Leslie La46
Leslie LA46 - Laure, le journal intime - Envie de vieux, suite et fin
Jai passé deux jours à me remettre de la séance avec Gilles, mais si les douleurs de mon corps sétaient calmées, le troisième jour les désirs, eux, étaient toujours là.
Alors le vendredi, en fin daprès-midi, je lai appelé, espérant quil soit libre et que nous passions deux jours de folie charnelle.
A la deuxième sonnerie, jai entendu sa voix :
- Bonjour, Gilles à lappareil.
- Gilles, cest Laure.
- Ohhh, ma puce comment ça va ?
- Bien, euh
Je voulais savoir si tu étais libre ce week-end ?
- Ça tombe mal, ma puce, jai un ami chez moi pour le week-end, ce qui fait que je ne vais pas pouvoir te recevoir.
- Merde, dis-je.
Jai dû y mettre le ton car Gilles me dit :
- Je te sens déçue ?
- Euh
Oui un peu, disons que je mettais fait un film, enfin ce nest pas grave, je te rappellerais plus tard, enfin peut-être
Jallais raccrocher quand il a dit :
- Attends princesse, ça peut sarranger.
- Sarranger ? Comment ça peut sarranger ?
- Euh, disons que mon ami aimerait faire ta connaissance, je lui ai parlé de toi et il voudrait bien te rencontrer.
- Dis-donc là, tu ne serais pas en train de me proposer un trio, une jeunette et deux vieux.
- Bah, un peu si.
- Et tu crois que ça pourrait mintéresser ?
- Disons que nous serions deux pour te baiser.
Jai trop attendu, maintenant il sait quil ma branché, sinon jaurais aussitôt raccroché, offusquée en lui disant adieu, mais là, je pose des questions, je suis piéger.
- Alors ? Me demande-t-il.
- Comment est-il ? Demandais-je.
- Cinquante ans, une queue comme tu sembles les aimer. Tu en as envie ?
Jhésite.
- Euh
Oui, pourquoi pas !
- Alors vient, nous tattendons.
- Pas maintenant, ce soir, vingt heures.
- Va pour ce soir, baisers ma puce.
- Baisers.
Je raccroche, depuis notre rencontre, il sest écoulé trois jours. Trois jours durant lesquels jai un peu regretté ce long moment dégarement, certainement plus par culpabilité que pour le plaisir que javais pris.
Pourtant, à cet instant, je ressens à nouveau des désirs, le doux bouillonnement qui crispe mon ventre, en jargon animal cela sappelle « lappel du mâle ».
En plus, je suis folle, deux hommes, oui deux qui vont me désirer, puis me posséder. Je devrais avoir peur, effectivement jai peur, un peu, juste un peu, mais lexcitation, putain lexcitation que je ressens à ce moment renverse la maigre muraille de mes craintes.
Et puis, pourquoi pas une première double pénétration, ça serait le pied
Je prends un bain, puis me pomponne de la tête aux pieds, brushing, nacre rouge sur me ongles, épilation complète pour être lisse partout, maquillage intégral, mais sans outrance, je suis parée, reste à mhabiller.
Escarpins avec des hauts-talons, une jupe courte fendue sur le côté, sans culotte et un corsage, sans soutien-gorge, minimaliste comme tenue, comme aime Gilles me voir
A dix-sept heures, jai pris un bus et me suis mêlée à la foule, puis un autre avec une population bourgeoise, des gens calmes, sereins.
Je regarde au loin, les tours du centre se déformer sous les trombes de lumière brûlantes du ciel et je sens que ça vient, maintenant le désir monte en moi au fur et mesure que je me rapproche de la tanière du mâle, je suis comme une chatte en chaleur et je me surprends à avoir envie de les sentir tous les deux.
Puis arrivée, je descends du bus, pose un regard gourmand sur les immeubles cossus, marche un court moment, sous les effluves chauds du printemps, ma petite jupe frotte contre le haut de mes cuisses et lair chaud inonde ma petite vulve nue, je suis déjà dans tous mes états quand je sonne à linterphone.
Sans un mot, le déclic de la porte se fait entendre et elle souvre.
Jentre dans le hall frais, entre dans la cabine et appuie sur le bouton de létage de Gilles.
Et tandis que la cabine monte, jouvre mon corsage comme la première fois, peut-être même un peu plus ouvert.
La porte est entrouverte et les battements de mon cur saccélèrent.
- Entres, dit Gilles depuis le salon.
Dans le salon, les deux hommes savourent un whisky sur le canapé en cuir.
Je détaille le second, celui que je ne connais pas. Même profil que Gilles, la cinquantaine, cheveux gris, plus mince peut-être. Les yeux foncés, chemise bleue entrouverte, pantalon de toile, mocassins.
Gilles se lève et vient menlacer et membrasse dans le cou, sa main passe sur mon dos, descend, et flatte tranquillement mon cul.
- Cest bien, tu es très belle.
Puis, se retournant vers son ami.
- Laurent, je te présente Laure, dont je tai parlé.
Lautre me déshabille de haut en bas, lentement, sans trop de mal car ma poitrine lui est déjà offerte et sans un mot il passe deux doigts sur sa braguette dun air provocateur.
- Elle est encore plus bandante que ce que tu mavais dit, dit Laurent.
- Allons, dit Gilles, un peu de tenue, tu vas effrayer la puce !
Il me regarde droit dans les yeux, regard scrutateur et un tantinet lubrique, et dit :
- Je pense quil en faut un peu plus pour effrayer cette salope
- Voyons, dit Gilles.
- Ten connait beaucoup, toi, des filles qui se présente chez toi les seins à lair ? Et en plus je suis sûr quelle na pas de culotte !
Gilles me fait asseoir dans un fauteuil face à eux et me serre un whisky et resserre leurs deux verres vides.
Cest quand Laurent dit :
- Très mignon et pas farouche !
Que je maperçois que je suis face à eux, jambes écartées et quils ont ainsi une vue imprenable sur mon intimité nue. Mais puisque je ne suis pas farouche, jouvre un peu plus mes cuisses afin que Laurent se délecte de la vue de ma chatte offerte.
Nous buvons tranquillement, nous avons le temps, mais je sens Laurent pressé den découdre et de me connaitre plus intimement, alors il se lève et défait sa ceinture, baisse la fermeture éclair et, lentement, sort son sexe dur.
Plus épais, plus gros que celui de Gilles. Il se branle doucement devant moi, comme pour me donner envie.
Gilles me relève et se place derrière moi, enlève mon corsage et commence à jouer avec mes tétons, les faisant durcir, puis ma jupe tombe à terre et Gilles murmure à mon oreille :
- On va bien soccuper de toi, ma chérie. Je te jure que tu vas hurler.
Je ne devrais pas aimer quon me parle ainsi, jai un instant envie de partir, mais seront-ils violents ? Alors je me laisse aller, offrant à leur vue mon jeune corps lisse.
- Petite salope, dit Laurent.
Son membre prend des proportions imposantes sous leffet de son branle.
- Elle te plaît ? Ma bite nest pas trop grosse ?
Je ne dis rien, alors Gilles me dit en pinçant mes seins un peu plus fortement.
- Tu pourrais répondre à mon ami.
Jhoche la tête et dans un souffle, je dis :
- Oui, elle me plait, mais elle bien grosse et je ne sais si
- Allons, tu vas aimer, dit Laurent.
Les deux hommes sont maintenant nus et en regardant ces sexes bandés, je me dis que je suis folle dêtre venue, je vais déguster
- Alors, viens la sucer !
À quatre pattes, je me dirige vers Laurent, avançant comme une chienne, et dévoilant mon cul parfaitement épilé à Gilles. À hauteur du canapé, Laurent me saisit par les cheveux et force lentrée de ma bouche. Je le prends, enfin je le prends autant que je peux tellement il est large.
- Voilà, comme ça, je vais bien te baiser la bouche, dis Laurent.
Et il menfonce son membre dans la bouche, me faisant avoir des haut-le-cur.
Gilles sest rapproché et se tient derrière moi, Laurent le regarde et dit.
- Fait lui le cul à cette petite salope pendant quelle me suce.
Je vais protester, quand Laurent me force à reprendre sa grosse queue en bouche. Je salive sur son sexe, crache dessus comme dans les films pornos, comme une pro.
De ma main gauche, je me caresse, et constate à quel point je suis humide.
Et là, une douleur me vrille le cul, comme une décharge électrique, Gilles vient de me rentrer toute sa queue dans mon cul.
Longtemps ils vont me défoncer ainsi, Laurent dans ma bouche et Gilles dans mon cul.
Puis ils changeront de position, avant de memmener dans la chambre, mais lorsque Laurent a voulu menculer, ce ne fut pas une mince affaire, mais à force de patience il ma rentré toute sa queue dans mon cul, jai souffert et je ne me serais jamais crue pouvoir admettre un tel engin au fond de mon cul. Mais ce fut fait et je men rappelle encore
Dans la chambre, sur le lit, Laurent me baise, non, il me défonce littéralement, il est allongé sur le dos et moi le chevauchant.
Quand nous nous sommes installés, jai rentré sa grosse queue dans ma chatte et le lai chevauché comme ça, lentement, en le regardant dans les yeux.
Maintenant, je ne suis plus quune femelle avide, je cambre mes reins dans une invite pour Gilles, en disant :
- Prends-moi, je te veux aussi, en même temps !
Gilles se place derrière moi, mouille avec de sa salive mon petit trou du cul encore entrouvert, me le travail tandis que Laurent continue de me baiser. Puis plie les genoux et entre en moi, dun coup.
Je crie et hurle, mais je lai ma double, et pas une commune de gamine, une sérieuse avec des membres à faire frémir les pucelles.
Ils accélèrent tranquillement, jen ai les larmes aux yeux tellement ça me fait mal, mais je ne renoncerais pas et jirais jusquau bout.
Laurent membrasse pour mes cris, enfonce sa langue dans ma bouche, me caresse les cheveux. Par instant, il saisit sa gorge comme sil voulait l puis place son pouce dans sa bouche et je lui suce.
Dans le miroir qui jouxte le lit, je mobserve, comme lautre fois, me voyant prise en sandwich par ces deux hommes qui me baise sans vergogne.
Je crie mon plaisir quand il inonde mon corps et me fait défaillir, mais je leur demande de continuer, daller jusquau bout et je perds connaissance quand ils me remplissent les orifices de leurs chaudes jouissance, terrassée par un orgasme dévastateur.
Quand je reviens à moi, ils me regardent assis sur le bord du lit, apparemment heureux de mavoir emmené loin, très loin, je sais que ce nest pas fini et je me demande dans quel état je serais dimanche soir lorsque je partirais, si toutefois je tiens le coup jusque-là
A suivre
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