle se met à couler. Elle se transforme en une fontaine de plaisir qui semble intarissable.
Ses doigts enserrent ma tête et broient mes oreilles et avec force, elle jouit.
Je me redresse et reprends sa bouche pour échanger à nouveau un baiser, mélangeant nos sucs intimes dans ce baiser passionné, et quand elle se tourne pour moffrir sa croupe, cambrée de frottant avec délice la raie de ses fesses contre mon pubis, je regrette un peu de ne pas être un homme
Elle se penche en avant pour mieux soffrir, et je rêve un instant quétant prêt à honorer cette belle et délicieuse Nipponne, sa main viendrait semparer de mon membre pour en diriger la pointe vers son petit trou, lieu serré et étroit, mais suffisamment humide et souple, pour quant quelques coups de reins, jarrive à mintroduire dans ce milieu chaud et serré quelle moffre sans pudeur
Mais je nai que mes doigts, et quand deux de ceux-ci senfoncent dans son fondement elle pousse de longs et profonds soupirs qui se transforment rapidement en feulements réguliers, puis en petits cris doiseau pour terminer dans un râle de jouissance au moment même où elle jouit.
A peine, remise de son plaisir, elle se tourne vers moi et applique une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes, mais sans appuyer son baiser et dans un grand sourire, en baissant sa jupe elle empoigne son sac quelle charge dun solide coup de reins sur son dos et séloigne, toujours muette, me laissant là, au bord de leau, le sexe humide de ma jouissance.
Je la regarde séloigner encore étonnées par ce que je viens de vivre nétant plus, déjà, quune petite silhouette à lhorizon, qui marche dun bon pas vers peut-être des plaisirs nouveaux
A suivre
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