Leslie La43
Leslie LA43 - Laure, le journal intime - Morgane la Gothique, suite et fin
Là, maintenant cétait moi, appuyé contre la voute en pierre, qui me faisait sucer, Morgane me faisant connaître un plaisir que je ne mimaginais même pas.
Sa bouche, chaude comme la braise de lenfer a su memporter, elle maspirait et me léchait dans un rythme infernal, connaissant tous les points sensibles dune femme, toutes les zones érogènes qui emportent, elle memmenait sur les rivages de la jouissance
Elle savait jouer avec ses lèvres et sa langue, et ses petites boules de verres mélectrisaient en massant mon clitoris sous des pressions plus ou moins appuyées, me faisant presque défaillir.
Cétait délicieux, irritant, excitant.
Mon string avait disparu, et déjà, sous mes coups de langue, plusieurs soubresauts avaient agité mon corps, me mettant au bord de lexplosion, mais plusieurs fois, Morgane, avec une science consommée des plaisirs saphiques, avait su ralentir la montée de mon plaisir, mais seulement pour un instant, car les nouvelles succions excitantes sur mon clitoris, faisaient remontées aussitôt de nouveaux spasmes annonciateurs de mon plaisir.
Jai explosé dans sa bouche sans avoir eu le temps de penser, il a déferlé inondant le visage et la bouche de Morgane, jai jouis pour le plus grand plaisir de Morgane.
Jai failli mécrouler au pied de la voûte, me retenant de mes mains à la tête de mon amante.
Pui, Morgane sest relevée, en caressant mon corps, me faisant soupirer de bonheur.
Javais envie de lui donner à mon tour du plaisir, mais déjà, elle recollait ses lèvres sur les miennes, me faisant ainsi partager le goût de mon plaisir quelle avait encore sur ses lèvres.
A mon tour, mes mains commencèrent à caresser son corps encore inconnu et sous mes doigts jai senti son corps chaud et brûlant, sa peau souple et élastique, puis son ventre sappuya sur le mien pour entamer une danse caressant, mais au combien suggestive.
Mes mains se glissèrent sous son pull-over et sans tergiverser semparèrent de ses seins libres, jallais chercher ses tétons et mes doigts rencontrèrent une chaînette tendue qui remontait. Avec précaution, je pinçais les petits maillons et tirais dessus. Cela eut pour effet de faire rugir Morgane et daccélérer les mouvements de son bassin et de faire pénétrer plus loin sa langue dans ma bouche.
Rapidement je fus au contact du mamelon et le trouvais barré par un piercing.
Intrigué, je remontais haut le pull, au-dessus de la poitrine et, dans le halo du réverbère, je vis le bout des seins, percés par de petites barrettes et reliées à une chaînette tendue qui faisait le tour de son cou, maintenant le bout de ses tétons, fièrement vers le ciel.
Et chaque fois que je tirais dessus, des ondes de plaisir traversaient sa jeune poitrine. Les aréoles étaient larges et brunes, et les bouts durs et érigés.
Je fus surprise par de cet harnachement, Morgane nétait pas une fille ordinaire, mais je nétais pas au bout de mes surprises...
Avec amusement, je passais une main dans son cou et attrapais délicatement la chaîne pour commencer à tirer dessus ce qui déclencha une onde de plaisir dans ses seins la faisant gémir de plaisir.
Mon autre main, partit explorer son ventre, qui se creusa au passage de ma main pour en faciliter laccès à son intimité.
Mes doigts nont rencontré aucun buisson, juste une peau nue et humide.
Pourtant, arrivant au départ de son sexe, dès les premiers ourlets de peau, jentrais en contact avec un bijou posé sur sa vulve et en interdisant laccès, me voyant étonnée elle me dit :
- Ce bijou intime est divin, il exerce une pression délicieuse sur mon clitoris et je ne résiste pas aux caresses et aux frôlements de la goutte ronde blottie sous le serpent et en plus sa forme épouse parfaitement ma vulve et sa terminaison en forme de petit gode, s'immisce avec délice en moi, mon sexe est tellement sollicité quà chacun de mes pas, à chaque mouvement, je ressens du plaisir !
En leffleurant du bout du doigt, jaccentuais, sans le vouloir et sans le savoir, la pression du bijou qui venait appuyer sur son clitoris et le massait, la faisant soupirer.
Sous cette pression, Morgane creusa ses reins, venant faire buter son ventre contre le mien. Après plusieurs secondes de cet attouchement inhabituel, mes doigts tentèrent de descendre entre ses lèvres, chaudes et humides, mes doigts suivirent le bijou, qui barrait complétement lentrée de son intimité, sans pouvoir sy enfoncer.
Se décollant enfin de ma bouche, Morgane qui ronronnait comme une chatte en chaleur, me susurra :
- Enlève-le doucement
Là, je restais totalement hébétée
Cétait une soirée complètement dingue, se faire sucer sous un pont par une jeune Gothique à la langue percée, découvrir que la jeune femme disposait de chaînettes qui lui servait de soutien-gorge, et là, découvrir quelle portait un bijou-olisbos, je nen revenais pas.
Elle mexpliqua, que cétait la fabrication dune femme, conçue spécialement pour le plaisir et ajustée à lintimité féminine.
- Mais, pourquoi porter ça ?
- Seulement pour le plaisir
Morgane rabaissa son pull-over, elle mattrapa la main et memmena un peu plus loin, elle sarrêta près dun banc en pierre et me dit :
- Viens, jespère que personne ne nous dérangera !
- Comment ? Parce quà cette heure de la nuit, on peut être dérangé ici ?
- Ben, on nest pas le seul couple à vouloir baiser dans sur les bords de la Seine !
Là, en deux temps et trois mouvements elle se déshabilla complètement, déposant ses affaires sur la pierre du banc, jétais subjuguée par cette fille qui se dénudait devant moi, en pleine nuit sur les bords de la Seine, en plein Paris.
Dans la lumière blafarde du réverbère, son corps mapparaissait diaphane. Les bouts de ses seins en pommes, avec leurs piercings qui brillaient et la chaînette qui les tenait hauts. Son ventre légèrement bombé, son nombril orné sun autre bijou et son intimité imberbe.
Je la regardais dans ses mouvements pour se mettre nue, avec des gestes rapides, ne gardant que ses bas à résille et ses grosses chaussures, mais lors de son déshabillage, je crus distinguer un autre bijou qui ornait son anus, le reflet bleu dune pierre ayant brillé son le halot du réverbère
Une fois nue, elle mattira à elle et patiemment marnacha le pubis nu dun gode ceinture, sorti de son sac à trésor.
Elle interrompit son exercice pour me tourner le dos et prenant appui sur la pierre où elle avait posé ses habits, pointa ses fesses vers lengin en me disant :
- Enlève le rosebud et sodomise-moi !
Dans la lumière du réverbère, jallais fouiller son intimité pour la libérer de son bijou, la faisant émettre un petit cri de plaisir à peine étouffé, et elle me dit :
- Viens ! Maintenant !
Elle naspirait quà se faire empaler et que je la prenne tel une sauvage sous la nuit étoilée.
Jai enserré sa taille et le pal a trouvé naturellement le chemin de son antre, elle était déjà ouverte par la présence du rosebud quelle portait en elle toute la journée. Il ne fallut que quelques poussées pour atteindre le fond de son intimité et que déjà elle commençait à jouir.
La besognant comme une damnée, elle jouit comme une folle.
Elle aimait se sentir prise, tenue, empalée, à la merci de mes pénétrations. Elle a jouit plusieurs fois tout en se torturant sauvagement ses seins percés dune main, tandis que de lautre, elle masturbait avec vigueur son clitoris libéré de son autre bijou.
Nous sommes restés un long moment soudés lune à lautre. Moi, prisonnière de son sexe serré autour du pal, elle reprenant son souffle et contrôlant chaque muscle de son ventre pour éviter de mexpulser.
Puis elle ma demandé, naturellement :
- Jaimerais bien que tu recommences, jadore ça !
Ce fut fait et elle en tira aussi beaucoup de plaisir.
Puis, elle sest dégagée, a réinstallé ses bijoux et nous nous sommes rhabillés.
En remontant vers la rue, elle ma dit :
- Viens, on va boire un pot !
Nous sommes retournés dans lantre des Gothiques, la musique sétait tue et lambiance était plus feutrée, maintenant on pouvait surtout sentendre.
Jai revu Morgane, la Gothique, le lendemain, pour une vraie nuit damour chez moi, une belle nuit où elle sest livrée nue et sincère, ne cachant pas ses blessures de la vie et se confiant à moi comme une confidente.
Puis, au petit matin, elle est partie me laissant le souvenir dune fille libre, qui je lespère a réussi dans la vie, réalisant ses rêves.
Depuis, chaque fois que je passe devant la taverne, repère des Gothiques, jai un léger frisson qui me parcourt léchine et jai une pensée pour Morgane, la Gothique.
A suivre
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