Le Vendredi Soir, Je Me Fais Violer
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous allons à la campagne, javais dit à Bruno, mon ami officiel, que jétais débordée de travail et que je travaillais samedi toute la journée. Nous faisons la route, je suis habillée classique, jupe noir plissée ( Didier adore les jupes plissées et les jupes portefeuille : meilleure accessibilité) chemisier, bas, veste, manteau. Je me fais caresser pendant le trajet et jouis comme il se doit en bonne salope que je suis. Nous entrons dans le garage avec la voiture et descendons. Nous passons par un petit couloir qui longe les garages, Didier essaie dallumer la lumière sans succès, et dit « il faut que je remplace lampoule » je marche devant à la lueur de léclairage de la porte automatique du garage, ouvre la porte dune autre pièce qui nous permet de prendre lescalier, il fait noir, en appuyant sur un autre bouton la lumière ne vient pas, Didier « décidément » je marche à petits pas car je ne connais pas bien les lieux, Didier me dit « tout droit ma chérie, jai avancé dun mètre, je sens une grosse main venir sur mon épaule, une autre me pousser dans le dos, il y a plusieurs hommes. Je suis emmenée de force dans une direction que je ne connais pas, jai peur, jentends comme des coups assenés à Didier et « toi tu montes avec nous, tu vas nous montrer ce quil y a en haut ». Il fait noir, je suis emmenée dans une autre pièce, encadrée par deux hommes qui me tiennent par le bras en me portant à moitié. Ils me poussent dans une autre pièce, très peu éclairée, je tombe à terre. Je suis relevée et assise sur une chaise, je crie « laissez-nous, prenez tout ce que vous voulez, mais ne nous faites pas de mal. Ils mattachent les mains derrière le dos puis sur la chaise et ensuite me bâillonnent. Je suis en face de 2 hommes cagoulés. Lun deux me dit « tiens-toi tranquille, on soccupera de toi après si on ne trouve pas ce quon cherche ». Ils sortent et menferment dans cette pièce froide et très très peu éclairée.
Je peux entendre des bruits sourds au dessus, comme quelque chose qui tombe ou quelquun. Il y a beaucoup de bruits à létage. Je suis terrorisée. Je me demande ce quil se passe : des cambrioleurs que lon a dérangés. Jespère quils ne sen prennent pas à Didier ou quil ne résiste pas trop. Le temps me semble très long. Je les entends marcher, faire du bruit. Je perçois des pas qui se rapprochent de lendroit où je suis. La porte souvre dun coup, je sursaute. Ils entrent à trois dans la pièce et tournent autour de moi, celui qui parle depuis le début me dit « on attend les 2 autres pour savoir ce quon va faire de toi. On sest déjà occupé de ton mec » Jai peur, je me demande ce quils ont fait à Didier avec tous les bruits que jai pu entendre. Les 3 autres descendent et les rejoignent en disant à loreille de celui qui est devant moi et qui vient de me parler des mots à loreille que je ne peux percevoir. Ce dernier dit « là-haut ,on a tout vu, il ny a plus rien dintéressant » un autre lui parle de nouveau à voix basse lui disant « quest ce quon fait delle » Celui qui sadresse à moi « on la laisse ici », Ils parlent entre eux et reviennent vers moi. Le même dit « quest ce tu veux quon en fasse » un autre « on pourrait sindemniser pour le déplacement » ; lui reprenant « oui cest une bonne idée ». Ils tournèrent autour de moi en me regardant comme une proie. Lun deux sort un couteau, dont la lame jaillit automatiquement, il sapproche de moi, me passe la lame froide sur le cou, descend sur mon chemisier, me le remonte en faisant sauter les boutons un par un jusquen haut. Je suis terrifiée, jessaie de crier mais je suis bâillonnée. Celui qui parle depuis le début dit « tu as raison, ça aurait été dommage de ne pas en profiter » Je sais à ce moment que je vais y passer. Il passe ensuite son couteau entre ma peau et le devant de mon soutien gorge et le coupe. Jai les seins qui tombent « regardez cette paires de petits seins, jespère que ton mec sen occupe ».
Il coupe ensuite le lien qui me maintenait sur la chaise, me prend par le bras et me jette pour me mettre à plat ventre sur la petite table, jessaie de crier mais je suis bâillonnée , je me débats , ma jupe est levée, je sens des doigts qui me fouille des deux cotés, il retire ses doigt en disant « salope tu es bien ouverte, tas baisé comme une pute y a pas longtemps, des 2 cotés en plus » un autre lui répond « comme ça on va lui faire une totale cest encore mieux » il mécarte les fesses et les lèvres en disant « regardez les trous sont bien ouverts » il me crache sur le cul en me serrant et mécartant les fesses « en plus elle a le cul qui boit »il étale la salive avec ses doigts qui glissent dans mes trous. Jentends « elle est prête la salope elle va prendre » Je suis débâillonnée, une grosse bite se présente à lentrée de mon vagin et entre dun coup, je crie encore plus fort, il tape au fond de moi, je me fais pilonner, labourer par des sexes énormes à la chaine, jessaie de mettre mes mains attachées derrière pour limiter la pénétration, il me les saisit et me les maintient dans le dos. Je finis par avoir des orgasmes en me faisant violer, une première. Ils disent « regarde la salope elle aime ça, elle jouit » un autre « les putes comme ça cest des grosses bites bien dures quil leur faut » celui qui me parle depuis le début me prend par les cheveux en me disant « cest bon salope des grosses bites » je me prends une claque sur la figure car je ne réponds pas. Il me prend la mâchoire entre ses doigt et me dit « dit que cest bon les grosses bites »
je réponds « oui cest bon »
Un matelas est mis à même le sol, il me relève, jai les jambes tremblantes, mon chemisier pend arraché, mon soutien gorge aussi, je reçois des claques sur mes seins et mon cul, jai mal. Lun deux dit « tu nas encore rien vu, maintenant on va te défoncer »il me pousse et je tombe sur le matelas, un homme sallonge, me lève les jambes et me pénètre vaginalement, il me défonce sans aucun ménagement les autres disent « vas-y ,donnes lui à cette salope »il est allongé sur moi, il est de taille imposante.
Ensuite nous nous retournons, il me ceinture, je sens des doigts me fouiller le cul, je reçois plusieurs crachats, Je vais être défoncée en double par des bites énormes. Une se présente à lentrée de mon petit trou, à la surface du gland, je sais quelle est très large. Il entre, jai beau crier « non non », il pousse et entre complètement; ils me martèlent. Je me fais prendre de la sorte à la chaine, cela me parait une éternité, le pire est que je jouis. Je suis libérée de cette position, moitié nue sur le matelas, un homme sallonge, me retourne et me sodomise. Il massoit sur lui sa bite longue et large est complètement en moi. Il me maintient assise avec ses bras dans le dos. Les autres se présentent dans ma chatte et ma bouche en disant « on va te terminer » Ils me prennent par les cheveux et enfoncent leurs grosses bites de force dans ma bouche. Je me fais besogner de tous les cotés. Ils me libèrent, mettent à genoux, je suis en face 5 hommes qui se branlent pour marroser. Je reçois des giclées de spermes sur le visage et dans la bouche. Ils me détachent les mains et partent en disant « cest bon comme extra une pute ». Je suis complètement vidée, recouverte de sperme. Jessaie de retrouver mes esprits et assez dénergie pour monter et aller voir Didier, dont je ne sais dans quel état il est avec tout ce que jai entendu comme bruit. Je messuie la figure avec la manche de ma veste, jen ai partout. Je monte lescalier et voit de la lumière dans lentrée, la cuisine et le salon. Je regarde partout et jarrive dans le salon, stupéfaction. Didier est assis sur le canapé et train de lire le journal. Moi « tu nas rien mon chéri ? » Didier « non » Moi « mais ils ne tont rien fait » Didier « non, cétait un scénario pour te violer, je viens de recevoir un sms pour me dire que tu as jouis, jai même une bande sonore » Moi « mais pourquoi tu mas fait ça, jai eu très peur »
Didier « tu as jouis, je tai entendue en live, tu gueulais comme une chienne » . Moi « mais quand même jaurais pu être traumatisée, faire un malaise, tu aurais pu me prévenir » Didier « je savais que leffet de surprise et de peur passés, tu aurais du plaisir.
Te prévenir ça naurait eu aucun sens »
Moi « comment pouvais-tu connaitre mes réactions dans une situation pareille » Didier « jai pu tobserver lorsque nous allons en soirée et lorsque tu fais lamour avec plusieurs hommes alors que tu ne ty attendais pas »
En me douchant, je lui en veux mais quel pied. Le mélange de peur et dexcitation. Nous dinons ensuite, je suis en peignoir et je passe la nuit à faire lamour. Lorsque je me lève jai un peu mal partout surtout au cul, qui a pris des gabarits exceptionnels. Didier mavouera que cétait Sylvain, Harry, deux potes et Claude. Avec lui je ne mennuie jamais aussi bien dans la vie quau lit.
admin
Jan. 31, 2023
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