Quand La Fiction Dépasse La Réalité
Durant ce voyage culturel dans le Dauphiné j'ai non seulement l'occasion de visiter la région mais aussi de faire la connaissance de deux jeunes gens très sympas de 25 et 28 ans. Et comme ils occupent la chambre à côté de la mienne, cela crée tout naturellement des liens qui sont vite devenus amicaux.
Or voilà qu'un soir, après sa promenade habituelle, Laurent, le plus âgé, s'aperçoit que Bernard s'est enfermé. C'est malin ! Il a beau tambouriner. RIEN Y FAIT. Déjà nu, j'enfile un peignoir et ouvre la porte : « Arrête. Tu vas finir par réveiller tout l'hôtel »
« Je sais, mais j'ai pas l'intention de dormir dans le couloir et encore moins dehors ! »
« O.K. Mon lit est quasi triple et on se le partage, si cela ne te gêne pas ? »
« Ça me va »
Il entre, se déshabille et plonge sous le drap pour ôter son slip pendant que je retire le vêtement en tissu-éponge. Allongés côte à côte... mais à distance, j'en profite pour faire davantage connaissance avec lui. Car, il l'ignore mais je craque pour ses longs cheveux du jaune éclatant des blés. Et ses yeux ! Quelle profondeur ! STOP ! Il faut que je me contrôle. Je lui offre le gîte... pas le couvert.
« Comment as-tu connu Bernard ? »
« A l'Internat. Les nouveaux arrivants partagent toujours la chambre avec un plus ancien... »
« Ah oui, pour qu'il le baptise ! »
« Non. Cette tradition est interdite maintenant suite à des bizutages qui ont mal tourné. Par contre, nous avons très vite sympathisé ayant les mêmes passions »
« C'est vrai. Quel bonheur de pouvoir partager des points communs ».
« Oui, sauf un »
Je me redresse, j'appuie mon coude sur l'oreiller, pose la tête sur mon poing et je le regarde : « Ah bon et lequel ? »
« Rien, rien, laisse tomber »
« Ah non Laurent. Tu en as dit trop ou pas assez »
Il rougit et marmonne : « Le sexe »
« Ah bon ? » ne t'inquiète pas, cela restera entre nous.
Mais, bien sûr, je sais à quoi il fait allusion et pour le mettre à l'aise et être discret, car les murs ont des oreilles, je me rapproche de lui.
« Bernard est un coureur de jupons et tout ce qui l'intéresse, c'est de tremper son biscuit bien dur dans la chatte des gonzesses »
« Oui et alors ? C'est normal » et il me laisse caresser sa belle chevelure... bandante !
« Et alors ?, me dit-il en me fixant droit dans les yeux, moi, j'en ai rien à foutre ». Et après une petite hésitation : « Je suis gay »
Ma main descend vers sa joue sur laquelle une larme vient de perler et, toujours sur le même ton provocateur : « Oui et alors ? »
« Et alors ? Tu as droit à mon coming-out »
Je me couche sur lui, me penche et pose mes lèvres sur les siennes. Il les mordille et nos queues apprécient ce long échange de salive. Laurent s'accroche à mon cou et enfonce sa langue pour explorer le « palais buccal ». Je déplace mes jambes sur le côté, ma main glisse sur son torse juvénile, mes doigts caressent ses tétons et je continue à descendre vers son nombril et les quelques poils pubiens. Sa bite est au garde-à-vous mais, pas d'impatience, elle doit se faire désirer malgré les gémissements de mon éphèbe. Retour vers les hauteurs.
Il lâche enfin ma nuque qui commence à avoir des crampes et lui aussi parcourt mon corps. Mais Laurent, ce qui l'attire le plus chez un mec, c'est sa hampe. Il la décalotte entièrement et en sortant sa langue de ma bouche me dit : « Suçons-nous »
Plus rapide que moi il arrive premier au bar et engloutit ma pine. Malgré sa longueur, en l'aspirant, elle s'enfonce profondément. Quelle sensation ! Du jamais vécu !
J'humecte largement l'index et le majeur pour les introduire dans son cul encore vierge et le pompe avec avidité. Son liquide séminal à un goût de miel.
Tout à coup nos corps se mettent en mode « Vibratoire » et de puissants jets de foutre jaillissent dans nos bouches respectives.
On s'écarte et, incroyable... quoique !!! le jeunot bande toujours !
« J'ai envie de te limer le fion »
Ni une ni deux, me voilà à quatre pattes sur le lit. Une langue encore imbibée de notre semence collective humidifie ma rondelle et doucement, centimètre après centimètre, le braquemart se positionne dans mon anus. Quel délice !
Les burnes bien collées contre mes fesses, Laurent reste dans cette position et mâchouille le lobe de l'oreille droite, puis le gauche et débute sa valse lente : « Ca va ? T'as pas mal ? »
« Non. C'est bon »
« Je peux accélérer ? »
« Oui, vas-y »
Là, c'est moins agréable mais tout autant jouissif. En pivotant la tête, j'ouvre la bouche et nos langues s'agitent dans tous les sens. Il halète de plus en plus fort, s'agrippe à mon paquet et, dans un dernier violent soubresaut, expulse une partie de sa sauce. Il se retire précipitamment et, toujours en érection, met son engin dans ma bouche afin d'y envoyer d'ultimes giclées.
Dégoulinant de sueur, il s'écroule comme une masse sur le matelas... Et pourtant, je ne suis pas au bout de mes surprises. Sa récupération s'effectue en un temps record. C'est l'apanage de la jeunesse et, d'une voix tremblante : « Personne ne m'a jamais enculé et je voudrais..... »
Un doigt sur la bouche, je lui relève ensuite les jambes et les place sur mes épaules. Je m'incline pour inonder son entrée anale et, de la même manière qu'il m'a pénétré, je le regarde apprécier sa nouvelle découverte.
Il ferme les yeux et son bassin accompagne mes va-et-vient. Mais moi, je voudrais d'abord qu'il prenne bien son pied avant de jouir. Evidemment, les secondes, les minutes et bientôt les heures ne cessent de tourner... dans le sens des aiguilles d'une montre.
Qu'importe ! C'est sûrement l'unique occasion qu'il m'offre de pouvoir vivre cet instant délicieux d'intimité dans ce lieu dégagé, convivial, chaud et en plus, inviolé où je me sens si bien... ma queue, surtout ! Alors, j'alterne la vitesse des mouvements même si mon gaillard piaffe d'impatience de recevoir la mousse de ma lance à incendie.
Désolé, mais depuis notre premier regard je veux te niquer. Alors !!! C'est trop d'honneur. Mon attente est récompensée et essaye toujours de dénicher à l'avenir un partenaire qui pense d'abord au plaisir du receveur avant le sien !
OK. C'est le moment du dessert. Et tu as bien mérité la spécialité du Chef ! Je sors du tunnel et, surpris, Laurent ouvre les yeux. D'une main, je les referme en lui demandant de prendre une très ample et profonde respiration. Ce qu'il fait. Et là, d'un coup sec, je retourne dans le nid douillet pour le tapisser d'une épaisse crème laiteuse.
Lentement, je remonte vers sa bouche et, minutieusement.........
C'est peut-être ce qui se serait passé. Mais non. A poil et comme un gland, je suis resté planté derrière cette putain de porte de chambre d'hôtel durant mon voyage culturel.
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