Noël En Famille

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Noël est un moment agréable dans l'année mais cette fête m’apporte généralement avec
son lot de cadeaux une constipation due à l'excès de nourriture et au manque
d'exercice.
Le soir de Noël , j'ai réalisé que je n'avais pas vidé mes entrailles depuis cinq
jours malgré les bons repas copieux, y compris beaucoup de légumes et de fruits. Je
n'étais pas à l'aise, je me sentais ballonnée.
Le jour de Noël, nous étions invités mon mari Daniel et moi Dominique chez ma belle-
sœur Sophie où nous devions rester quelques jours. Celle-ci est mariée avec Christian,
ils sont parents de 2 grands s. Des adolescents presque adultes mais stupides.
A midi, nous étions tous dans son salon à attendre un ami. Je portais un pantalon
moulant rouge et j’étais dans ma position favorite c'est-à-dire à genoux sur une
chaise face à la fenêtre pour surveiller l’arrivée de notre convive. Je ne les voyais
pas mais j’avais la sensation que mon mari, mon beau frère et surtout mes neveux
avaient le regard fixé sur mon cul rebondi bien mis en valeur par ma position sur la
chaise, j’avais l’impression qu’ils attendaient que mon futal craque et ainsi pouvoir
contempler ma petite culotte de dentelle ne cachant pas grand-chose d’où s’échappait
quelques poils follets. Pour mon mari il connaissait bien l’endroit, mais pour mes
neveux adolescents ça aurait été une révélation et je les soupçonnent même de se
branler en pensant à leur tante.
Mes boyaux semblaient vides, même si je n'avais pas été au petit coin depuis
maintenant 6 jours . Le petit déjeuner que j'avais pris avant de quitter la maison
devait avoir causé un mouvement dans mes intestins car soudain j’ai senti mon rectum
se remplir de gaz et j’ai laissé échapper un énorme pet bruyant impossible à retenir.
Instinctivement j’ai serré les fesses pour fermer mon anus qui menaçait de laisser
passer un autre gaz odorant.

Mais trop tard, le mal était fait.
Un silence stupéfiant se fit dans la pièce, personne n’osait dire quelque chose. Tous
continuaient à regarder mes fesses. Ils avaient dû entendre et voir mon cul se
contracter dans mon pantalon moulant après ce pet incongru. Je n'ai rien dit non plus,
je ne pouvais pas me résoudre à les regarder et je continuais à regarder par la
fenêtre comme si de rien n’était. L'un des ados éclata de rire (on est bête à cet
âge). J’étais gênée comme ce n’est pas possible. A ce moment, j’ai vu arriver l’ami de
ma belle-sœur et j'ai dit à haute voix : «Le voilà!», tout en m’empressant d’être la
plus naturelle possible. Les hommes sont allés ouvrir et je me suis retournée pour
voir si personne n’avait été choqué par ma performance inattendue.
J'ai dit à ma belle-sœur dans un murmure embarrassé que j'étais désolée et que j'étais
tout à fait incapable de me retenir parce que constipée depuis presque une semaine.
Elle avait l'air horrifiée, elle rougit et murmura : «Ce doit être très inconfortable
».
Nous sommes passés à table pour le copieux déjeuner de Noël. Après ce déjeuner, nous
sommes tous allés faire la traditionnelle promenade digestive. Etant dehors, j’ai pu
lâcher quelques gaz, ce qui me fit un bien énorme. J’essayais de canaliser le plus
possible pour faire le moins de bruit avec mon derrière mais je suis sûre que mon
beau-frère ainsi que mes grands neveux m'ont entendue au moins à deux reprises, ma
belle-sœur ne dit rien mais mes imbéciles de neveux pouffaient de rire.
Après le dîner, j’étais toujours dans le même état, j’étais mal à l’aise, mon rectum
était plein. J'ai essayé de forcer deux fois en urinant mais j’ai juste fait des pets
sifflants et secs.
Le lendemain matin, je n'avais pas encore été et j’ai dit à ma belle-sœur, après le
petit déjeuner, que j’étais toujours constipée.
Celle-ci était étonnée de savoir que
je n'avais pas été pendant 7 jours, elle était préoccupée par mon état. «Moi,je fais
tous les jours" dit-elle. Je lui ai dit que ce n'était pas inhabituel chez moi d’être
très constipée et que la nature allait bien reprendre son cours.
Mon rectum souffrait étant assise sur une chaise pendant le déjeuner, alors j'ai
décidé d'essayer à nouveau quand le repas serait terminé. D’autant que mes neveux
étaient partis chez des copains.
J’ai fait savoir discrètement à ma belle-sœur qu’après le dessert je m’éclipserais
discrètement pour la salle de bains de l’étage et que j’allais essayer de me libérer.
La situation étant de plus en plus inconfortable.
Je me suis assise sur les toilettes, et j'ai commencé à pousser. Je savais que ce
serait difficile, et je restais assise là pendant une longue période sans succès mon
trou du cul se contentant de s’ouvrir et de se refermer presque aussitôt sur cette
chose dure qui encombrait mon intestin.
Je me penchais en avant jusqu’à saisir mes chevilles en pensant qu’il me serait plus
facile de chier dans cette position. En agrippant mes chevilles je pouvais en effet
pousser plus fort.
J’étais seule et personne ne pouvait entendre mes «oh non, c’n'est pas possible,
j’implorais le ciel de m’aider, bordel de merde que ça fait mal je ne vais pas y
arriver, on ne va pas tout de même appeler les urgences et autres jurons de ce genre».
Mon anus était maintenant ouvert à la limite du déchirement, et enfin j’ai senti un
monstrueux étron dur commencer à sortir lentement de mon derrière. Ça me faisait mal.
J'ai pris une autre grande inspiration et j’ai régulièrement poussé jusqu’à ce que le
colombin soit sorti. Il est tombé dans la cuvette des toilettes sans éclaboussure
tellement il était long. Je me suis levée et j'ai vu ma création – Un boudin d’au
moins 5 cm de diamètre, de longueur difficilement appréciable car il plongeait dans
l’eau et disparaissait dans la canalisation et remontait jusqu’au bord du siège.

Mon anus me semblait propre et sec, mais il y avait de petites taches de sang sur le
papier hygiénique.

J'ai entendu ma belle-sœur venir aux nouvelles. Elle frappa à la porte de la salle de
bains, qui n'était pas verrouillée (elle aurait été verrouillée si mes neveux avaient
été présents, car je les connais, ils auraient été capable d’entrer pendant mon action
et sournoisement auraient dit «oh pardon tantine, tu fais quoi dans cette position »)
et m'a demandé si ça allait car j’étais là depuis bien longtemps.
«Vous pouvez entrer», elle a alors délicatement ouvert la porte. "Je suis beaucoup
plus à l'aise maintenant" lui dis-je en remontant mon pantalon rouge. Elle détourna
les yeux de mon pubis poilu et regarda dans la cuvette. Elle a été clairement surprise
par la taille de ce qu’elle voyait. "Oh Dominique» dit-elle «Comment avez-vous pu,
comment avez vous pu?» et elle a continué à regarder. "Comment avez-vous pu pondre
une telle chose vous devez être blessée." Je lui ai dit qu'il y avait des taches de
sang sur le papier hygiénique et que mon trou du cul me brûlait.
"Est-ce qu’il saigne toujours?" me demanda-t-elle. «Je ne suis pas sûre, vous voulez,
s'il vous plaît, jeter un œil pour moi."
Avant que ma belle sœur ne puisse répondre, j'avais laissé tomber ma culotte et me
penchais en écartant mes fesses avec les mains. Jamais elle ne m'avait vu a à demi
nue, et encore moins avait-elle vu ma petite fente et mon anus poilu.
«Il semble un peu enflammé et gonflé, mais vous savez je ne suis pas proctologue»,
déclara-t-elle «en tout cas ça ne saigne pas».
Elle me dit en rougissant «ne vous inquiétez pas, je nettoierai tout cela plus tard»
. Je me demande si elle ne va pas venir rêver en contemplant mon œuvre.
Et puis elle avait vu pour la première fois mon sexe et mes fesses, peut-être lui ai-
je fais de l’effet?
Il faudra que je parle de sa sœur à mon époux.


Nota : tous les récits publiés et à venir sont romancés à partir de situations réelles
vécues par mon mari Daniel et moi Dominique sa femme.

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