Les Mésaventures D'Un Hétéro (9) : Une Routine Épuisante
Voilà trois semaines que je vis dans une sorte de tourbillon se sexe et de fureur. Tout marrive en même temps et jen profite, mais dans mes moments de lucidité, je me rends bien compte que ça ne pourra pas durer éternellement. Au moment même où je me suis mis en ménage avec celle que je considère comme la femme de ma vie, des expériences -et connaissances- homosexuelles récentes on refait surface.
Dabord plein de défiance et de réticence (jusquà il y a quelques mois, jétais 100 % hétéro), je me suis laissé entraîner et je suis tombé dans une volupté de luxure incroyable. Cest dix ou quinze fois par semaine que je baise avec Corinne, Marc ou Guillaume. Je découvre le bonheur davoir ma femme à la maison, de faire souvent lamour avec elle (elle a un tempérament bouillant et je dois dire que je ne suis pas prêt de men lasser), mais, comme si ça ne suffisait pas, je fréquente en plus Marc et Guillaume. À chaque fois que je vais prétendument faire de la musculation, cest avec eux que je suis et jexpérimente toutes les variations possibles à trois mecs. On fait presque de la recherche sexuelle et on découvre régulièrement de nouvelles pistes. Marc lactif énergique, Guillaume le passif plein de douceur, et moi le bisexuel indécis (depuis le temps que je baise avec eux, il faut bien que je me résigne à admettre que je ne suis pas un hétérosexuel pur).
Voici quelques exemples de ma vie quotidienne, juste après le travail et avant de rentrer à la maison :
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Je suis allongé sur la table de la cuisine (heureusement quelle est solide). Jai limpression que je suis le centre du monde : le plat principal, cest moi, et je me fais déguster.
Comme les autres fois, à coup de caresses, de baisers, de branlette et de doigtage, ils sy sont mis à deux pour mexciter, me faire bander et soupirer, et, comme à chaque fois, ça a marché : jai tout accepté en gémissant et en les encourageant, mais cest Marc qui a finalement donné le tempo, qui ma tout dun coup pris par la taille pour me monter, puis mallonger sur la table et me sodomiser en mettant mes jambes sur ses épaules.
Maintenant il mencule en commentant la scène, en exigeant que je réponde et que jen redemande, que je raconte le plaisir de me faire limer par une bite bien raide. Je le fais parce que ça mexcite aussi, et ça lui plait tellement quil se met à me bourrer en mode « marteau piqueur » pour me faire jouir comme une chienne. Je gueule comme un malade mais je ne réussis pas à éjaculer tout de suite car Guillaume ma sucé il y a une demi-heure et jai éjaculé dans sa bouche (dans sa gorge plutôt). Du coup, Marc se lâche comme un dingue en espérant que jarriverai à lorgasme pendant que Guillaume me caresse le buste dune main, la queue de lautre, et membrasse avec sensualité.
Cest finalement Marc qui craque le premier, nous laissant tous les deux sur notre faim, avec une bonne trique. Après sêtre bloqué au fond de mon cul en éjaculant, en gueulant et en me traitant de salope (cest incroyable comme jaime entendre ça : bizarre, non ?), il seffondre, anéanti.
La surprise du jour, cest Guillaume : pour la première fois, le passif se sent tonique. Mon côté « femelle » qui se fait tringler sous ses yeux en criant à chaque coup de reins lui a donné des idées, et le voilà qui se décide à enfiler un préservatif et à prendre la place de Marc. Quelques secondes plus tard, ils ont changé de place et cest Guillaume qui découvre les joies de la sodomie active.
Moi, jai limpression dêtre la victime consentante et ravie dune tournante. Le premier mâle sest lâché en moi, alors on en reprend un autre plus frais et on recommence. Guillaume passe à un mode plus doux et plus sensuel, mais du coup il arrive à trouver un rythme assez génial : il observe avec attention ce qui mexcite le plus, et il finit par trouver mon point faible, la bonne profondeur et la bonne vitesse, et moi je remonte vers le septième ciel et lencourage en bonne salope qui se fait bourrer pour la deuxième fois.
Marc, furieux davoir éjaculé le premier et de ne pas avoir réussi à memmener à lorgasme, se venge : il revient à lattaque, me serre la queue dans sa main avec vigueur (le sadique, il sait que jadore ça !) et me branle en essayant de reprendre le contrôle des opérations.
Les ordures : faire jouir un mec comme ça, ça devrait être interdit. Comment voulez-vous que jaie encore mon libre arbitre ? Je nai plus de volonté, cest mon sexe qui décide à ma place. Je gueule, je supplie, je me trémousse et finalement jéjacule presque en même temps que Guillaume alors que Marc nous encourage en déversant des obscénités que je reçois avec une délectation intense
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Aujourdhui cest Guillaume qui se fait prendre par tous les bouts : nous sommes tous les trois dans le lit, il est à quatre pattes en train de se faire sodomiser par Marc tout en me suçant.
Le rythme est doux, lent, sensuel de tous côtés. Heureusement dailleurs, car si Marc donnait toute sa puissance, jamais Guillaume ne réussirait à me sucer comme il le fait en ce moment. Parfois je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir incroyable que me procurent ses lèvres, sa langue et même sa gorge quand il mavale profondément. Une fellation comme ça, on en redemande, au bord de lévanouissement.
Quand jouvre les yeux et que je vois Marc en face de moi, tenant Guillaume par les hanches et le sodomisant avec une régularité de métronome, cest super excitant aussi. Nous avons notre salope à notre disposition, notre bête de sexe qui nous procure à lun et à lautre tout le plaisir que nous voulons.
Entre les gémissements étouffés de Guillaume qui se prend une bite dans le cul, les soupirs que je pousse en mabandonnant aux plaisirs dune bonne pipe, les grognement de Marc qui se délecte de sa proie et la besogne comme un bon salaud qui ramone
Notre excitation ne cesse de monter, de monter toujours plus fort.
Encore une surprise aujourdhui : Marc craque le premier, mais ce qui est étonnant cest quil arrive à ce résultat en limant Guillaume avec lenteur et douceur. Il semble lui-même surpris et se lâche dans un long feulement que je ne lui reconnais pas.
Du coup ça me donne lidée de changer de rôle. Je me souviens du jour où je me suis fait enculer sur la table par Marc et Guillaume à la suite. Eh, bien maintenant mon heure est venue. Je sors ma queue de la bouche de Guillaume, me dépêche denfiler un préservatif et prends la place de Marc. Oui, cette fois, cest moi qui décide de sodomiser notre petite bête de sexe consentante.
Guillaume se prend un nouveau braquemard dans le cul et cette fois, cest moi qui me sens des ailes : autant Marc a été doux et lent, autant je suis brutal et rapide. Le résultat ne se fait pas attendre : cris, gémissement, supplications. Le marteau piqueur, cest moi. Je défonce ce petit cul de femelle soumise qui jouit de se faire prendre encore et encore
Oh, que cest bon, que cest bon ! Je deviens presque dingue tellement ça mexcite : nos cris montent en puissance, je commente la scène, je le traite de salope, de femelle, de je ne sais quoi encore et je perds les pédales, tout en lui maintenant les hanches avec vigueur.
Il est devenu ma chose, je le veux pour moi et rien que pour moi, je lui caresse et lui griffe les fesses, je veux le voir remuer du croupion, cambrer le dos et relever son cul, je me surprends même à lui mettre des claques sur les fesses en approchant de lorgasme : putain, ça à lair de lui plaire, du coup je recommence. Mais cest vrai quil a lair daimer ça ! Non, cest pas possible, nous sommes devenus dingues ! En tout cas, je découvre le plaisir de le sodomiser en lui mettant une fessée ! Jadore et visiblement lui aussi.
Cest trop bon, on finit comme des furies. On se lâche tous les deux et on explose dans un orgasme quasi simultané. Je ne me souviens plus qui éjacule le premier, mais une chose est sûre : on revient du monde des cinglés ...
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Je suis agenouillé à leurs pieds. Jai leurs deux bites face à moi et je vais leur vider les couilles. Aujourdhui jai décidé quils ne toucheraient pas à mon cul, je vais les neutraliser, les anéantir, les faire exploser, supplier, gémir, gueuler, soupirer.
Aujourdhui je veux être la salope absolue. Je vais leur bouffer la queue et ils nauront aucun moyen de me résister. Jai du souffle et de la motivation. Bande de chiens, vous ne savez pas encore de quoi je suis capable. Je suis la chienne dont vous avez toujours rêvé, celle qui a faim de votre sexe, qui se jette dessus avec gourmandise et qui ne le lâchera que quand vous vous serez vidés de votre dernière goutte de sperme.
Je me sens comme illuminé par la grâce. Cest dautant plus surprenant quil y a six mois, jaurais été totalement écuré par ce genre de situation. La vie nous réserve de drôles de surprises, quand même !
Marc et Guillaume ont probablement senti que quelque chose de spécial se passait, car ils ne bougent ni lun ni lautre et me laissent faire. Je vais les soumettre totalement, je vais leur infliger un supplice de sadique. Je vais les faire jouir en y allant très doucement. La « petite mort », elle va arriver à feu doux, très doux.
Pour linstant ils bandochent vaguement lun et lautre, rien de bien spectaculaire. Je monte mes mains le long de leurs cuisses, je passe à lintérieur, devant, sur les côtés, puis derrière, sur leurs fesses, et je reviens devant. Je joue ainsi pendant plusieurs minutes en les caressant, les effleurant, leur prodiguant de temps en temps un baiser furtif, je moccupe de leurs couilles par instants et je repars aussitôt. Le supplice de Tantale : ils croient que je vais prendre leur queue dans ma main ou dans ma bouche mais je nen fais rien. Je veux les faire bander sans toucher leur sexe, rien quen tournant autour.
Je suis émerveillé et fier de moi mais presque déçu quand finalement leurs queues se dressent fièrement devant moi : jaurais volontiers prolongé le supplice un peu plus. Mais voilà, ces deux tiges de chairs mexcitent terriblement. Je suis moi-même en train de bander rien quen contemplant le spectacle qui soffre à moi : la queue virile, longue et épaisse de Marc, et celle plus modeste mais pleine de grâce et rasée de près de Guillaume. Je me décide enfin à les masturber en même temps, avec une lenteur calculée et maîtrisée.
Branler une queue, ce nest pas ment très compliqué, mais quand il y en a deux, cest beaucoup plus délicat : il faut parfois aller à des rythmes différents, il faut écouter les soupirs, les gémissements, les commentaires de leurs propriétaires. Il faut savoir si ça leur fait de leffet, si il faut accélérer ou ralentir, décalotter ou pas, etc
Oh, non dun chien, je trouve ça génial. Je suis ultra motivé et jai comme un sixième sens qui se met en marche. Jarrive à les masturber avec une efficacité impressionnante, car ils sont déjà en train de pousser des gémissements et des grognements. Je décalotte un tout petit peu ou au contraire complètement, je serre la queue comme un manche de marteau ou je leffleure comme un pétale de rose, je monte et je descends avec une extrême lenteur ou au contraire avec énergie et vivacité.
En un mot, je varie dans tous les domaines avec un objectif double : les exciter toujours plus, mais ne pas les faire jouir trop vite. En fait cest super simple le plaisir : dès linstant quon a trouvé un truc qui marche et tant quon ne précipite pas trop, on gagne à tous les coups : hommes, femmes, ils finissent tous comme des salopes gémissantes à supplier pour quon les achève, et quand ils ont atteint lorgasme, ils sont prêts à se damner pour pouvoir recommencer (après un temps de récupération, quand même !). Cest vrai que cest un truc de domination, mais entre le dominant et le dominé, on a parfois du mal à différencier les rôles
Bon, cest pas tout, ça : je vais passer à létape trois et commencer à les sucer. Cest un cap particulier, et rares sont ceux qui conservent leur capacités de décision à partir de là. Ils sont prisonniers de leur plaisir et on en fait vraiment ce quon veut : il ny a plus aucune résistance et ça suit tranquillement la pente naturelle.
Le problème quand on veut sucer deux queues, cest quon na quune seule bouche, alors il faut partager. Je ne me sens pas prêt à me mettre deux bites dans la bouche en même temps comme on le voit parfois dans des films pornos. Cest peut-être spectaculaire, mais je ne crois pas trop à lefficacité dun truc comme ça. Non, pour bien sucer, cest déjà pas évident avec une seule queue, alors il faut sen tenir là.
Je commence par en prendre une dans chaque main, à les approcher toutes les deux de ma bouche, et je passe de lune à lautre en faisant des petits « guili-guili » avec ma langue sur le sillon et sur le frein, des baisers mouillés avec mes lèvres sur le gland, des pénétrations peu profondes dans ma bouche. Je monte ainsi la pression par petites touches, et je peux donc me partager pour le plus grand bonheur de mes victimes.
Je les entends soupirer et même gémir, mencourager par des « Mmmm
», des « Ohhh
», des « Ahh
», des « Oui
» et des « Encore
». De vrais petits toutous au garde à vous, soumis à toutes mes audaces, à toutes mes fantaisies, et qui en redemandent ! Je ne marrête jamais tout à fait de les branler. Je suce le gland tout en branlant la tige et ça donne un bon résultat.
Bon, daccord, lidéal serait davoir deux bouches et quatre mains, mais un peu de frustration, cest pas mal non plus. Je les tiens en haleine ainsi pendant plusieurs minutes, passant de lun à lautre en allant à chaque fois un peu plus profondément et en y restant plus longtemps, mais sans faire baisser la pression de lautre côté. Cest ça le plus dur : monter dun étage à chaque fois pour les emmener au septième ciel, mais ne jamais redescendre. Plus facile à dire quà faire, car on sapproche maintenant de lexcitation maximum, celle qui va transformer les toutous gémissants en bêtes furieuses. Je men rends compte par le langage qui devient de plus en plus cru. On est passé à des « Salope, vas-y, continue, suce moi encore
», « Oui, cest ça, plus profond, je vais te faire bouffer ma queue
», « Encore, oui, comme ça, je vais te baiser la bouche
», «Putain, salope, ten as jamais assez, hein ! ».
Le problème, cest quil va falloir que je les achève lun après lautre et il y aura fatalement un temps de frustration dans la file dattente. Je vais me concentrer sur la queue de Marc dabord, et je vais faire patienter Guillaume : je vais le maintenir sur le gril en le branlant dune seule main.
Ça na lair de rien mais il faut une sacrée attention et une très bonne coordination. Jai limpression aujourdhui de passer mon diplôme de « bonne bouche suceuse », et cest vraiment génial, car le résultat est super stimulant : entre les grognements de lun et les gémissements de lautre, je me sens valorisé et ça mexcite. Personne ne stimule ma queue mais jai limpression quelle va éclater tellement je bande.
Bon, cest pas tout, ça, le jeu a assez duré, il faut conclure : je me décide à sucer Marc à fond, je lenfonce aussi loin que possible et jentame le va-et-vient de la dernière ligne droite tout en lui consacrant une main baladeuse. Je lui branle la tige, lui griffe les couilles, passe ma main entre ses jambes et glisse dans sa raie. Aujourdhui cest moi qui vais le pénétrer avec mon doigt. Dans létat où il est, il ne pourra pas résister.
Gagné ! Je commence à le doigter et jai visiblement trouvé le bon tempo car le voilà qui souvre et qui sabandonne. Oh, que cest bon ! La grande brute dominatrice qui se soumet parce je javale sa queue et que je lui enfonce mon doigt dans le cul. Jaime ces renversements de situation, alors jen profite à fond. Il perd visiblement les pédales, il sapproche de lorgasme, je vais lavoir pour de bon.
Je fais un mouvement de va-et-vient diabolique dans son cul, mais maintenant je perds un peu la maîtrise du rythme, car cest lui qui est en train de me baiser la bouche comme un forcené. Pas mal, pas mal ! Dans la furie de lorgasme qui arrive, cest même assez génial, en fait ! Et puis, je peux aussi moccuper de la queue de Guillaume avec mon autre main sans trop penser au rythme de la fellation. Cest vrai, quoi, mon cerveau nest pas un ordinateur : deux rythmes différents, cest super difficile, mais trois (une bouche et deux mains), cest impossible !
Bon, ça dure un peu, mais on ne va pas séterniser, je le sens, je lentends : « Oui, salope, cest ça
Tiens, prends ça, tu vas voir ce que je vais te mettre, putain, oui, cest bon, ça vient
». Effectivement, encore quelques secondes de ce traitement et tout à coup cest le moment de léjaculation.
Marc pousse un long cri, se vide de son air en haut et de tout son foutre dans ma bouche. Le salaud, il a une sacrée réserve pour une type qui éjacule aussi souvent (il a quand même deux culs à baiser : celui de Guillaume tous les jours, le mien trois fois par semaine
). Javale ce sperme proprement, sans en laisser tomber une goutte. Ça mépate encore plus que les dialogues cochons : dans lexcitation du moment, ce qui pourrait passer pour franchement dégueu devient tout à coup super agréable et motivant. Je finis davaler la dernière goutte avant dabandonner ma première victime pour me concentrer sur la suivante.
Pour Guillaume, ça va être plus facile : je nai plus que lui à faire juter, et sa queue est moins impressionnante, donc je vais lavaler encore plus profondément. Je moccupe de son cas avec détermination et application : je lui pétris les fesses tout en me concentrant sur sa queue à laquelle japplique un mouvement de va-et-vient super profond.
Oh, là, cest tout bon, je vais lavoir mon diplôme, car je lenfourne presque jusquà la garde, et jen arrive même à titiller ma gorge avec son gland sans m et sans avoir de réflexe vomitif. Toi, mon gars, tu vas y passer aussi et ça va te faire un souvenir
Je reste très actif avec mes deux mains et ma bouche, je ne lui laisse aucun répit. Je ralentis ou jaccélère avec un seul objectif : lachever. Pour Guillaume, cest apparemment aujourdhui le contraire que pour Marc. Daprès les cris et les gémissements que jentends, jai trouvé un truc pire que tout : il est dans le pays des fous, là où seul le plaisir règne en maître, il a perdu toute contenance, toute bienséance et toute honte. Il réclame encore et encore que je mette fin à son supplice et jai trouvé son talon dAchille : je passe ma langue en haut de sa tige, le long du frein et jusquau sillon du gland, je vais et je viens en excitant précisément cette zone, mais en ralentissant toujours un peu plus au lieu daccélérer. Du coup je peux jouer tranquillement avec mes mains, je lui caresse les couilles et lui doigte le cul.
Il devient fou, il crie, il gueule même (jespère que lappartement est bien insonorisé, sinon les voisins vont finir par porter plainte !). Quand enfin il se lâche dans ma bouche en plusieurs jets de foutre qui semblent incroyablement espacés (cest pas possible, ça ! Cest pas un orgasme masculin « normal » ! »), jai limpression quon revient de loin, de très loin
Je suis émerveillé par mon propre talent : en toute modestie, je crois que je suis une super salope de suceuse, cest le seul qualificatif que je trouve à cet instant.
Je nai pas beaucoup le temps de méditer sur mes compétences car le réel reprend le dessus. Vexé davoir perdu le contrôle des opérations, et maintenant quil ne peut plus me sodomiser puisque je lai vidé de toute capacité de bandaison pour un bon moment, Marc me redresse, mamène vers le lit et my installe sur le dos. Puisque sa queue ne peut plus rien faire de bien avant un bon moment, il utilise sa bouche pour me rendre la pareille et me sucer à son tour. Rien de bien original, sauf quil est très vite rejoint par Guillaume et alors tout change. Ma bouche pour se régaler de leurs deux queues, cétait un moment inoubliable, mais leurs deux bouches sur ma queue, je sens que ça va pas être mal non plus, surtout dans létat dans lequel je me trouve.
Mon excitation a été purement psychologique jusquà maintenant, mais le résultat est là : ma queue est raide comme un bout de bois et hyper sensible. Inutile de dire que quand ces deux-là commencent à y mettre leurs deux bouches et leurs quatre mains, je perds presque instantanément le contrôle de la situation. Leur ardeur est à la mesure de ce que je leur ai fait subir, et je ne suis pas déçu. En fait, quand on fait jouir quelquun, cest un bon investissement, car le jour où il vous renvoie lascenseur, attention ! Cest ce que sont en train de faire ces deux pervers. Ils mettent leur vengeance à exécution.
Je ne tarde pas à me retrouver complètement dominé, avec des sensations incroyables : quel homme pourrait résister à quatre lèvres et deux langues qui sacharnent sur sa queue, pendant que quatre mains soccupent de ses couilles ou de son cul ? Les sensations sont incroyables, diaboliques, extraordinaires et jen passe. Il y un moment où les mots nont plus de sens. Je me tortille de tous côtés, je gémis encore et encore, je supplie et je gueule, je jouis sans interruption pendant une éternité, jusquà la délivrance finale. Je finis par éjaculer sur leurs visages en hurlant presque (un coup à se ramasser une plainte pour tapage diurne). Ouf ! En tout cas, aujourdhui et pour ce qui me concerne, je trouve que le sexe est plus affaire de bataille et de domination que de calme et de sentiments.
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Tiens, aujourdhui, on rejoue la même scène mais les personnages ont changé et je découvre un rôle intéressant. Cest Marc, le dominateur viril et actif qui se retrouve allongé, livré à nos deux bouches voraces. Il soupire, halète, gémit comme une pucelle qui narrive plus à se contenir. Cest magique darriver à un tel résultat, et je découvre la satisfaction de transformer le comportement et la psychologie de quelquun rien quen le suçant ! En plus, cest un travail déquipe, cest moins fatigant, moins compliqué et tout aussi valorisant. Les idées viennent delles-mêmes, et quand je manque dinspiration, cest Guillaume qui a une initiative heureuse.
De fil en aiguille, on se dispute et on se partage sa queue. On fête un événement : Marc sest rasé le sexe et son service trois pièces est encore plus appétissant. On se jette dessus comme des sangsues affamées. Bien quil ne soit pas né de la dernière pluie, il est lui-même surpris de ce quon arrive à lui faire ressentir. Des caresses osées de ses fesses et de lintérieur des cuisses, un bon doigtage du cul impudique, une savante branlette de la base de la queue, les couilles gobées par lun et le gland avalé par lautre : ça sappelle la totale, car nous réussissons à lui faire tout en même temps !
Sans nous concerter, Guillaume et moi avons implicitement décidé de le soumettre complètement pour nous venger à notre manière de cette domination quil exerce sur nous. Aujourdhui, pas de pitié, cest lui qui va nous supplier. Dailleurs, il a commencé :
- Oh, oui, bande de salopes, cest bon, continuez, jadore
Oh, non,
Cest trop bon, encore
Oui, bouffe-moi les couilles, cest ça
- Mmmm
Mmmm
» (faut pas oublier que nos bouches sont pleines, alors pour les commentaires, cest limité).
- Ahhh ! Quest-ce-que tu fais ? Oui, oui, salope, mets-moi ton doigt dans le cul, cest bon
- Mmmm
- Oui, cest ça
Oh, cest super, ta langue sur mon gland, oui, comme ça
Et toi, espèce de cochon, cest génial, oui, continue à me fouiller le cul, jadore
Ça dure ainsi pendant plusieurs minutes. Marc sabandonne totalement et nous savons quil ne va pas tarder à gicler. Mais tout à coup il me vient une idée. Marc, le costaud viril et entreprenant, le roi de la sodomie active
Cest le moment où jamais ! ? Je me dis que je nai rien à perdre.
Je connais maintenant les lieux et je ne tarde pas à trouver un préservatif que je menfile, un tube de lubrifiant que jouvre. Je me dépêche. À lidée que je vais peut-être sodomiser le grand mâle actif et musclé,je suis aussi excité et fébrile quun puceau.
Apparemment, Guillaume a compris ce qui me passait par la tête et il redouble dardeur à sucer, branler et doigter Marc. Cest même lui qui me prend un peu de gel et létale au bon endroit. Du coup, Marc se réveille et ouvre les yeux. Il commence seulement à réaliser ce qui lattend.
- Bande de salopes, quest-ce-que vous mijotez ?
Pas de réponse, je me contente de minstaller entre ses jambes que jécarte. Il est à plat dos, je le prends sous les genoux pendant que Guillaume guide ma queue pour la positionner sur sa rondelle. Tout ça ne prend que quelques secondes. Jai envie de me dépêcher pour profiter de son excitation tant quil est prêt à tout subir, pas sûr que ça dure éternellement
Oui, ça y est, cest tout bon, je suis en position, javance mon bassin lentement mais surement, je sens son cul un peu serré qui me laisse passer, oui, cest ça
Et puis je franchis son sphincter et je lenfile enfin avec délectation.
- Ah ! Putain, dis-donc lhétéro ! Cest toi qui mencules, maintenant ?
- Oh, oui, mon vieux, cest moi qui te nique, tu vas te faire limer comme une vraie femelle et tu vas aimer ça, tu vas voir
- Bande de salopes, vous mavez bien eu, hein ? Je vous revaudrai ça
- En attendant, laisse-toi faire, tu vas voir comme cest bon
Je parle, je parle, mais jagis aussi. Bien tenu sous les genoux, jarrive à le sodomiser dans les règles de lart. Jy vais calmement, sans précipitation. Une bonne pénétration, cest génial quand ça commence en douceur, on se concentre sur la volupté du va-et-vient, sur ce glissement impudique et voluptueux, sur ce frottement des muqueuses et son cortège de sensations. Ça peut paraître primaire (et ça lest effectivement), mais quest-ce que cest bon de limer un cul comme ça !
Baiser une nana fragile comme une gazelle, cest divin, mais sodomiser un colosse comme Marc pour le faire gémir comme une salope, cest vraiment pas mal non plus ! Je me régale du spectacle visuel et sonore, et cest pour ça que je ne suis pas si pressé
- Alors, ça te plait, la sodomie passive ?
- Oui, salopard, tu peux y aller, mais je taurai la prochaine fois, tu verras
- Peut-être, mais pour linstant, cest moi qui te lime le cul, mon joli
- Ahh ! Bande de salauds, vous savez y faire, hein ?
En fait, il ny a pas que moi qui suis actif, car Guillaume continue de sucer Marc, et pour ce dernier le cocktail est explosif : gémissements de plus en plus appuyés, invectives et cris au fur et à mesure quil se fait bourrer et sucer. Moi, jai de plus en plus de mal à me contenir, jai envie de le tringler furieusement, alors jaugmente la cadence. Du coup, ça secoue tellement que Guillaume est en train dabandonner la partie avec sa bouche, mais il revient à la charge en branlant Marc, en lembrassant, en le caressant et en la taquinant.
- Alors, ma grosse brute, tu apprécies ? Te voilà soumis et conquis, on dirait !
- Ouais, ouais
Jaime, continuez, cest bon, oui, encore, oui
- Et toi, lhétéro, tu ten tapes souvent, des femelles soumises comme ça ?
Moi, je ne réponds plus, je suis hors-jeu pour la discussion. Je nique, je lime, je bourre, je baise, jencule, je tringle, je sodomise, jenfile et cest déjà assez prenant comme ça. De toute façon, je nen ai plus pour longtemps : je jette mes dernières forces dans la bataille, japproche de lorgasme. Guillaume sen est rendu compte et essaie de « finir » Marc en le masturbant à toute vitesse.
Les dernières secondes sont bestiales et furieuses et Marc se fait bourrer comme une chienne pendant que Guillaume le branle comme sil trayait le pis dune vache en accéléré. Encore un truc de folie ! Nous finissons par éjaculer tous les deux dans un ordre indéterminé en gueulant comme des tarés. En tout cas, aujourdhui, ce nétait pas « calme et volupté », mais plutôt « frénésie et barbarie »
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Je marche dans la rue, de retour vers mon « chez moi ». Jai à chaque fois un moment de flottement et de malaise. Jaime Corinne, je suis bien avec elle, je la désire comme un fou et jadore lui faire lamour. Jai envie de faire ma vie avec elle et pourtant je suis capable de lui faire des infidélités de ce genre. Comment est-ce possible ? Comment peut-on mentir à ce point à celle quon aime ? Je nai même pas dexcuse. Cest vrai que Marc et Guillaume mont un peu « la main » au début, mais maintenant, on voit bien que jaime la queue et que jen redemande, non ? Il faudra quand même bien que je me décide à adopter un jour un rythme de vie normal. Bon, allez, jarrive, faut que je pense à Corinne. Pourvu quelle ne me saute pas dessus dès mon arrivée pour faire lamour comme une enragée (elle en est capable !), parce quavec ce que je viens de faire chez Marc et Guillaume, je suis vidé (au propre comme au figuré) !
Mes craintes sévanouissent aussitôt que je rentre dans lappartement. Corinne est assise dans le salon, en train de regarder la télé, et je maperçois tout de suite quelle tire une gueule pas possible. Je vais pour lui faire un petit bisou, mais elle se défile et me regarde avec un air dur que je ne lui connais pas. Que se passe-t-il ?
- Où étais-tu ?
- Mais, à la musculation, comme dhabitude.
- Et alors, cétait bien ?
Je ne suis pas rassuré. Il y a quelque chose qui ne va pas aujourdhui.
- Ben
Oui, enfin, comme dhabitude, pourquoi ?
- Réponds-moi : il ny a rien eu de spécial, aujourdhui ?
Je le sens de moins en moins, ce truc.
- Ben, non, mais
Pourquoi ? Quest-ce quil y a ?
- Il y a que jen reviens, de la salle de musculation, que tu ny étais pas, que tu ny a pas mis les pieds aujourdhui et que ça fait des semaines quon ne ty voit pratiquement pas. Et Marc non plus, dailleurs. Parce que jai bien compris depuis le premier jour que vos histoires de musculation, ça cachait quelque chose. Je me souviens encore de ta façon de bredouiller des trucs confus pour te justifier. Maintenant tu mexplique, et vite, parce que je crois que si tu continues à te foutre de ma gueule, ça va pas le faire !
Je reste silencieux. Cest fou comme le réel peut se rappeler à nous avec brutalité. Je suis tellement mal à cet instant que jaimerais disparaître de la surface du globe. Jai honte, je me sens minable, jai peur de perdre Corinne et dailleurs jai déjà limpression de lavoir perdue car elle a un ton si dur et si agressif que je ne la reconnais plus. Je pense quà cet instant elle me déteste et je ne peux que lui donner raison. Je suis une ordure. Et un con. Comment peut-on simaginer mentir à une femme ? Les nanas, cest une race supérieure. Elles voient tout et comprennent tout avant les mecs. Nous, on est à la traîne, tout juste capables de penser avec notre queue, et encore
Cest désespérant.
- Écoute, Nicolas : je nai plus confiance en toi, alors fait attention : si tu ne me dis pas tout de suite la vérité, je crois que ça va plus être possible entre nous. Je suis prête à tout entendre, mais ne me prends pas pour une conne !
Comme je ne réponds pas et que je prends un air ahuri, elle éclate en sanglots. Moi, je ne sais plus quoi faire ni quoi dire. La lune de miel, le petit nuage, cest bien fini. Je retombe sur terre. Je mapproche delle, jessaie de lui caresser doucement les cheveux pour lui manifester ma tendresse mais elle me repousse avec véhémence, me regarde droit dans les yeux avec un air à la fois méchant et déterminé.
- Dis-moi la vérité ou cest fini entre nous !
Il y a des moments où il faut se résigner à faire des choix. Je suis au pied du mur. Je réfléchis comment présenter les choses, comment lui raconter mon histoire, mais ma décision est prise : je vais tout lui dire, quelles quen soient les conséquences.
Longuement, calmement, lentement, en choisissant mes mots et sans trop lui exposer les détails trop crus mais en restant aussi sincère que possible, je lui raconte tout : comment je suis tombé par hasard et par surprise dans des aventures homosexuelles, comment jai décidé de tout arrêter quand je lai rencontrée, comment Marc ma la main en menaçant de tout révéler, comment je me suis trouvé coincé dans cette relation, comment jy suis resté ...
Elle mécoute, elle ne pleure plus, elle semble sintéresser à mon histoire. Elle a perdu en partie son air méchant et haineux, mais reste visiblement sur ses gardes.
- Je demande à voir.
- Comment ça ?
- Je ne suis pas sure que tu me dises toute la vérité. Je veux vérifier.
- Mais quest-ce-que tu veux vérifier ?
- On va aller chez Marc et Guillaume et tu vas me montrer comment tu te fais baiser.
- Mais
Mais enfin !?
- De toute façon, cest à prendre ou à laisser. Je ne te promets pas que ça suffira pour que je te pardonne, mais tu me dois bien ça. Préviens-les. Le plus tôt sera le mieux. Demain soir, par exemple. Je ne te demande pas ton avis parce que de toute façon tu nas pas le choix.
Cest ça le sexe faible ? Quand je pen
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