Sophie, Marivaudage
- Jamais je naccepterais de me faire lécher la chatte. Cest dégoutant.
- On dit que cest agréable, que ça fait bien jouir
- Quest ce que cest jouir : serrer les dents à la fin. Non, je me refuse à ses singeries.
..
Cétait il y a dix ans, Sophie refusait tout attouchement, tous contacts « vicieux ». Cétait avant.
Entre temps, elle a rencontré dans son entreprise une fille, Gigi : lamour physique : bof
..En fin daprès midi après un mach de volley particulièrement disputé, elles se sont retrouvées seule aux douches. Elles ont commencé pareille en se lavant les cheveux. Puis le corps y est passé. La seule différence est que Gigi sest arrêtée longuement vers sa mounette. Les mouvements ne laissaient aucun doute : elle se faisait du bien sans se préoccuper de Sophie qui le regardait un peu étonnée. Elle savait pourtant que des filles se laissent aller à chercher des plaisirs solitaires. Sophie eu lidée daider sa copine. Elle venait contre le corps défaillant pour remplacer les doigts par les siens. Un peu étonnée, pas nécessairement contre, Gigi la laisse faire : être masturbée par une main étrangère est meilleurs que seule. Sophie fait montre de beaucoup de virtuosité : elle fait rapidement jouir Gigi.
Elle en est même étonnée. Surtout de sêtre laissé caresser par une autre fille. Gigi pense que de son coté elle doit rendre la politesse. Elle entre une main dans la fente offerte. Sophie, après avoir masturber sa copine se rend compte que ce soit être très agréable. Elle accepte le majeur sur son petit bouton : elle ne pensait jamais éprouver un tel sentiment de plénitude. Sophie est penchée en avant, le pubis tendu vers la main qui la branle. Elle nattend pas la fin, elle recommence la caresse finale sur Gigi
..
Plus tard, dans la chambre de Gigi, Sophie nue est à proie de lautre fille : elle a découvert la langue sur son sexe, sa langue sur le sexe de lautre fille, avec ce que cela lui amène dodeurs, de gouts inconnus et agréable à sa bouche.
Elle adopte le 69 comme référence. Elle revient souvent vers Gigi, sa première fille. Gigi ne connaissait que les garçons, elle est convertie au lesbianisme. Souvent les nuits sont douces entre elles. Leurs positions préférées : un 69 avec les langues dans le cul de lautre. Gigi aime aussi les garçons : un soir, un de ses ex vient chez elle. Gigi est allongée sur le dos avec Sophie sur elle qui la gamahuche. Lex ne fait pas desclandre. Il est nu devant les deux filles. Il se montre bien. Sophie curieuse de leffet dune bite dans son con, lui demande de venir la baiser. Il veut bien sur. Gigi, un peu jalouse accepte de partager le gars à condition dêtre aussi baisée. Faire un peu de triolisme ne déplait pas à Sophie. Elle se fiche dêtre encore vierge des deux torus : ça passe facilement. Le mec, heureusement pour Sophie est très résistant : il peut facilement baiser trois filles sans jouir ; Mais à la fin son jet est violent, dru, plus que blanchâtre.
La première à y passer est Sophie, bien sur qui attend ça depuis un moment, depuis quelle a 15 ans. Elle se met en levrette, comme elle aime. Il est derrière elle. Il ne cherche pas à entrer, cest Gigi qui le guide. Lui sent les lèvres du sexe souvrir devant sa légère pression. Elle sent le nouveau plaisir entrer dans sa chatte. Sophie pousse un léger cri au moment où sa petite paroi cède. Ensuite cest la partie de plaisir qui commence. Elle se fait emmancher sans rechigner : elle adore dès le début que la pine la lime.
Le souvenir de son dépucelage hante Sophie. Si elle a jouit ce ne peut être que par accident. Elle veut recommencer avec un autre. Pour une fille belle est sexy comme elle, il est facile de trouver un amant. Elle fait son choix pour trouver celui qui convient.
Cest un nommé Jean. Bien bâti, sans doute bien monté. Cest elle qui l »attaque » en lui prenant rapidement la bite dans la main. Elle nest pas déçue, il ne bande pas et il est aussi gros que son premier qui lui bandait. Elle le guide vers sa chambre. Il sait ce qui va se passer. Il bande avant. Un vrai morceau, une barre de fer déforme son pantalon. Sophie veut le libérer. Elle arrive à défaire la ceinture, ouvre la braguette, passe sa main pour attr la bête. Dabord, cest vrai elle est grosse. Ensuite Sophie narrive pas à la sortir. Elle voudrait bien la voir avant. Avant de la branler ou la sucer, ou se la faire mettre.
Cest Jean qui en se mettant nu lui donne satisfaction. Cest vrai il est bien, trop bien ? monté. Son gland se découvre lentement. Sophie a un doute, comment le prendre dans son ventre et surtout son petit trou. A Dieu vat.
Jean cherche son minou. Dun seul doigt curieux il est sur la chatte. Il ne cherche pas le clitoris : il y est dessus. Il la branle doucement. Elle se tend vers lui, cherche la bite pour le branler aussi. Il la laisse faire un petit moment. Il la couche sur le dos, lui fait écarter les cuisses en venant sur elle. Elle naimait que la levrette doit se laisser baiser normalement. Le poids de Jean est léger quand il est sur elle, en plus elle voit la queue grande, bandée, énorme qui va la défoncer.
Il pose sa queue sur ses lèvres qui souvrent seules. Il est déjà dans le conduit final. Il a écarté le con au maximum. Elle le sent venir sur sa matrice. Est-ce le désir ou la grosseur, elle jouit vite.
Il sort delle malgré ses dénégations. Il change dendroit. Son cul lui semble un meilleur nid. Il lui écarte les fesses doucement avec douceur : sa bite suit dans la vallée.
Il trouve le petit trou. Sophie a peur, elle se crispe. Quand la pine se pose sur sa rondelle elle se décrispe complètement. Sophie craint quil lui ouvre la paroi du cul. Pourtant elle en a envie. Sans doute cette envie et la douceur de Jean font quil entre dans son anus plus que facilement. Sophie commence une longue complainte. Elle est souvent interrompue par des gémissements plus forts au moment de ses orgasmes. Quand il vide ses couilles dans le cul de Sophie, elle voudrait encore continuer.
Elle voudrait lécher la bite à peine sortie de son cul : Jean refuse catégoriquement. Il lui faut attendre le lendemain matin sous la douche.
Ils prennent souvent des douches ensemble. Presque tous les matins que le bon Dieu fait.
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