Leslie La44
Leslie LA44 - Laure, le journal intime - Envie de vieux
Ce matin-là, mardi, je me suis réveillée, le feu entre les cuisses, ça marrive parfois, non à cette époque ça marrivait souvent, quoique maintenant
A vingt ans, ce sont des états qui ne devraient pas alarmer, pas de fac aujourdhui, me dis-je, en me levant, nue de mon lit. Dans la glace, je me regarde et jobserve mon corps lisse, entièrement lisse, eh oui, hier je me suis entièrement épilée, la complète, je passe une main sur ses seins et lautre sur mon ventre plat.
Je me trouve désirable, la main descend de mon ventre sur mon pubis glabre, cest doux, agréable, et une envie soudaine monte en moi, lenvie de faire une rencontre.
Je passe sous la douche, passe un long tee-shirt, puis vais minstaller devant son ordinateur, un café à la main et me branche sur un site de rencontres.
Maintenant jai lhabitude de déceler les bonnes et les mauvaises annonces, celles des hommes, qui en recherchent dun coup vous baiseraient contre un arbre.
Mais ce matin-là, je cherche un genre particulier, un qui me fait fantasmer depuis que jai lâge de passer ma main sur ma chatte et décarter les cuisses en imaginant quelque chose de bien raide me défoncer par les deux trous.
Mais jai parfois du mal à réaliser mes fantasmes, les jeunes de mon âge mennuient, ils ne sont pas assez inventifs, juste pour un coup et encore
Les hommes mûrs par contre sont entreprenants et me font découvrir de nouvelles sensations, en plus une jeune fille, cest parfois inespéré pour eux, juste faire attention de ne pas tomber sur un pervers.
Alors ce matin, jai envie dun vieux, mais trop quand même, un qui puisse me combler sans avoir une panne dérection, je nai pas ce matin lâme de charmeuse de serpents.
Au clavier, je tape :
« Jeune fille cherche homme mûr, la cinquantaine, viril et imaginatif, pervers sabstenir »
Jaimerais ajouter : « Belle queue, bien venue.
Les quinquas sont matinaux aujourdhui, et même si je ne suis pas du genre à refuser une aventure, il me faut faire le tri, je suis exigeante lorsque je suis prête à offrir mon jeune corps, en plus il faut décrypter les annonces et les réponses pour ne pas tomber sur un pervers, et même en faisant attention, on nest jamais à labri.
Je converse par messages, demande des descriptions, questions et réponses, et petit à petit mon choix se réduit considérablement, jélimine, jusquà ce quun des profils se détache.
Je converse ainsi un moment afin de voir si ses propos sont cohérents et si par hasard il ne se contredirait pas au fil de la conversation.
Il se prénomme, Gilles, à cinquante-deux ans, et mesure un mètre quatre-vingt pour soixante-douze kilos, la photo quil a jointe correspond à la description, il a les cheveux coupés raz, qui lui donne un côté viril.
Il me dit avoir une bonne situation, puisquil habite dans le seizième arrondissement de Paris et quétant seul, il peut recevoir.
Son annonce est éloquente :
« Cherche une petite salope aimant les belles queues ».
Pas original mais terriblement excitant et de plus il répond à mes attentes.
Léchange sengage et il demande :
« Comment êtes-vous physiquement ? » Je lui réponds.
« Belle poitrine, épilée ? » Je lui réponds par laffirmatif.
Il demande encore :
« Avez-vous envie quun mec mûr vous possède ? » Je tape encore oui.
Il insiste, et me demande : « Aimez-vous les belles queues ? » Oui.
Toujours oui, il commence à ménerver avec ses questions, mais je commence à être excitée, surtout quand il me demande :
« Aimez-vous vous faire enculer ? »
Alors là, je lui réponds que ça va dépendre
« Dépendre de quoi ? »
Alors les mots crus apparaissent sur lécran.
« Tu vas être servie, petite salope. Appelle-moi maintenant. »
Et il joint son numéro de téléphone.
Jai le cur qui bat, dhabitude je me déconnecte, mallonge sur son lit, ouvre mes cuisses et me fait jouir, sans aller plus loin.
Mais aujourdhui, je suis une vraie petite chienne, il ma trop excité avec ses questions, alors je compose le numéro, prend soin de masquer le mien, en inconnu, on ne sait jamais
Au moment où il décroche et que sa voix grave passe dans le combiné, je mouille déjà, et ma voix tremble même légèrement quand je dis :
- Bonjour, cest Laure.
- Bonjour, alors, comme ça tu cherches un homme mur ?
- Oui
- Pourquoi ?
Sa voix est enveloppante.
- Ils ont de lexpérience et je trouve ça plus excitant.
- Tu aimes être dominée ?
- Non, pas dominée mais avec eux, je me sens plus
- Plus quoi ?
- Plus femelle.
- Tu mexcites Laure, jaime ta voix et ma queue est déjà bien raide. Tu vas aimer lavoir dans ta bouche, jaime avoir de jeunes partenaires et jaime les regarder jouir pendant que je les pénètre avec ma grosse queue ?
- Elle si grosse que ça ?
- Oui ! Tu veux venir ?
- Oui, dis-je dans un souffle.
Il se passe quelque chose, cet homme au bout du fil, avec sa voix chaude dans mon oreille et ses mots, cela me noue le ventre, jai envie de lui.
Il me donne son adresse et me dit de venir au plus tôt.
- Le temps de me préparer et je sonne à votre porte, dis-je.
- Tu vas venir chez moi en jupe, la plus courte possible et un chemisier sans rien en dessous. Je veux que les mecs te regardent dans la rue avec des yeux denvie et que ça texcite à mouiller comme une petite salope. Tu ne porteras rien sous ta jupe et dans lascenseur, tu ouvriras ton chemisier, pour sonner à ma porte les seins offerts. Cest un immeuble cossu et calme, tu ne devrais pas croiser beaucoup de monde. On va bien samuser tous les deux.
Je mapprête en vitesse, un léger maquillage, une jupe ultra courte et le chemisier, des escarpins à talons hauts, rien de plus et me voilà partie.
Dans le métro, je sens le regard des hommes sur moi, cherchant à voir ce que je cache à peine, les pointes de mes seins sinvitent sous le tissu fin de mon chemisier, le tendent.
Jimagine déjà les mains de Gilles sur mon ventre, sur mon corps et je pense que dans quelques instants je vais me faire baiser dans un bel appartement, mais comme une petite salope, je me sens mouiller.
Je suis nerveuse en arrivant au bas de limmeuble, mais terriblement excitée. Je sonne à linterphone, il ouvre. Lascenseur et ses grilles des années folles des vieux immeubles bourgeois, jentre dans la cabine et la glace me renvoie mon image, limage dune petite salope.
Je déboutonne mon chemisier, lentrouvre pour libérer mes seins, mon ventre se serre, je suis excitée par ma propre image et par ce que mon corps va subir, mais je vais tout donner.
Je sors de lascenseur, ouf personne ne ma vu, et puis même, je sonne à la porte
Des bruits de pas résonnent à lintérieur, puis il ouvre. Il est comme il lavait dit, grand, sportif, cheveux courts, des yeux bleus, le genre que jaime. Il porte un pantalon de toile léger qui laisse deviner une belle bosse, déjà.
Il me regarde et dit :
- Entre !
Aussitôt, il me colle contre le mur dans le couloir sombre, écarte mon chemisier pour admirer mes seins.
- Tu es magnifique, petite salope, dit-il. Cest mon jour de chance.
Il colle sa langue à mon oreille, ce nest pas ce que jaime le plus, mais cest terriblement excitant en même temps.
- Je vais te baiser toute la journée.
Jai soudainement peur, il est un peu agressif, alors je tente de détourner la tête.
- Petite salope, tu ne comptes pas venir ici et repartir tout de suite, allez embrasse-moi.
Son ton est plus doux, ma, peur retombe et je mexécute, puis me lâche et enroule ma langue autour de la sienne.
Il embrasse bien et ce fait doux, tendre, il me met en confiance, peut-être voulait-il voir si jétais soumise
Sa main descendue sous ma jupe se repaît de ma chatte lisse. Il menlève le chemisier et me pousse doucement à magenouiller devant lui, puis il baisse sa braguette et sort sa queue. Waouh
Putain quelle est grosse, il est circoncis et son gland est violet et en plus, elle est longue. Je joue avec le gland et du liquide clair coule sur mes lèvres.
- Suces-moi petite salope !
Je gobe le gland, enfonce sa tige dans ma gorge. Il me force doucement pour que je prenne sa queue plus profondément, alors je le prends au plus profond de ma gorge.
Je le suce pendant un long moment, et il dit :
- Arrête, je vais jouir dans ta bouche mais pas tout de suite. Suis-moi.
Il memmène dans son bureau et enlève son pantalon, me retire ma jupe et minstalle sur le bureau. Ainsi offerte, sur le dos, les cuisses écartées, il me regarde en souriant, crache dans sa main et enduit sa bite, humidifie bien le gland. Puis il entreprend de me lécher la chatte. Sa langue tourne sur mon clitoris, il soulève mes jambes, glisse sur son anus bien lisse et entre un doigt puis un autre, je gémis.
- Petite salope, je vais te défoncer le cul.
Il place sa queue devant son petit trou, hésite et finalement me prend la chatte. Il est endurant. Il transpire. Mordille la pointe de mes seins. Moblige à embrasser mes tétons. Il me lime pendant une bonne demi-heure, je nen peux plus de crier.
- Taime ça, petite salope, me glisse-t-il à loreille, hein taime ça ?
- Ohhh, oui, dis-je.
Je contracte mes muscles autour de sa grosse queue.
- Je vais te baiser toute la journée et quand tu partiras, ton petit cul sera grand ouvert.
Cest vrai que je la sens bien sa grosse queue, elle écarte bien les chairs de ma petite chatte, je peux dire que je suis puissamment possédée, et un frisson parcours mon corps en pensant à ce quil en sera de mon petit trou
A suivre
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