Première Fois

Je m’appelle Amélie j’ai 22 ans 1m70 pour 52kg, brune, plutôt coquette et mignonne. Je suis fille unique, ma mère est infirmière à l’hôpital de Purpan et mon père ingénieur dans une grosse entreprise. Il y a cinq ans, quelques jours après mes 18 ans, je venais d’obtenir mon CAP d’employée de bureau et il fallait absolument que je me mette à chercher du travail car je n’avais aucune envie de continuer mes études malgré les conseils de mes parents. J’étais une jeune fille plutôt solitaire sans beaucoup d’amies ni de petit ami. Depuis deux ou trois ans je passais mon temps libre devant mon ordinateur, j’étais passionnée par le sexe et j’en explorais toutes les facettes mais uniquement de façon virtuelle.

Il faut dire que lorsque j’avais 15 ans j’avais surpris ma mère en train de faire l’amour avec un amant pendant que mon père travaillait. J’étais sensée être au tennis avec une amie, mais cette dernière s’étant foulée une cheville la partie s’était écourtée.

En arrivant devant la porte d’entrée j’entendis des gémissements qui venaient de la chambre de mes parents. Intriguée je me suis approchée de la fenêtre, elle était grande ouverte et les volets étaient entrebâillés. J’ai pu passer de longs moments à observer ce qui se passait sans être vue. Ma mère se faisait prendre par un ami de mon père et elle semblait y prendre beaucoup de plaisir. J’ai par la suite eu l’occasion de les surprendre plusieurs fois.

C’est cette vision qui a déclenché mon besoin d’explorer tout ce qui concernait le sexe derrière mon ordinateur. A part cela j’étais toujours vierge à 18 ans, car malgré que j’aie eu quelques petits copains durant mon adolescence, je n’avais jamais osé franchir le pas. Du coup mes histoires ne duraient jamais plus de quelques semaines, et j’avais la réputation d’être une simple allumeuse.

Mon diplôme en poche, je décidais donc de me mettre à chercher un emploi. J’habitais chez mes parents dans un petit village de la banlieue toulousaine et je savais que pour trouver je devais chercher sur Toulouse, heureusement que les transports en commun me permettaient de m’y rendre facilement.



Je me suis donc inscrite à l’ANPE, mais je cherchais aussi sur Internet et au bout de quelques semaines de recherche j’étais désespérée… déjà ! Mes parents avaient déposés mes CV à l’hôpital et dans la boite de mon père, mais aucune réponse. Je profitais de cette période pour passer mon permis, bien aidée par mes deux années de conduite accompagnée, et mes parents m’offrirent une petite voiture d’occasion. Certes je me sentais plus autonome du fait de pouvoir aller où je voulais, mais j’étais financièrement dépendante de mes parents et je rêvais de pouvoir prendre mon propre appartement sans leur aide.

Début septembre 2008 le miracle se produisit enfin ! Mon père rentrait d’un déplacement professionnel aux Emirats arabes unis où il avait accompagné son patron. Il avait profité du voyage pour parler de moi à son patron et celui-ci lui répondit que justement sa femme cherchait une assistante pour l’aider dans la gestion de leur SCI.

Lui était le patron d’une très grosse société dont il avait hérité à la mort de son père, mais sa femme avait aussi hérité d’une grosse affaire de gestion immobilière et gérait plusieurs dizaines d’appartement en location sur Toulouse et sa région. Je savais que son patron était très riche car mon père nous en parlait souvent et ne tarissait pas d’éloge sur lui.

Son père était décédé alors qu’il avait à peine 30 ans, cinq ans plutôt et étant fils unique, il s’était retrouvé à la tête d’un empire qu’il dirigeait de main de maître selon mon père. Je savais qu’il faisait partie des plus grosses fortunes de France, mais j’ignorais, et mon père aussi d’ailleurs, que sa femme était aussi fille unique et s’était retrouvée orpheline à 17 ans à la tête d’un héritage important.

Mon père me tendit un papier avec l’adresse où je devais me rendre le lendemain matin à 9h00 pour un entretien. Lui et ma mère ne purent s’empêcher de me recommander de bien m’habiller car j’allais tout de même chez son patron ; comme si j’avais l’habitude de m’habiller en jeans – baskets !!

Le lendemain matin j’avais investi la salle de bain à 6h00 pour me préparer au grand désespoir de mon père qui dût utiliser la douche du garage pour partir à l’heure.
Heureusement que ma mère ne travaillait pas ce jour-là !

Une heure plus tard j’étais prête, et j’eus droit à une inspection de la tête au pied : Petite robe rouge à mi-cuisse, décolleté très léger et escarpins noirs, maquillage très léger et cheveux parfaitement coiffés. Ma mère approuva et me complimenta sur mon choix ; j’étais belle, sexy mais sans vulgarité…

J’avalais un café sur le pouce et en route, il était tôt mais je tenais à être en avance le temps de trouver l’adresse. Je craignais les embouteillages sur le périphérique car je devais me rendre de l’autre côté de Toulouse dans un petit village sur la route de Tarbes.

J’atteignis ma destination avec une demi-heure d’avance, et un passant m’indiqua l’adresse : un grand mur en pierre de 100 m de long avec un gros portal au milieu. Je trouvais de suite, mais garée le long du mur je ne voyais pas de maison, juste une sonnette avec un interphone, plus deux boîtes aux lettres : une avec le nom des propriétaires et l’autre avec le nom de la société civile immobilière.

Je sonnais et une voix féminine très douce me répondit, je me présentais et le portail s’ouvrit sans que je voie la moindre maison, juste une allée bordée d’arbres parfaitement taillées.

La voix me demanda de suivre l’allée en voiture jusqu’à la maison. Je dus faire au moins 500 m avant d’arriver devant une grande et belle maison en briques rouges. Je fus impressionnée par la beauté du parc entretenu à la perfection et surtout par la taille de la maison, ce n’était pas un château mais pas loin.

La dame qui m’avait répondu m’attendais devant la maison, et se présenta : « Bonjour Amélie, je suis Marie votre future patronne… peut-être » ! Je fus d’emblée surprise car elle était très jeune, la trentaine maximum, je ne sais pas pourquoi je l’avais imaginée plus âgée, mais je me rappelais que son mari n’avait que 35 ans donc c’était normal qu’elle soit autour de la trentaine.

C’était une très belle femme brune aux cheveux courts, habillée d’une robe grise très élégante, sûrement de grande marque … je la trouvais très belle et très classe.
Sa voix était très douce et sa gentillesse me mit rapidement à l’aise.

Elle m’invita à la suivre et sur le côté de la maison où je découvris ce qui semblait être une seconde porte d’entrée qui donnait sur un escalier, et rentrais derrière elle par une seconde porte au bas de l’escalier. Je fus impressionnée par la taille de la pièce dans laquelle il y avait deux immenses bureaux, de grands placards et un coin canapé avec beaucoup de plantes pour agrémenter le tout.

Une immense baie vitrée donnait sur une grande terrasse avec une piscine immense. Tout était magnifique et elle sourit en voyant mon étonnement. Elle m’invita à m’asseoir à un bout du canapé et s’installa à l’autre bout. L’entretien se passa très bien et dura à peine vingt minutes. Elle m’avoua qu’elle pensait plus embaucher une assistante expérimentée, mais que finalement elle serait ravie d’être mon premier employeur. Elle m’expliqua rapidement en quoi consistait le travail, rédaction de courriers, de quittances de loyers, de contrats de location …. Enfin rien de bien compliqué.

Elle me proposa un CDD de 6 mois, transformable en CDI si tout se passait bien. Je devais travailler de 9h00 à midi et de 14h00 à 18h00 du lundi au vendredi. Le salaire serait de 1400,00€ nets ré évaluable si je passais en CDI. Je devais commencer le lundi suivant. Je pris congé en la remerciant plusieurs fois et une fois sortie de la propriété je m’empressais d’appeler ma mère pour lui annoncer la bonne nouvelle.

Le lundi suivant, j’étais à mon poste à 9h00 et je commençais à apprendre le métier auprès de Marie, tout se passa très bien, le travail était simple mais ne manquait pas. En fin d’après-midi son mari entra dans le bureau pour faire ma connaissance. Il était grand, mince et plutôt charmant. Il bavarda et plaisanta quelques instants avec moi, il était tout aussi gentil que sa femme.

Ma première journée se termina dans la bonne humeur. Les semaines s’enchaînèrent ainsi, avec beaucoup de travail.
J’appris à connaître Marie, avec qui nous discutions beaucoup et Michel son mari passait régulièrement bavarder avec nous. Trois mois plus tard Marie me confirma que je faisais parfaitement l’affaire et que si je voulais je pouvais signer mon CDI à la fin du mois. J’étais enchantée et j’acceptais immédiatement. Durant la journée j’expliquais à Marie que ça me permettrait de chercher un appartement plus proche de mon lieu de travail afin de ne plus galérer des heures sur le périphérique Toulousain. Marie me dit qu’elle avait une idée qui pouvait résoudre mon problème mais qu’avant de m’en parler elle voulait en discuter le soir même avec son mari, elle avait besoin de son accord.

Dès le lendemain elle m’expliqua qu’au-dessus du bureau il y avait un appartement indépendant du reste de la maison, accessible par l’escalier. Cet appartement avait été par le passé habité par la gouvernante de ses beaux-parents, mais que maintenant il ne servait plus malgré sa récente rénovation. Et comme Marie ne pouvait pas avoir d’s il n’était pas prêt de servir un jour.

Elle s’empressa de me le faire visiter. C’était un appartement très grand avec une cuisine entièrement équipée, un grand salon, une chambre de 30 m² avec un dressing et une salle de bain immense elle aussi. Le tout était intégralement meublé avec goût. Un petit balcon donnait au-dessus de la piscine et sur le parc. J’étais émerveillée, mais je m’inquiétais pour le prix du loyer ! Marie me rassura de suite : il n’était pas question que je paye quoi que ce soit comme loyer ni charges sur cet appartement, il serait mis gratuitement à ma disposition et ce pendant le temps que je voulais. Elle me précisa que je pourrais recevoir qui je voulais quand je voulais et que je pouvais profiter du parc et de la piscine à volonté.

Je n’en revenais pas de tant de générosité et je me confondais en remerciements qi amusèrent Marie. Je pouvais aménager de suite si je voulais. La chose fut faite dès le week-end suivant, aidée par mes parents qui étaient très surpris aussi, mais très heureux pour moi. J’étais enfin autonome !

Le lundi je signais mon CDI avec une augmentation substantielle de salaire en prime : 2000,00€ net et en prime l’appartement entièrement gratuit.

La première nuit j’ai beaucoup de mal à dormir, ébahie, par la chance que j’avais, par tant de luxe…
J’avais mis une bonne partie de la journée à ranger mes affaires… moi qui pensais avoir beaucoup de fringues, elles ne prenaient même pas la moitié du dressing. Ma mère m’avait acheté des tonnes de draps, des serviettes de toilette, des torchons, de la vaisselle et autres accessoires de cuisine… sans compter que le frigo américain et le congélateur étaient remplis de victuailles. Je tournais et retournais une bonne partie de la nuit en pensant à tout ce qui allait changer dans ma vie : fini les longues heures de bouchon sur le périphérique, je pourrais me lever plus tard, fini les déjeuners sandwich pris dans la voiture le midi…. Je dus m’endormir au petit matin.

Le travail reprit ses droits et je passais mes semaines sans sortir de la propriété, je passais juste voir mes parents le week-end et je passais beaucoup de temps à faire du shopping aussi … il faut dire que j’avais des revenus corrects maintenant, mais malgré tout j’avais des fins de mois parfois difficiles.

Plusieurs mois s’écoulèrent ainsi dans un bonheur parfait. Un jour, Marie me demanda si je voulais me faire un peu d’argent de poche le samedi soir, elle m’expliqua qu’ils recevaient un couple d’amis pour le week-end et qu’ils prévoyaient une soirée restaurant le samedi soir. Mais leurs amis avaient un de 1 an et ils cherchaient une nounou pour veiller sur lui durant la soirée et la nuit.
J’acceptais volontiers comme je n’avais rien de prévu.

Le samedi en fin d’après-midi, je fis la connaissance de leurs amis et du bébé que j’allais garder. Elle me donna une clef qui était celle de l’ancienne porte de communication entre mon appartement et le couloir du premier étage de leur maison. J’avais remarqué cette porte au bout du couloir mais elle était dissimulée derrière un rideau et était fermée à clef. La clef remise par Marie permettait de l’ouvrir depuis chez moi seulement. J’eus quelques difficultés à l’ouvrir, ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps, Marie et son amie m’attendaient de l’autre côté. La chambre où dormirait le bébé était en fait voisine de la mienne. Je n’avais qu’à être là au cas où car le bébé serait endormi quand ils partiraient. J’aurais peut-être à le changer dans la nuit, mais seulement s’il se réveillait. Les portes seraient entrouvertes pour que je puisse l’entendre. A leur retour ils fermeraient juste la porte de communication afin que je ne sois plus dérangée.

Une fois les consignes passées, la jeune maman me tendit un billet de 100,00€ et Marie referma la porte de communication, me précisant qu’elle frapperait lorsqu’ils partiraient pour que j’ouvre à nouveau cette porte. J’étais sidérée que le peu que j’avais à faire me rapporte autant d’argent. Vers 19h30 ils me confièrent la garde du petit chou. Je l’ignorais encore, mais ma vie allait changer.
Cette nuit-là je n’osais pas aller me coucher de peur de ne pas entendre le bébé pleurer si je m’endormais. Je passais donc ma soirée à surfer sur le net. Soudain, vers deux heures du matin j’entendis des cris à peine audibles. Je me précipitais vers la chambre du bébé, paniquée à l’idée de devoir le changer, mais il dormait à poings fermés. Les bruits venaient du bas de l’escalier, je m’avançais sans faire de bruit, je descendis deux ou trois marches et je compris ce qu’étaient les bruits. Je vis une porte vitrée qui donnait sur un salon, Je vis Marie, nue, à cheval sur le mari de son amie en train de s’empaler sur lui. A côté Michel était couché sur l’autre femme et lui faisait l’amour. Je regardais la scène, interloquée, machinalement je descendis deux marches et soudain je vis le regard de Marie qui me fixait. Morte de peur je suis remontée en courant et je me suis réfugiée dans mon lit. Je m’attendais à voir Marie ou Michel surgir furieux et me jeter dehors pour avoir été si curieuse. Mais rien ne se passa, juste la porte de communication qui se ferma doucement une heure plus tard. Je finis par m’endormir.

Le dimanche je me réveillais tôt et je décidais de partir pour la journée afin de ne pas croiser Marie ou Michel, le lundi arriverait bien assez vite !

Le lundi matin j’avais l’estomac noué en arrivant au bureau, je me plongeais dans les papiers pour avoir l’air très occupée quand Marie arriverait. Mais à ma grande surprise c’est Michel qui passa en coup de vent juste pour me dire bonjour. Quand il sortit de la pièce, Marie entra au même moment.
Elle vint me faire la bise aussi enjouée que d’habitude, me félicita sur ma tenue, j’avais fait un effort pour essayer d’être aussi belle et sexy qu’elle. Puis elle se met au travail sans faire la moindre allusion à la soirée de samedi. Je me dis qu’en fait elle ne m’avait pas vue dans l’escalier, que j’avais tremblé de peur pour rien. Mon ventre se dénoua et je me remis au travail.

Vers 10h30 nous fîmes une pause-café comme d’habitude, elle me proposa juste que nous déjeunions ensemble le midi, ce que j’acceptais avec joie. Elle s’éclipsa vers 11h30 pour aller nous préparer à manger et me demanda de la rejoindre vers 12h30 dès que j’aurais fini le courrier que j’avais à terminer.

A 12h30, donc, je frappais à sa porte et elle m’ouvrit en chantonnant, et m’invita à m’installer à table. Elle avait préparé une grande salade que nous nous avons entièrement dégustée en papotant. A la fin du repas je l’aidais à débarrasser et elle me fit asseoir sur le canapé pour prendre un café.
Elle s’installa à ma droite. Dès qu’elle ouvrit la bouche, le ciel me tomba sur la tête :

« Je voulais qu’on discute de ce que tu as vu samedi soir, me dit-elle. Je restais bouche bée quelques secondes puis je lui répondis en tombant en larmes.

- Je vous demande pardon, Marie, je ne voulais pas vous espionner, j’aurais dû retourner dans ma chambre quand j’ai vu que le bébé dormait... »

Je pleurais et sa réaction fût pour moi très émouvante : elle me prit dans ses bras en me serrant son corps contre le mien et sa voix douce disait :

- Non Amélie, non, ne pleures pas. Tu n’as rien fait de mal, tu as juste découvert que nous étions échangistes, mais ce n’est pas grave. Je voulais juste te dire qu’il ne fallait en parler à personne, jamais. »

- Je vous le jure, Marie, jamais je n’en parlerais à qui que ce soit ! répondis-je rassurée, mais toujours en larmes.

-Ne pleures pas, je t’en supplie, sinon je vais pleurer aussi. Je sais que tu ne diras rien, je te fais confiance, me rassura-t'elle en me caressant la joue. »

Ses paroles douces et réconfortantes séchèrent mes larmes, mais elle me gardait serrée contre elle, j’étais bien dans ses bras et je ne fis rien pour qu’elle desserre son étreinte. Sa main droite caressait l’espace entre le bas de ma jupe et mes genoux, et sa main gauche caressait ma nuque. Mais très rapidement sa main droite glissait imperceptiblement sous ma jupe à tel point que cette main atteignit rapidement ma culotte. J’ouvris mes cuisses pour faciliter le contact avec mon intimité qui réclamait la caresse en mouillant abondement. Je commençais à gémir de plaisir, c’est alors qu’elle tira légèrement mes cheveux en arrière pour relever ma tête et elle plaqua sa bouche contre la mienne qui s’ouvrit à ce baiser fougueux. Sa langue fouilla ma bouche longuement. Quand elle mit fin au baiser, je me surpris avachie sur le canapé, les cuisses ouvertes largement et la culotte à l’air.
Marie se leva, et me prit la main pour m’emmener jusqu’à sa chambre.
Elle était immense et le lit était le plus grand que j’ai jamais vu, au moins deux mètres de large. Elle me prit dans ses bras et m’embrassa à nouveau tout en dégrafant ma robe et mon soutien-gorge, puis sa main baissa ma culotte qui tomba à mes pieds. Elle commença à caresser ma poitrine dont les tétons s’étaient durcis, et quand sa main se posa sur mon sexe, je ruisselais de désir.

En un instant elle se retrouva nue aussi et elle colla son corps au mien, je fondais. Elle se détacha de moi en me tenant les mains pour regarder mon corps, elle me dit que j’étais magnifique. Elle aussi était superbe, une ligne parfaite, des seins superbes et un sexe parfaitement épilé. Une fois allongées sur le lit elle commença à me caresser sur tout le corps, sa bouche se mit à embrasser mes tétons, les aspirer, les mordiller. Sa main descendit vers mon sexe et dès qu’elle toucha mon clitoris, j’eus un premier orgasme. Elle parlait doucement à mon oreille : « Jouis ma belle, laisse-toi aller, crie ton plaisir…. »

Elle écarta mes cuisses et vint coller sa bouche sur mon sexe. La sensation, nouvelle pour moi, était délicieuse. J’étais maintenant totalement décontractée et je me laissais faire sans bouger. Mon deuxième orgasme fût extraordinaire, le plus violent que j’ai jamais eut jusqu’à ce jour. Je criais mon plaisir durant plusieurs secondes. Lorsque j’ouvris les yeux, toujours gémissante, son visage était contre le mien et elle me regardait droit dans les yeux tout en me parlant doucement. J’avais du mal à garder les yeux ouverts, mais la sensation de la voir me regarder jouir était si agréable que je me forçais à ne pas les fermer. Mon orgasme avait été si violent que mon clitoris me faisait mal lorsqu’elle passait sa main dessus. Elle me fit l’amour toute l’après-midi, les orgasmes se sont enchainés jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Nous restâmes allongées encore un long moment, elle me caressait tendrement.

Après quelques instants, elle commença à me poser des questions sur ma sexualité, et je dus lui avouer que c’était ma première expérience avec une femme, et aussi que j’étais vierge. Elle s’en étonna, mais elle comprenait…
Elle m’invita à prendre une douche avec elle, et nous passâmes un long moment dans la salle de bains. Je rentrais chez moi par la porte de communication qui était restée déverrouillée. Il était 20h00, nous avions passé plus de six heures à faire l’amour. Je me couchais très vite après avoir grignoté quelques biscuits et je revivais cette après-midi tout en me caressant. Je réalisais qu’elle avait consacré 6 heures à me faire jouir sans jouir elle-même, du moins je ne l’avais pas vue jouir, et je me dis que si nous étions amenées à recommencer je devrais aussi m’occuper d’elle. Après quelques minutes allongée, je décidais de me lever et d’écrire sur mon journal intime ce que je venais de vivre, pour ne pas oublier ou pour pouvoir me caresser plus tard en relisant. Je griffonnais quelques pages et je m’endormis.
Grâce à ce journal que je tiens toujours au jour le jour ou presque, tous mes souvenirs restent intacts et me permettent aujourd’hui de raconter mon histoire sur le net. Cette première partie n’est pas très excitante, mais il était nécessaire de planter le décor comme on dit. Mes prochains récits seront beaucoup plus craquants, car c’est ce jour-là que débute ma vie sexuelle, et elle est bien remplie...

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