Le Bistro
Entrée comme ça dans ce café, servie par une jolie fille ; je déguste ma consommation. La fille me demande si je dois partir, sinon, elle ferme à 16 heures pour nouvrir que vers 18 heures. Je dois mal comprendre : jaurais du partir et là je mincruste. Je la regarde, sans arrière pensée jouvre un peu mes jambes. Elle pourrait voir mes cuisses un peu épaisses, presque jusquen haut. Elle ne sen cache pas ; insiste même : je mouvre en grand. Son regard détaille mes secrets visibles. Les autres demeurent cachés son le slip.
Elle ferme la porte sans me faire sortir. Mon Dieu, elle ne va pas me faire connaitre un sort malheureux ? Je la regarde en détail pendant quelle sapproche : elle est habillée bien plus court que moi, ses jambes me parassent parfaites mieux que le miennes.
- Si tu veux on peut jouer.
- A quoi ?
- A la maman.
- A la maman ?
- Oui, on serait les mamans.
- Et les papas ?
- Au diable pour le moment.
En clair elle me demande de lui faire lamour. Pour une fois que je ne suis pas celle qui demande ce genre de choses ! Elle veut jouer, moi aussi. Ma jupe retombe quand je me lève. Elle est vite contre moi, sa bouche cherche la mienne. Nos langues jouent à ce jeu étrange dans les bouches. Nous nous seront comme si on nous forçait à nous séparer déjà. Je sens vaguement ses seins contre les miens, nos pubis réunis.
Elle se sépare un peu, me regarde, membrasse à nouveau. Ses yeux ne quittent pas les miens comme si elle venait y chercher un accord. Ses lèvres viennent sur mes épaules, descendent encore, malgré le chemisier brodé. Enfin elle prend ma main pour me guider vers son antre, à larrière du bistro. nous y somme plus tranquilles.
Une simple chambre, un lit cest tout. Non des godes à la tête du lit : au moins elle est sensuelle. Cest elle qui prend les initiatives.
Elle arrive à défaire les crochets du soutien gorge. Je ne sais comme elle fait pour le retirer.
Normalement cest mon mari qui soccupe de ma chatte, mis à part mes masturbations. Et là, cest une simple femme qui va me faire jouir certainement. Jattends ses caresses avec espoir. Elle commence fort en me léchant. Elle sait mieux le faire que mon mari. Sa langue passe dans des endroits inédits, dans des petits coins oubliés. Je lui donne ce quelle désire. Elle arrête tout, dommage.
Non, elle ne moublie pas, elle me fait assoir sur le lit. Je garde les jambes ouvertes, sa tête entre. Je caresse ses jolis cheveux comme pour lencourager. Sa langue me rend folle, je vais jouir. Non, je jouis. Je recommence encore une fois, cest dingue davoir tant dorgasme à la suite.
Elle me pousse complètement sur le lit. Allongée je suis beaucoup mieux. Elle vient contre moi, reprend ses caresses particulièrement pertinentes. Je peux moi aussi, enfin la toucher. Je cherche un instant sa chatte. Mes doigts y sont dans sa fente trop vite : elle est mouillée, je sens ses détails sous mes pulpes. Ils glissent doucement en elle. Sa petit bosse est caressée, cajolée, titillée. Elle répond par des baisers innombrables. Pour le moment cest moi qui contrôle. Oh, pas longtemps. Elle vient sur moi, elle se tourne, membrasse le pubis.
Elle me lèche le con. Cest bon. Sa langue me fait du bien. Je me tends pour jouir sans honte de ses léchouilles. Je sens son petit poids sur moi. Elle passe ses cuisses autour de ma tête. Je ne voulais pas le lui faire et là je suis coincée. Je sens son odeur de chatte ; de chatte en chaleur, entre lodeur de la mer et des coquillages.
Je déguste son fruit de mer. Au débit cest bizarre. Je comprends ensuite pourquoi mon mari aime me bouffer la chatte comme il dit. Je déguste tous ses petits secrets. Quand elle sy rend plus bas. Je ne le croyais pas, elle va membrasser le cul. Sa langue lèche lanus me le fait ouvrir presque malgré moi. Elle ne force pas du tout, elle entre simplement. Et moi qui me laisse explorer, exploiter mes secrets avec plaisir.
Je la sens remuer, je ne sais pourquoi sur moi. Je comprends un peu plus tard quand je sens ce quelle me met dans le cul : un gode assez gros. Elle sait bien sodomiser. Elle va me faire jouir encore une fois et moi qui nai rien pour lui répondre.
Elle me renverse sur le dos, enlève le gode de mon cul. Sa main cherche je ne sais quoi sur mon con. Elle cherche un peu puis entre doucement. Elle ma mis la main en entier dans le vagin ; cest dégoutant, cest agréable surtout quand elle me lèche encore le clitoris. Je jouis encore une fois.
Elle retire sa main, me fait mettre presque assise. Nos jambes sont mélangées. Elle sapproche complément : nos sexes sont réunis. Nous les frottons lun à lautre. Nous jouissons plusieurs fois ainsi, con à con.
Lheure tourne, elle doit ouvrir le bistro elle se rhabille sommairement, me laisse nue dans sa chambre. Jy reste attendant une suite hypothétique. Jai encore envie : je me masturbe en attendant de rentrer chez moi, contrite ? Non. 01 14
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