Un Après-Midi Avec Greg (5)

Mercredi matin, je me levai de bon matin. Lehna était déjà réveillée. Elle devait se rendre avec les s chez ses parents. J’avais décliné l’invitation prétextant des travaux à faire dans la maison. C’était en partie vrai. Nous avions emménagé dans notre pavillon il y a quelques mois et il restait encore des aménagements à faire. Lehna ne se doutait de rien. Ce n’était pas la première fois que je ne l’accompagnais pas chez mes beaux - parents. Elle ne devait rentrer qu’en début de soirée ce qui me laissait profiter pleinement de ma journée. Avant de partir, je les embrassai tous les trois et leur souhaitai une bonne journée. J’allai tromper Lehna une nouvelle fois mais à force je ne pensai plus aux remords, à la honte, aux regrets mais uniquement à passer de bons moments. Une fois partis, je me lançais Je déjeunai rapidement puis me lavai et préparai soigneusement. La perspective de revoir Grégoire une nouvelle fois me rendait de bonne humeur. Je m’habillai d’un tee-shirt bleu et d’un short blanc, mis quelques capotes dans ma poche et pris ma voiture. Je n’étais qu’à quelques minutes de chez lui mais il faisait encore très chaud et je ne voulais pas arriver chez Grégoire trempé de sueur. La dernière fois, cela nous avait follement excité tous les deux mais là je devais rester beaucoup plus longtemps. Je me garai dans le parking à côté de chez lui et me dirigeai vers son appartement. Je sonnai à l’interphone et montai. Quand Grégoire m’ouvrit, je remarquai que nous portions exactement les mêmes vêtements. Cela nous fit rire tous les deux.
-Je vois qu’il n’y a pas que pour le cul que nous avons les mêmes gouts, dis-je en entrant. Salut, tu vas bien Grégoire ?
-Salut Karim, oui je vais bien et toi ?
-Super, content de te revoir mec.
- Moi aussi ravi de te retrouver. Viens t’asseoir, mets-toi à l’aise retire tes baskets. Tu veux boire quelque chose ?
- Oui je veux bien, du frais si tu as.
- Pas de soucis.

Pendant qu’il allait chercher nos verres, je m’assis sur le canapé et examinai le salon où je me trouvais. Trois bibliothèques remplis de livres de toutes sortes : des romans, des thrillers, des BD, des livres d’histoire. Il revint de la cuisine avec deux grands verres de jus de fruits dans lesquels il avait mis un glaçon.
-Dis donc, je vois que tu aimes lire ? lui demandai-je
- Oui et encore j’en ai vendu pas mal parce que sinon je ne saurai pas où les mettre. Toi aussi tu aimes lire ?
- Oui j’ai même une pièce à la maison où il n’y a que des livres.
- Des livres en tout genre ? Tiens voilà ton verre.
- Merci, oui mais surtout des livres d’histoire. Je suis professeur agrégé.
- C’est vrai ! Moi aussi je suis prof mais dans le primaire uniquement.
- Cela nous fait encore un point commun. Humm ça fait du bien de boire bien frais.
- C’est vrai. Et à part être prof comme moi c’est quoi ta vie ?
Je lui parlai alors de moi, de mon attirance très tôt pour les mecs sans passage à l’acte, de mon mariage avec ma femme et du jour où j’avais franchi le pas.
-Et ce jour- là c’était comment ? me demanda-t-il.
-Tu peux pas savoir, j’étais déchaîné, tous les tabous ont explosé. J’ai pu embrasser un mec, le caresser, le sucer et recevoir tout ça en retour. Le mec je lui avais rien dit, je m’en souviens, il s’appelait Cyril. Je l’ai revu souvent par la suite sans compter les autres aussi.
- Et après tu ne l’as plus revu ?
- Non parce qu’on a déménagé pour habiter là où on est aujourd’hui. Et toi Grégoire, comment se fait-il que tu sois encore célibataire ?
-Par choix.
- Mais tu n’as pas envie de vivre avec un homme ?
- Non pas vraiment.
-Mais pourquoi ?
- Disons que j’ai vécu longtemps avec un mec, 7 ans, mais il m’a trompé plusieurs fois et j’ai fini par le jeter dehors. A chaque fois il me disait qu’il regrettait, qu’il ne recommencerait pas mais à chaque il remettait ça. Et puis le jour où je l’ai trouvé dans notre lit avec un nouvel amant, là je l’ai foutu à la porte. Depuis je n’ai plus envie de faire confiance à un mec. Je préfère des rencontres fugaces ou alors avoir des amis-amants.
-Oui je comprends.
- Il va falloir du temps pour que je refasse confiance à un homme.
- J’espère pour toi que ça viendra. Et sinon pendant tes vacances, tu pars où ?
- Je pars samedi pour le Cap d’Agde pendant quinze jours.
- Tu vas bien en profiter j’imagine.
- J’espère bien. Et toi ?
- Je pars une semaine après toi aussi pendant quinze jours au bord de la mer en Bretagne.
- Cela veut dire que pendant trois semaines, on ne se verra pas.
- Alors, autant en profiter maintenant, tu crois pas.
Nous posâmes nos verres sur la table basse. Je me rapprochai de lui. Nos bouches se rencontrèrent alors. Puis très vite nos baisers se firent plus intenses, nos langues se caressaient. Il retira mon tee-shirt l’envoyant valsé à un bout de la pièce. Je lui enlevai le sien et le jeta à l’autre bout.
-Comme ça on saura le retrouver.
Nous reprîmes nos baisers ; j’aimais la rencontre de ma bouche avec la sienne, sa langue. Puis je le relevai, et en reculant l’entraînai vers sa chambre. Tout en s’embrassant nous enlevâmes le bouton du short de l’autre. Le sien tomba à ses pieds le premier. Le mien peu après.
-Tu te rappelleras ? Ton short est près du canapé, le mien près de la porte de la chambre lui dis-je en rigolant.
Il me poussa dans sa chambre dont il referma la porte. Je le plaquai contre le mur pour se rouler encore des pelles savoureuses. Mes mains pénétrèrent dans son boxer caressant ses fesses. Lui me caressa ma tête, le dos. Puis il descendit jusqu’à mon boxer et le baissa un peu libérant ainsi ma queue. Elle était déjà bien tendue. Je le retirai entièrement. Me mettant à genoux, je lui enlevai son joli boxer. Nus, brulants de désir comme jamais, nous tombâmes sur le lit. M’allongeant sur lui, je sentis ma queue raide sur la sienne qui l’était tout autant.
J’entrepris alors de l’embrasser et de le lécher sur toutes les parties de son corps. Je commençai par son front, puis ses joues, son cou. Je descendis ainsi lentement embrassant ses épaules fermes sculptées pendant des heures à la salle de muscu certainement. Je continuai à parcourir son corps avec ma langue, ma bouche m’attardant sur ses tétons, à lécher son nombril, à embrasser son pubis rasé. Il devait s’attendre à ce que je m’occupe de sa queue, de ses couilles mais je les évitai soigneusement m’occupant de l’intérieur de ses cuisses poilues et musclées remontant avec ma main et ma langue. Pendant toutes ses caresses que je lui prodiguais, Grégoire soupirait lentement. Une fois arrivé à ses pieds je m’allongeais à nouveau sur lui pour l’embrasser à nouveau langoureusement. Puis n’y tenant plus je m’allongeai à côté de lui. Ma main parcourut très vite son corps et je pris sa queue pour la branler doucement. Grégoire fit le même geste et me masturba. De temps à autre nos mains allaient également caresser nos couilles. Ses moments de tendresse infinie devaient bien s’arrêter. Je pris alors l’initiative :
-Il est temps que je m’occupe de ta queue.
- C’est ce que tu es en train de faire.
-Je ne parlais pas de ma main.
- Elle est à toi Karim. Tu ne l’as jamais eu en bouche.
Je me mis à quatre pattes sur le lit, regarda cette queue que je n’avais encore jamais gouté. Je partis du bas des couilles, les léchai, et remontai ainsi jusqu’à sa verge. Je fis cela plusieurs fois puis enroulai ma langue autour de son gland. J’entendais Grégoire gémir, encore plus fort quand je pris son sexe dans ma bouche. Je le pompai d’abord doucement faisant de lents va et vient sur sa queue, léchant à nouveau son gland, enfournant son sexe dans ma bouche. Puis je m’allongeai à côté de lui en tête bêche. Il ne se fit pas prier pour pendre ma queue dans sa main, la branler et lécher mes couilles en même temps. Puis il me suça comme il l’avait fait lors de notre première rencontre à la piscine. Parfois, nous arrêtions chacun notre tour notre 69 pour montrer à l’autre par nos gémissements notre excitation. De temps à autre ma langue se perdait entre ses couilles et son petit trou, ce qui le faisait gémir plus fort. Cela aurait pu durer encore très longtemps mais je me relevai pour l’embrasser à nouveau. Je me trouvais parfois sur lui ou sous lui l’embrassant, rentrant ma langue au maximum dans sa bouche.
J’avisai enfin des capotes sur sa table de nuit. J’en pris une et pendant que Grégoire s’allongeait sur le dos, jambes relevées, je la déroulai sur ma queue. Je m’agenouillai, lui écartai les jambes et approchai mon sexe de son cul, je rentrai en lui tout doucement. Pendant plusieurs minutes, je le limai dans cette position lentement lui caressant ses couilles, le masturbant et lui arrachant des petits cris de plaisir.
-T’aimes bébé ?
- Oui Karim, c’est trop bon. Vas-y lime moi bien.
- Tu sais ce que j’aimerais ? Te prendre sur ton bureau.
Pour toute réponse, Grégoire se leva et se dirigea vers ce dernier. Il s’allongea dessus. Je le pénétrai à nouveau et mes coups de queue se firent plus rapides. Je joignis mes cris à ceux de Greg, nous n’étions plus que deux mecs en rut donnant et recevant du plaisir. Mon amant avait pris son sexe dans sa main et se branlait.
-Viens Karim, viens plus vite, plus fort !
- T’aimes ça hein ?
- Yes, j’adore cette position !
-On continue encore un peu alors.
L’embrassant à pleine bouche, je continuai à m’activer au fond de son cul écartant bien ses cuisses accélérant le mouvement le ralentissant. Greg en profitait pour me caresser les épaules le dos, le torse, mes tétons.
Nous retournâmes ensuite sur le lit. Allongés sur le côté, je me mis derrière lui, relevai sa jambe et l’enculai à nouveau doucement l’embrassant dans le cou le masturbant de ma main experte, lui caressant les couilles. Je crois que Greg était au septième ciel. Moi aussi d’ailleurs car nos gémissements étaient de plus en plus fort. Comme la dernière fois.
-T’arrête pas Karim, continue à bien me limer j’adore !
Il tourna sa tête vers moi et nous nous embrassâmes à pleine bouche. J’accélérai alors le rythme ce qui le fit crier un peu plus fort. Je me mis à l’unisson.
-Karim je vais jouir !
- Moi aussi bébé attends-moi.
Je me retirai, enlevai la capote et me plaçai au-dessus de lui. Il prit ma queue dans sa main, je pris la sienne et nous nous branlâmes plusieurs secondes. Nous jouîmes quasiment en même temps sur son torse puissant.
Après l’avoir essuyé, je m’allongeai sur lui pour le caresser, le câliner. Nous restâmes ainsi blotti l’un contre l’autre, à se serrer fort, à s’embrasser, le tout sans parler, sans échanger une parole. Après plusieurs minutes, je lui dis :
-On est bon pour une bonne douche, surtout toi.
- Tu la prends avec moi ? Viens.
Je le suivis. Notre douche fut sensuelle. Nous ne cessâmes de nous embrasser, de nous caresser. Nous allâmes encore plus loin. Mais Greg le racontera avant de partir pour le Cap d’Agde.