L'Étrangère
Lui :
-Mon uniforme me porte encore vers une aventure, comme si je les cherchais. Les copains de la section menvient. Est-ce ma faute si je tombe sur les bonnes occasions ? Nous suivons un sentier à flanc de coteaux. A droite un ruisseau. Si javais une cane, jirais tenter ma chance près des poissons. Curieux je passe ma tête entre les interstices de la haie : des jeunes femmes se baignent. Ouah ! de belle femmes en juger par ce que je vois de leur nudité. Leur peau brille au soleil. Comme souvent, je mattarde pour le plaisir des yeux. Dommage quune ne soit pas seule, jirais bien lui conter fleurette : je naime pas partager mes conquêtes avec dautres, même les meilleurs amis.
Nous continuons notre patrouille. Une autre chance, encore des filles qui se baignent. Je ne laisse pas mes yeux dans la musette. Et encore plus loin cette fois une fille seule, nue, comme une tentation. Avec mon harnachement, mon arme, je dois ressembler à un pirate. Tant pis je vais tenter ma chance. Je mapproche delle. Elle na pas lair davoir peur de moi, du tueur potentiel (Si elle me connaissait mieux elle saurait que je suis vierge de tout mort dans la guerre). Je mapproche delle en faisant un bruit denfer ave mes godasses sur les galets. Elle en sourit. Tant mieux. Elle est nue, elle est belle, elle a tout ce quil faut, même sans doute un chouia de fesses en trop. Plus je mapproche plus elle rentre dans leau. Jai perdu de vue ses mollets, reste que le reste est joli. Je ne sais que regarder : ses seins, sa fourrure noire, ses cuisses ?
Elle me donne envie de faire une chose que normalement je ne doit pas faire : je me mets nu, entièrement nu, je me précipite vers le ruisseau : jy plonge : leau est glaciale. Il me semble que mes bijoux de familles sont entrés dans le ventre. Je me relève pour la voir éclater de rire. Et en plus elle se fout de moi. Je vais lui montrer ce quil en coute de se moquer de lhomme que je suis.
Quest ce que je pourrais faire pour venger mon « honneur » ? Elle rit encore de voir mon air déconfit. Et moi je lui souris amicalement. Elle répond, elle tend ses bras.
Je sens que je vais passer un bon moment.
Elle :
-Il en passe des étrangers en armes. Certains sont de beaux hommes, plus que ceux dici. Ont dit quils ont des façons particulières daimer les filles. Jaimerais bien essayer une fois pour changer de lépoux quon ma obligée à prendre.
Tiens en voilà un qui ne manque pas de culot. Il vient vers moi, il se met tout nu : pas mal : je vois sa bite elle ne me déplait pas. Il se jette dans leau elle est froide, limbécile il pouvait sen douter. Jen ris trop fort peut-être. Il me répond. Je voudrais le voir de plus près : je tends mes bras, il comprend ce que je veut. Il arrive encore nu, il na pas honte ?
Lui :
-Je vais lui flanquer une bonne beigne, ça lui apprendra à se moquer de moi. Et puis après
. Non je le prends dans mes bras. Je la serre, elle se laisse faire (par peur sans doute) Tiens elle membrasse : elle na pas peur, elle enfonce sa langue dans la bouche. Elle cherche la mienne. Sa salive est agréablement chaude. Elle me tient la main, elle mentraine à lombre dun arbre où il y a de lherbe.
Elle :
-On ne va pas rester sur les galets. Je préfère sous larbre à lombre sur lherbe, jy serais bien mieux. Quoi il bande déjà. Pas mal comme taille, il va me faire du bien. Ca sera mieux quavec mon mari : je suis obligé de me caresser après. Sa bouche est profonde, jaime le gout de sa salive.
Non, il sarrête il prend son fourniment. Il ne va pas mégorger ? Non, il reste nu. Cest amusant sa queue qui se balance quand il marche. Je ne pensais pas quune queue qui bande fasse ces mouvements là.
Lui :
-Quel cul, je vais la lui mettre là pour voir si elle aime. Non je vais la baiser avant tout.
Elle :
-Je vais lui rendre la queue dans la main, je le branlerais un peu avant de la lui bouffer.
Voilà, je suis couchée : il est proche, il perd du temps à me regarder. Cette queue, je la veux dans la bouche, vite : je tend ma main. Je lai enfin.
Lui :
-Elle prend ma bite, dans sa main en plus. Elle va me branler, pourquoi pas après tout. Non, la garce, elle me prend dans la bouche. Ses lèvres entourent ma queue. Elle va me faire..
Elle :
-Je lai dans la bouche. Il a bon gout, un peu durine, cest pas désagréable. Je vais lamener presque à me donner son jus dans la bouche. Sil pouvait disposer de tout son temps, je lavalerais, cest parait-il bon leur jus.
Lui :
Pourquoi elle arrête de me sucer jaurais jouis dans une bouche : il y a si longtemps que ma chérie ne me la pas fait avant que je parte. Elle caresse les fesses. Jaime moins même si elle passe des doigt vers mon cul.. Je ne peux pas dire que je déteste, mais je préférerais lenculer elle.
Elle :
-Pourquoi il se crispe quand je veux lui mettre mon doigt dans son cul : cest bon pourtant. Sil le demande je lui donnerais mon cul : jaime ça. En attendant viens ici, guerrier !
Lui :
Elle mattire vers elle, je me couche à coté. Jai à nouveau sa bouche sur la mienne. Tiens elle sent ma queue, jaurais du la laver ce matin. Elle laura voulu : je vais lui bouffer la chatte, quelle le veuille ou non. Jaime trop ces gouts de con.
Elle :
Ah non, il veut passer sa langue sur le con : cest dégoutant
Oui, encore, cest bon, il me fait jouir. Pourquoi il recommence encore. Il me fait jouir. Impie. Je vois sa queue qui palpite. Quest ce quil attend pour me la mettre. Pourtant jécarte bien mes jambes, je lui montre mon besoin. Enfin il
Lui
-Je la lui mets. Elle est étroite, cest bon je la sens bien comme ça. Oh, elle me fait sortir, jai du lui faire mal. Elle me fait descendre la queue vers son, oui, vers son cul.
Elle :
-Il me sodomise : jadore sentir une queue dans le cul.
Lui :
Encore une fois jai eu de la chance de tomber sur une vraie femme. Je suis obligé de trotter pour rattr les autres : une habitue maintenant. Nempêche, quelle baiseuse !
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