Margot, Ma Prof

Certains bruits nocturnes semblent montrer que mes parents ne s’ennuient pas la nuit au lit et même des fois au salon avec des amis quand je suis couchée. Si je me contentais de me caresser au début en imaginant leurs étreintes, j’en arrive au point de désirer les voir. C’est à ce moment que ma mère a engagé Margot, une femme dans la trentaine, une vieille pour moi. C’est Margot qui devenait le professeur, la moralisatrice, la moraliste. Elle avait sa chambre à coté de la mienne. Je ne sais pourquoi cette Margot est ici : pour eux ou pour moi. Il faut que je lui pose la question.
Ce matin au petit déjeuner, je suis seule avec elle : je peux parler librement. Elle est libre avec moi en me tutoyant.
- J’ai une certaine expérience de la vie, je vais t’apprendre des façons de faire.
- De faire quoi ?
- Tu dois aimer ça, baiser ?
- Oui, je crois.
- Avec moi tu sauras tout ou presque tout.
- Tu es une femme.
- Et Alors, tu crois que je ne saurais pas d’apprendre à mieux baiser parce que je n’ai pas de bite ?
- Tu m’apprendras comment faire avec une femme.
- Tu as entendu parler des godes, tu sais ces machin comme des bites qui entrent dans le con ou le cul.
Elle me prend pour une idiote, ou alors se sont mes parents qui se trompent.
- Nous allons nous promener cet après midi, en voiture vers la forêt.
- La forêt, pourquoi ?
- Pour nous connaitre mieux dans la nature, toutes nues, tu aimeras te montrer comme ça.
- Je préfèrerais le lac.
Elle ne me dit plus rien, nous partons en voiture vers je ne sais où. Je vois ses jambes se montrer quand sa jupe monte bien haut, très haut. Je n’ai pas le temps de faire comme elle, c’est Margot seule qui décide de lever le bas de ma robe. Elle pose une main sur le genou. Comme une idiote je me laisse faire. Elle ne lâche le genou que pour changer les vitesses.
Nous arrivons au bord du lac : jolie vue sur l’étendue.

Nous descendons de la voiture, elle prend ma main. Elle me guide comme une vers un fourrée où nous entrons. Là nous sommes totalement isolées. J’allais m’assoir sur l’herbe quand elle me retient, m’attire vers elle ; pose ses lèvres sur moi : les leçons commencent.
Elle dégrafe mon haut, défait ma ceinture, fait tomber le robe. Je reste dans la nature en soutien gorge et string. J’ai un frisson, pourtant il ne fait pas froid. Elle prend mon menton dans sa main, elle le dirige vers sa bouche. Sa langue force mes lèvres : elle me donne un vrai baiser d’amoureuse. Elle veut aboutir où : me caresser, me lécher, pas me baiser, elle n’a pas de bite. C’est ce que j’aurais voulu.
Elle me pousse dans l’herbe. Je me laisse tomber facilement. Margot est presque sur moi. Je sens son corps, je sens même sa poitrine contre moi. Elle me donne une lourdeur, une boule dans mon ventre. Sa tête passe sur moi, descend vers ma fourche. Elle ne va pas me lécher, je n’aime pas les filles. Je sens son souffle sur mes jambes. Elle me donne chaud là où il ne faudrait pas.
Elle descend le string. Je lève mes fesses pour le laisser passer. Elle doit me voir la chatte en entier. Je sens sa main sur le ventre. Elle descend encore, caresse le pubis, me fait bien mouiller. Je voudrais baiser avec une vraie bite.
Margot passe un doigt dans la fente. Je ne sais pourquoi je ne l’empêche pas d’aller dans ma chatte. Sans doute que ce qu’elle fait est bon, trop bon. Elle me branle, je suis masturbée par une autre fille pour la première fois. C’est aussi agréable qu’avec un homme. Mais il manquera la bite.
Je me laisse faire, je remue même pour qu’elle aille sur et dans le vagin. Mon con est trempé. Je pense même que la cyprine descend plus que la normale. Il me semble avoir l’anus déjà trempé. Son visage disparait derrière mon pubis : elle me lèche le clitoris. Oh, je me laisse faire à la découverte des plaisirs lesbiens. Elle va encore plus loin, vers l’anus. Je sens cette langue fouiller le cul.
Elle peut m’y faire ce qu’elle veut.
Elle fait ce qu’elle veut. Je sens la chose entrer dans le vagin : elle me baise avec un gode. Elle fait des va-et-vient excitants, presque comme ceux d’une vraie bite. Je m’entends gémir. Je me tends vers elle, comme vers un amant : je jouis. Elle reste en moi mieux que mon dernier tourtereau. Mes spasmes sont violents. Je vais poser ma main sur la sienne. Elle reprend son assaut. Je me laisse faire, je jouis plus longtemps. Elle garde le gode dans mon étui, jusqu’à la fin. Elle l’enlève pour le mettre sur mon cul. Elle me donne envie de continuer par la sodomie.
Je sens le bout du gode bien placé. J’écarte mes fesses à deux mains. Margot peut voir et mon con et mon cul, tant mieux c’est excitant de montrer ses endroit à la personne qui vous la met.
Le gode entre doucement, écarte mes muscles, entre doucement, trop doucement. Enfin elle comprend que j’en veux beaucoup plus : elle le entre presque tout l’engin. Elle le laisse immobile un instant : je remue pour qu’elle enfonce encore. Je suis occupée en totalité. Elle m’encule mieux que d‘autres. Je sens la grosseur du gode quand je jouis : les muscle culiers se serrent comme ceux du con.
Je m’entends répéter des encore sans fin. Margot comprend mon besoin, elle accentue les mouvements de la bite puis ajoute deux doigts dans le con. Je les sens chercher le gode. C’est bon de sentir le gode et les doigts ensemble dans mon corps, qui se complète comme dans une double pénétration.
Depuis le début Margot fait tout pour mon plaisir. Elle reste impassible devant mes désirs. Pourtant elle pourrait me demander une compensation. Si enfin, elle se met à genoux à mes cotés : sa main passe vers sa chatte. Sans pudeur exagérée, elle se masturbe devant moi. Elle se donne son plaisir sans rien me demander. Puis :
- Tu as compris ce qu’il te faut pour bien jouir : une bite, une bite et encore une bite.
- Et toi ?
- J’ai un gode à moi, rien qu’à moi, je me baiserais après chez moi, dans ma chambre.

- Je pourrais te voir ?
- Non. J’ai fait mon travail. Je ne cherche pas d’amante, j’en ai une qui me plait.
Elle disparait de ma vie. Depuis je baise bien pour moi, je me fiche des hommes qui me pénètrent du moment qu’ils me donnent mes besoins d’orgasmes : je dois passer pour une salope.

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