J'Ai Appris À Aimer La Semence

Il est tout doux gentil en rentrant. Il a des choses à se faire pardonner. Il a passé sa nuit avec des copains à picoler dans un bar de la ville. Et moi j’avais envie qu’il m’aime, qu’il me fasse l’amour : mon ventre en avait soif, même si je coulais entre les cuisses.
*Je ne vais pas m’abaisser à le supplier à me faire l’amour : d’abord nous sommes le matin tôt, ensuite je veux lui faire comprendre que sans lui, je peux me passer de lui, enfin un moment. Il vient m’embrasser sur la bouche : même s’il sent la bière, j’aime quand sa langue est en moi. Il me pousse contre la table : mes fesses sont bloquées. Il m’embrasse rapidement. J’aime son baiser, j’aime sa langue. Je voudrais, je ne sais quoi, mais je le voudrais.
*Et puis il me tourne, mes fesses sont contre lui. Je sens sa queue grossir entre mes fesses. Mon Dieu il va vouloir se servir de mon anus ? Il me pousse en avant : je suis pliée en eux sur le bord de la table. Il relève ma robe de chambre, descend ma culotte. Enfin il va m’aimer, moi qui n’ai pu jouir cette nuit que grâce à mon gode. Encore en avant : je suis pliée au niveau des hanches. Il trouve que je suis mal placée : il me fait presque coucher sur la table à plat ventre.
*Je suis assez mal ainsi. Enfin un geste gentil : il me caresse les fesses. Il m’excite terriblement. Et d’un seul coup, je reçois une fessée comme je n’en ai jamais eu depuis mon enfance. J’ai mal, je me débats, je crie. Il s’en fiche totalement : il continue longuement. C’est de plus en plus fort. Je n’en crois pas mon corps quand je me sens mouiller. J’ai envie qu’il s’arrête, j’ai envie qu’il continue, j’ai besoin de baiser.
*Je dois lui obéir quand il me demande de me mettre sur le dos.
- Ecarte les jambes.
* Je le fais. Il sort sa queue. Elle est grosse. Je ne sais depuis combien de temps il bande ? Elle est belle, bien dessinée, parfaite pour moi.
- Branles toi !
- Comment ?
- Et tu me demande comment te branler, salope.


Je pose mes doigts sur le clitoris tout prêt. J’entame ne caresse que je ne veux pas finir.
- Jouis. Garce.
- Et toi ?
- Ne t’en fais pas pour moi.
Je suis obligée de me masturber. Ca ne me dérange pas plus que ça de le faire devant lui, ce n’est pas une première. Mais là, j’avais besoin de sa bite.
Il découvre le reste de mon corps, je suis nue entièrement. C’est plus commode pour jouir. Ma main prend de la vitesse, mes doigts survolent, caressent mon intimité. Le clitoris ne résiste pas longtemps : je jouis, trop vite à mon gré.
Il attend mon orgasme pour donner sa queue, pas où je la voulais : dans la bouche.
- Suces moi.
Je veux bien le sucer, j’accepte même qu’il jouisse dans la bouche. Je me mets sur le coté, en chien de fusil. La queue est contre mes lèvres. J’ouvre la bouche, j’aspire presque son gland, cette partie douce de la pine. Il grossit en venant dans mes mâchoires. Enfin elle est en moi. Je l’ai caressé avec le bout de la langue puis toute la langue. Il fait des « han ». Je lui fais du bien. Il caresse le corps, les seins, les hanches. J’ai envie de baiser. J’aspire trop vite, trop bien, je sens son sperme jaillir dans ma bouche.
C’est plus fort que moi, ne j’aime pas ce gout salé. Je me lève en vitesse, je me précipite au lavabo pour cracher sa semence.
- Tu va apprendre à aimer mon jus, salope.
- C’est plus fort que moi.
- Tu avaleras la prochaine fois.
- Sans doute.
- Non, certainement !
J’en prends mon parti. Il n’empêche que je voudrais qu’il me baise.
Vers midi je sais qu’il doit être en forme : je veux baiser. Il bricole je ne sais quoi dans l’appartement. Je lui att la queue, il accepte en se levant. Il touche ma chatte : il me masturbe. Le con, il me fait jouir rien qu’avec ses doigts. Il me donne sa queue. Je sais ce qu’il veut : pas que je le branle, ce que j’aime bien faire : il faut que je le suce. Décidément mon con ne le verra pas aujourd’hui.

Cette fois il reste debout, je me baisse, je prends sa queue dans la bouche. Elle sent encore le sperme de ce matin. Je commence par les couilles, en les léchant, les mordillant avant de monter avac la langue vers son gland. Je le prends en entier dans la bouche, ma lange s’enroule autour. Ma tête fait des va-et-vient. Mes lèvres l’entourent. Il grossit, il se tend ;
- Avales cette fois
Je sens le jet dans ma bouche, au fond, près de la glotte. C’est chaud. Je ferme les yeux et d’un seul coup de langue j’avale tout. C’est pas bon, je n’aime pas.
- Tu aimeras dès ce soir.
- Baises moi !
- Quand tu auras appris à bien avaler.
Je reste dans mon coin. Je n’ose pas me contenter seule. J’attends, ce soir peut-être ? Je regarde un programme débile à la télé. Il vient près de moi, m’embrasse. J’ai compris ce qu’il veut. Il faut que je passe par là. J’ouvre la braguette, je sors sa pine : il commence à bander. Je l’avale en fermant les yeux : cette fois il sent un peu l’urine. Je fais mon possible pour lui donner un plaisir maximum. Je pense brusquement qu’il veut que je l’avale. Il gonfle doucement : cette fois il me tient la tête. Je le sens grossir encore. Il éjacule dans la bouche. Encore un jet de sperme. Je me suis préparée. J’attendais une inondation : j’ai une dose normale dans la bouche. Cette fois je me précipite moins. Finalement c’est acceptable comme gout. La texture demanderait un peu moins de gluance. Je m’essuie les lèvres : une gouttelette était restée au bord de la bouche.
- C’est bien, tu avale comme une reine de la pipe.
- Tu me baiseras quand ?
- Quand tu sauras avaler mieux que maintenant.
Tant pis pour lui, je vais me branler et devant lui encore. Je prends le gode le suce un instant. Il est comme je l’aime. Je le pose sur le clitoris. Je pourrais jouir ainsi. Mais je le veux ailleurs. Là où il ne va presque jamais : dans mon cul. Je sens l’anus s’ouvrir doucement sous la pression. Je me sodomise avec plaisir.
Je suis quand même obligée de me mettre en levrette, la tête sur le coussin, les fesses en l’air. Je m’encule comme j’aime.
Je suis pleine montée du plaisir. Je me prépare à l’orgasme quand mon mec vient me donner sa queue et où ? Dans la bouche. Ma position est excitante : le gode dans le cul, sa pine dans la bouche. Je commence à sucer quand il prend le gode pour lui continuer à m‘enculer. Je le lèche avec application. Si je pouvais je lui mettrais deux doigts dans le cul. Il grossit encore une fois. Je le fais jouir. Son jet est dans ma bouche. J’avale le tout avec un drôle de plaisir pervers. C’est à ce moment là que je jouis de mon cul.
Pratiquement tous les matins il me donne sa queue. Je la suce un instant. Il attend que j’ai mis le gode dans le cul pour venir à cheval sur moi, presque sur les seins. Il tend sa bite que je prends dans la bouche. Je sens le gode, les poils de ses couilles sur les seins, et sa queue qui navigue dans la bouche.

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