Reconstitution
Sans malaise, Erwann et Émilie entrèrent dans la chambre et vinrent sassoir sur le lit avec nous. Ils nous racontèrent leur réconciliation, les excuses, les regrets, et lacceptation que dans leur cerveau un peu dérangé, ils étaient attirés sexuellement lun par lautre. Sans pour autant vouloir absolument passer à lacte, mais le risque étant là, Erwann avait refusé la proposition de sinstaller avec nous. Je le regrettais un peu, mais il était clair que cétait plus sûr que le frère et la sur ne passent pas trop de temps ensemble sils ne voulaient pas se retrouver dans une position inconfortable.
Tu pourras linviter quand tu veux, ou même aller chez lui, me murmura Émilie à loreille, je suis parfaitement à laise avec lidée que du te tape mon frère. Un peu jalouse, mais tu es libre.
Je lembrassais. Erwann me sourit. Nina qui devait avoir compris ce qui se tramait vint vers moi.
Jaimerais bien me joindre à vous un jour, me dit-elle. Il faut que jexpérimente la baise avec des bi.
Javais donc un plan à trois bien sympathique à lhorizon, mais pour le moment il fallait mettre un peu dordre chez nous, shabiller, laver les draps, et préparer un repas dominical familial.
Après avoir déjeuné, le reste de la journée se passa tranquillement, comme un dimanche après-midi ordinaire, entre torpeur et ennui, dans lattente du soir et langoisse du lendemain, à discuter sur le canapé, à faire la sieste tristement. Erwann nous quitta pour aller travailler. Émilie et lui sembrassèrent sur le palier, heureux de sêtre retrouvé. Davoir mis les choses à plat.
Assis sur le canapé avec Nina nous les regardions en souriant. Émilie nous engueula en voyant notre mine réjouie, et se jeta sur nous en hurlant. Elle tomba dans les bras de Nina, et lembrassa.
Tu sais que cette petite est une vraie vicieuse. Sous ses airs de gentille fille sage, au lit cest une furie, hier soir elle ma offert une de mes plus belles baises de ma vie.
Nina rougissait, mais le petit sourire quelle arborait laissait deviner quelle était heureuse du compliment, et pour en remercier Émilie elle lui rendit son baiser avec encore plus de passion.
Elle exagère, dit Nina, jétais terrifié à lidée de faire lamour avec une femme. Je crois que jaurais pu mévanouir quand on sest embrassé et que jai senti ta langue sur la mienne.
Petite nature. Tévanouir, vraiment, ça na pas duré longtemps ton malaise, si je me souviens bien cest toi qui ma renversé sur le canapé et arraché ma culotte. Une vraie furie. Après que je lai embrasée une première fois elle était à poil, un doigt dans la chatte. Elle sest jetée sur moi, et ma bouffée la bouche comme si nous avions 15 ans.
Non, mais je ny crois pas, et toi alors tu ne mas pas sucé les tétons comme si ta vie en dépendait.
Elles riaient, Émilie assise à califourchon sur Nina.
Écoutez les filles ne vous battez pas, dis-je, le mieux cest que vous rejouiez la scène que je puise juger de celle qui est la plus vicieuse des deux.
OK, répondit Nina, on refait le match, si je me souviens bien on avait fermé les volets, tiré les rideaux, et allumé des bougies un peu partout.
Émilie se leva, ferma les volets, pendant que Nina allumait des bougies. Je minstallais dans un fauteuil, et regardais mes deux maitresses sactiver pour recréer le décor de leur soirée.
Javais ouvert une bouteille de vin, dit Émilie en allant vers la cuisine.
Nina se changea, elle quitta son teeshirt et son pantalon de jogging pour mettre une petite robe à fleurs toute jolie.
Toi tu avais une chemise et un jean moulant, dit-elle en prenant le verre que lui tendait Émilie.
Ça ira, en plus tu pourras déchirer ce teeshirt.
Elles trinquèrent. Je levais mon verre vers elles.
Je me suis approchée de toi, reprit Émilie, jai posé une main sur ta joue, tu as frissonné.
Tu mas dit que je pouvais changer davis, que tu ne ferrais rien que je ne voudrais pas, et je tai dit
Embrasse-moi, ce que jai fait.
Leurs lèvres se rejoignirent.
Normalement, si on doit refaire la scène, tu devrais glousser un peu, dit Émilie.
De surprise, et de peur, un peu, mais on nest pas obligée de tout refaire comme hier.
Là, tu mas regardé, et tu mas rendu mon baiser.
Javais trop envie de ta bouche, de ta langue.
Je men suis bien rendu compte.
Javais chaud, jai ôté ma robe, tu as été surprise de me voir nue si vite.
Et surtout de découvrir que tu ne portais pas de sous-vêtements.
Comme maintenant, dit Nina en laissant glisser sa robe pour révéler son corps nu, jétais terrifiée, mais si excitée que je voulais que tu puisses me toucher sans contrainte, sans obstacle.
Tu mas doucement poussée vers le canapé.
Tous en tembrassant, et en serrant mon corps nu sur le tien.
Jai senti tes seins pointer.
Ma chatte était trempée
Tu mas demandé
Comment fait-on ?
Je tai répondu
Comme tu veux
Et tu mas dit
Lèche-moi, jen meurs denvie
Alors je tai fait assoir, jai écarté tes cuisses, mes lèvres ont embrassé tes jambes, sont remontées doucement vers ton sexe, mais ne sy sont pas arrêtées
Je tremblais de tous mes membres, je voulais que tu me bouffes.
Mais je ne voulais pas aller trop vite, alors jai fait durer le plaisir, un peu, parce que moi aussi je voulais ton sexe, le goutter, lapprécier, le mordre, le manger, et te faire hurler de plaisir.
Tu as fait glisser ta langue sur mon ventre, vers mes seins que tu as sucés. Goulument.
Jécoutais ta respiration de plus en plus profonde.
Je croyais que jallais exploser.
Tu as posé tes mains sur ma tête.
Et je tai à descendre vers mon minou.
Jai crié quand jai senti ta langue se glisser en moi, écartant mes lèvres, et me pénétrant doucement, venant lécher mon intimité.
Jai relevé la tête et je tai dit.
Jaime ta chatte.
Tu as crié "alors bouffe là"
Jétais hors de moi, tendue de désir, je ne pensais quà jouir de ta bouche.
Plongée en toi, je te dévorais tendrement, ma langue courrait sur tes lèvres, en elles, sur ton clito, jouant avec lui pour te faire crier. Je técoutais, tes cris, ton souffle, attentive à ton corps que vibrait.
Je sentais monter en moi, du plus profond de moi ce plaisir si doux, si fort, si absolu, jaurais voulu résister, retenir longtemps cet orgasme, mais jai explosé.
Tu as crié, et jai senti coulé dans ma bouche un jet chaud, tu memplissais de ton plaisir.
Jai hurlé ton nom, et je me suis laissé retomber sur le canapé. Tu es venu te blottir contre moi, moffrant ta bouche pour un baiser, jai gouté le parfum de son sexe sur ta langue.
Nous sommes restés un moment lune contre lautre, nous embrassant.
Je reprenais pied dans la réalité.
Puis dun coup tu tes levée, tu as pris ma chemise, tu as voulu larracher.
Je voulais te voir nue, je voulais ton corps, tes seins, tes hanches, ton sexe.
Je tai retenue, jai ôté ma chemise, tu as retiré mon jean, et
Jai arraché, déchiré ta culotte, avant de plonger sans attendre vers ton sexe.
Je tai laissé faire, je savais que cétait une première pour toi, mais je ne voulais pas te bloquer en te donnant des conseils, en te guidant.
Je nen avais pas besoin, et de toute façon je ne taurais pas écoutée, jétais folle.
Je lai bien senti quand tu a commencé à me bouffer la chatte, javais limpression que tu as dix bouches, vingts langues, que tu aurais pu entrer entière en moi.
Jai adoré le gout de ton sexe, son odeur, sa forme, sa chaleur. Plus je te bouffais, plus ma langue léchait ton jus plus jen avais envie.
Tu mas léchée comme une folle, et jai joui dun coup. Je nai rien senti venir, et puis en quelques secondes jai joui.
Jai gardé ma bouche contre ton sexe, et jai senti tes contractions de plaisir, en même temps je me masturbais.
Je vibrais de bonheur, et je tai vu un doigt dans la chatte, te branlant, jétais folle de te voir ainsi, alors jen ai fait autant.
Assises toutes les deux sur le canapé
Alors que lon venait de se faire jouir lun lautre
Nous nous masturbions lun à côté de lautre
En sembrassant
Tu mas dit que javais été super.
Tu mas répondu que tu en voulais encore.
Tu tes levée tu es allé dans ta chambre
Et jai rapporté un double gode
Jai rigolé en voyant lengin
Je tai pris la main et je tai conduit dans ta chambre
Tu tes allongée et tu ma dit te rejoindre.
Tu tes mise en face de moi et jai glissé le gode dans ta chatte.
Jai gloussé, cétait la première fois que je me faisais prendre par un engin en plastique.
Je tai dabord branlé avec avant de me lenfiler à mon tour.
Alors nous nous sommes baisés, mutuellement, sur ce gode, face à face, glissant sur lui, pénétrées par lui, nous imaginant que cétait le sexe de lautre qui nous pénétrait, pendant que nous pénétrions lautre de notre bite bien dure.
Dansant sur ce membre artificiel, nous donnant et prenant du plaisir.
Nous avons joui plusieurs fois.
Puis tu as retiré le gode, et las jeté.
Je voulais ta bouche à nouveau.
Nous nous sommes mis en 69, et une dernière fois nous nous sommes fait jouir.
Jétais épuisée de plaisir, mais retrouver le gout de ton sexe ma donné lénergie dun dernier orgasme.
Jai joui, et je me suis endormie
Dans mes bras.
Elles avaient rejoué toute la scène, en la commentant. Je les avais suivies, bandant comme un âne. Résistant à lenvie de me branler.
Et si on soccupait un peu de lui, dit Nina en sapprochant de moi.
Il la bien mérité, répondit Émilie.
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