Jeanne

J’ai connu Jeanne dans la rue, elle marchait devant moi dans sa robe en cuir rouge assez courte, à mi jambes. Ses talons trop hauts la déhanchaient. Elle part tous les jours à son travail de vendeuse de fringues dans une grande boutique. Je sais où elle travaille : j’ai accompagné ma femme Dom un après midi. Après un long essayage, très long essayage, ma femme est sortie un peu rouge, les cheveux en désordre. Je connais bien ma femme : elle a eu une aventure avec une fille.
Dom fait la sourde oreille quand je lui demande ce qui c’est passé. Le soir enfin quand je lui fais les mamours qu’elle adore, elle se raconte.
Ma femme est dans la salle d’essayage quand Jeanne vient lui faire des petites retouches. Elle lui fait enlever la robe. Ma femme ne porte qu’un vague string. Il s’agit de recoudre une partie de la fermeture éclair du dos. Dom reste presque nue devant Jeanne. Tout se passe bien jusqu’au moment ou Dom remarque la beauté de Jeanne. Dom essaie de trouver un moyen de toucher un peu les seins de Jeanne. Elle se lève vient presque contre la vendeuse. Elles se regardent en face, sans baisser les yeux. Pour Dom, la partie est gagnée c’est plus que les seins. Elle l’embrasse comme si l’affaire était conclue. Jeanne résiste un moment. Dom insiste, elle veut cette fille.
Comme la chèvre de monsieur Seguin elle cède faute d’arguments. Elle accepte la bouche sur la sienne, elle accepte de petits touchers de son corps. Le dernier la fait songer : la main de ma femme est sur sa chatte, sur la robe en cuir rouge. Dom fait monter le dos de la robe, pour arriver à toucher des fesses musclées. Elles sont encore protégées par une petite culotte. Ma femme passe un doigt fureteur sous la culotte. La pauvre Jeanne ne sait que faire. Mon épouse lancée dans une telle quête est têtue. Pour attendrir Jeanne, Dom passe sa bouche sur le cou, remonte sur le visage, sur les joues encore sur la bouche. Enfin Jeanne veut bien que les langues se rencontrent.

Dom entre sa langue dans la bouche, caresse l’autre langue. Elle fond complètement quand le doigt de Dom arrive devant son petit trou.
Ma femme aime caresser le cul des autres femmes. Elle préfère les faire jouir avec sa langue sur un cul ouvert. Dom prend une main de Jeanne, la fait passer sur son string. La main ne reste pas, sauf quand elle la met sous le string à l’arrière en lui donnant son petit trou à caresser. A choisir Jeanne caresse doucement ce nouveau cul. Elle est obligée d’en mettre un doigt entier dans le scrotum. Dom s’agite autour du doigt. Jeanne comprend qu’elle donne du plaisir : elle aime se faire sodomiser par son mec. Pour une fois qu’elle fait ça à une autre où est le mal.
Jeanne accepte finalement que les doigts de ma femme s’occupent aussi de son anus. Elle écarte les cuisses, laisse la main passer. Dom aime ce genre de fille. Elle masturbe doucement l’anus, elle y entre son doigt. Elle arrive à son but ; la prise de possession de ce fortin des fois longtemps inexpugnable. Jeanne se laisse complètement aller. Elle jouit et demande encore, sans ce soucier de l’endroit où elles se donnent du plaisir. Dom continue sa possession, masturbe un bon moment ce cul mignon. Dom veut elle aussi être masturbé surtout par une femme. C’est ce que lui fait Jeanne. Enfin le cul plein de souvenirs de spasme, Dom sort du magasin satisfaite d’avoir sa nouvelle robe et d’avoir dépucelé un jeune cul.
Elle ne m’en parle qu’au lit, le soir quand je veux lui faire l’amour. Nous commençons toujours pas un 69 : elle sur moi, ma bite dans sa bouche, moi dessous, ma tête entre ses cuisses, la bouche sur son con aromatisé à je ne sais quoi. Si elle se garde bien de me faire jouir, elle s’en se gêne pas du tout : orgasmes sur orgasme avant de demander grâce. Elle me donne sa chatte pour que j’entre mon mandrin. Je la lime un petit moment avant qu’elle ait un autre orgasme plus rapide que les premiers. Elle se met en levrette, tend ses fesses. Je passe dans sa raie. Elle me dirige vers son trou. Je force à peine pour entrer. Son anus est si commode, si agréable à utiliser. Le gland se sent à l’aise dans le rectum. Comme souvent elle passe sa main sur la chatte pour se branler. J’éjacule en elle. Je jouis, elle aussi pour la dernière fois.