Interlude Onirique
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Impossible de trouver le sommeil avec les images que javais dans la tête, pour me calmer je me branlais en pensant à mes deux maitresses, et après mêtre vidé les couilles je tombais dans un sommeil que jespérais calme, mais qui fut peuplé de rêves plus quérotiques.
Dans mes songes je croise tout dabord Marc. Dans sa chambre, ou ce qui y ressemble. Penchée au-dessus de lui, nue, moffrant la vision de son cul, sa soeur. Elle le suce, goulument. Marc me regarde, droit dans les yeux.
Encule-la pendant quelle me suce, me dit-il dune voix étrange.
Je suis à poil et je bande, jai un sexe énorme, je le prends dans mes mains et je vais vers ce cul qui souvre devant moi, je ly glisse, sans effort, sans résistance. Marc mencourage, et alors que je commence à enculer cette fille qui a alimenté mes fantasmes pendant un temps, elle se transforme, ce nest plus un cul, mais une bouche qui enserre ma bite, ce nest plus elle, mais Erwann qui me suce pendant que Marc le baise. Car dans ce délire Erwann est femme, il a une chatte, poilue, ouverte, et il se fait prendre par mon premier mec pendant quil avale ma queue. Les rêves sont étranges. Marc jouit sur Erwann, lâche de longue giclée de sperme bleu, et la chatte de mon amant se referme pour redevenir un pénis, long, énorme. Je lui dis que cest magique et il se vexe, moblige à le sucer, ce que je fais sans résister. Il a un gout de sucre, de bonbon haribo. Et quand il éjacule, cest du vin rouge qui me coule dans la gorge. Je me retrouve seul dans les bois, mes deux amants sont partis, je marche sans but, un peu perdu, je me retrouve dans ma chambre dinterne, il fait froid, la fenêtre est ouverte, il neige, dehors Émilie fait un bonhomme de neige, je lappelle, mais elle ne me répond pas, une femme maborde, je ne la connais pas elle ressemble vaguement à une actrice, une prof, un mélange de femmes qui mont fait bander.
Entre mes cuisses coule mon foutre, pour la première fois depuis des années je viens de souiller mes draps à cause dun rêve érotique. Je me lève, jentends les filles qui discutent dans la cuisine. Je ne prends pas la peine de mhabiller, elles même ne le sont que très peu. Je les embrasse et me verse une tasse de café. Je ne leur demande pas comment sest passée leur soirée, la complicité qui les unit me prouve que ce que jai imaginé ne doit pas être loin de la réalité. Elles sont belles et je bande. Encore. Elles nen voient rien, ma bite reste cachée sous la table.
Nina sans que je lui pose la moindre question commence à me parler de sa première expérience lesbienne, du plaisir quelle a pris et des horizons qui souvrent à elle.
Javais peur, mais pas seulement de faire lamour avec une femme, mais du sexe en général. Du sexe total, pour prendre son pied, pour se laisser aller au plaisir, pour vivre. Avec toi je donnais le change, mais javais peur de devenir une salope, un nympho, je retenais mon plaisir. Hier soir Émilie ma libérée. Je suis prête à tente dautre expérience, à explorer ma sexualité.
Émilie qui avait remarqué mon érection pendant que Nina me parlait, était passée sous la table et avait commencé à me sucer. Je ne réagissais pas laissant à Nina le soin de découvrir par elle même ce qui se passait.
Tu vois, hier encore je naurais pas pu rejoindre Émilie. Je nen aurais pas eu le courage, mais aujourdhui non seulement jai le courage, mais aussi lenvie daller laider à te sucer.
Ce quelle fit sans attendre. Après mon rêve humide, je retrouvais avec joie les plaisirs du sexe réel quand mes deux belles amantes se partageaient mon sexe, le léchant, le suçant, jouant avec pendant que je finissais ma tasse de café.
Les deux belles sy prirent si bien, usant de tous leurs talents, jouant si bien avec moi, que je jouissais avant davoir pu manger une tartine. Elles remontèrent de sous la table en sembrassant, et en séchangeant mon sperme qui venait compléter leur petit déjeuner. Elles reprirent leur place face à moi, et finirent leur café sans mot dire, comme si tout ce qui venait de ce passer était parfaitement normal. Et je ne pouvais pas mempêcher de penser que cétait effectivement normal. Rien nest plus normal que le sexe entre personnes libres et consentantes. Je venais de me faire pomper par les deux femmes que jaimais, et elles sembrassaient à pleine bouche parce quelles aimaient ça.
Je leur racontais mon rêve étrange qui les fit beaucoup rire, surtout quand javouais que javais fait une carte de France. Nous passâmes le reste de la matinée à trainer à moitié nus dans cet appartement écrin de nos amours et nos ébats. La pluie sétait installée et nous navions rien dautre à faire ce dimanche matin que de profiter ne notre jeunesse en baisant librement.
Jétais sous la douche avec Émilie, en tout bien tout honneur, quand Nina vint nous annoncer quErwann était dans le salon.
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