La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°245)
Suite de l'épisode N°243 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -
Sous les ordres de son Maître Vénéré, Le Marquis dEvans, Sa soumise Thaïs, dévouée et complice, sétait débrouillée en jouant une comédie effrontée de se faire passer pour une victime e et maltraitée de son Maître et non une soumise librement consentante, nhésitant pas à implorer le jeune businessman quelle cherchait à piéger pour quil la sauve des griffes de son (soi-disant) bourreau et que, sapitoyant sur son sort, il accepte de la prendre en charge, de la protéger et surtout de lemmener dans sa chambre. Usant de tous ses charmes, elle avait séduit le jeune homme qui se prenait pour un vrai superman de service, ce qui flattait son égo mais lui avait fait perdre un peu de son self-control, la laissant seule dans sa chambre dhôtel sans se douter un seul instant que tout cela navait été mis en scène que dans le seul but de pouvoir fouiner dans les documents et fichiers informatiques de ce dernier et quil nexistait en réalité pas la moindre Isabelle, mais seulement une soumise Thaïs toujours extrêmement fidèle et heureuse à son seul et unique Maître Vénéré
Sous prétexte dadresser un mail à sa famille, Thaïs a donc réussi à obtenir que lordinateur professionnel de lhomme daffaires soit mis à sa disposition, mais visiblement seule une session invité lui a été ouverte. Elle sort sans attendre de sa poche une clé 3G pour pouvoir assurer une liaison avec les services informatiques qui travaillent pour lEntreprise du Marquis (voir La Saga saison 2). Très rapidement, ils arrivent à prendre la main sur lordinateur qui se trouve pourtant à distance, mais ne pouvant car le temps était compté craquer le code de protection des fichiers personnels et professionnels, ils chargent à la place un logiciel espion indécelable même par les plus performants antivirus du marché qui leur permettra de pouvoir récupérer les éléments adéquats dès quun utilisateur se connectera, car ce logiciel permet de conserver entre autres la mémoire de toutes les touches qui sont tapées et quil peut envoyer des informations via le Net, sans pour autant que cette opération irrégulière ne soit visible par celui qui serait en train de travailler sur lordinateur.
Pendant ce temps là, Thaïs fouille rapidement dans la valise et la mallette qui se trouve dans la chambre. Elle sait que tant quelle ne reçoit pas le signal dalerte par sms de son Maître, ses deux invités sont avec Lui et quelle est donc tranquille dans sa tâche despionne. Elle a pour mission de rapporter à son Maître, de quelque manière que ce soit, le maximum dinformation sur la négociation en cours, et plus particulièrement la liste des autres promoteurs intéressés par ce terrain, car il faut que le Marquis puisse les évincer en toute connaissance de cause. En fait, Thaïs trouve peu déléments dans les bagages de lhomme daffaires et donc elle se sent un peu bredouille malgré tous les efforts quelle a dû déployer pour arriver jusque là. Cest surtout quelle se rend compte que sa tâche va devoir se prolonger et quelle devra continuer à jouer le rôle dIsabelle tombant amoureuse de son vaillant sauveur, Thierry. Elle a largement le temps de contacter les services informatiques qui ont terminé leur tâche de piratage à distance et elle se met donc, pour que son histoire reste plausible, à taper le mail soi-disant écrit pour sa mère et sa sur, avec moult détails pour que cela semble très crédible.
Pendant ce temps, dans le salon de la suite du Marquis, la réunion de travail est largement tendue. Le contact sétait avéré plus facile tout de même avec le plus âgé des hommes daffaires qui était resté avec le Marquis tandis que son associé emmenait dans sa chambre Thaïs pour la protéger mais aussi pour la baiser. Spontanément, ni lun ni lautre ne se voulant tenter de reparler de ce qui venait de se passer, la conversation avait très vite tourné sur la qualité des vins produits dans la propriété quils avaient pu déguster pendant le repas, enchaînant par la suite sur les plaisirs de la table. Le Marquis ayant précisé quIL avait pris plaisir à déguster ce petit vin de Chinon très local et de petite production, quIL ne connaissait pas bien évidemment, Lui qui est plus habitué à boire des vins Beaujolais venant de son pays, à quoi, son interlocuteur avait ajoutait quil appréciait aussi particulièrement les vins voisins de Bourgogne, se mettant rapidement à comparer ensemble bonnes et mauvaises années et noms des différents propriétaires-viticulteurs.
- Messieurs, je regrette lincident que Vous avez été amené à vivre. Je peux Vous assurer que je nai rien à me reprocher vis-à-vis de mon ex-soumise Thaïs. Je nentends nullement me justifier devant vous et je vous prie de bien vouloir ne plus jamais me parler de cette personne pour ne pas mimportuner davantage. Je vous ai fait venir en vue de lacquisition de votre terrain sur la commune de D
.. et je veux seulement savoir si ma proposition a retenu laccord de Votre Conseil dAdministration et dans le cas contraire, ce qui est de nature à empêcher la signature des actes. Jai de nombreux projets en cours et je nai pas lintention de perdre mon temps inutilement si ce dossier ne doit pas aboutir.
- Monsieur dEvans, il nous est impossible de Vous donner une réponse pour linstant. Nous avons reçu plusieurs propositions. Votre offre est intéressante sur le plan financier, je ne vous le cache pas, mais vous devez le savoir. En revanche, votre projet de convention préalable qui vaudra compromis, nest pas sans nous poser un souci, notamment en raison des nombreuses clauses que vous avez insérées. Mon associé peut dailleurs confirmer mes propos.
- Oui, je vous assure quà ce jour, notre Conseil dAdministration na pris aucune décision. Une affaire de plusieurs millions deuros ne se traite pas aussi vite que si nous vendions une baguette de pain. Nous avons besoin de toutes les garanties possibles aussi de notre côté.
- Messieurs, soyez raisonnables, mes juristes nont fait que reporter tous les engagements oraux et autres garanties dont vous nous avez fait part lors des réunions et contacts téléphoniques préalables.
La discussion se poursuit bon train, mais sans vraiment évoluer car il sagit bien plus dun dialogue de sourds que dune vraie transaction en train de se finaliser.
- Monsieur dEvans, je pense que pour linstant, je vais mettre fin à cette conversation. Nous avons besoin de pouvoir parler entre nous et aussi de prendre un peu de recul sur les événements qui se sont passés. Je vais donc me retirer dans ma chambre ainsi que mon ami. Et nous vous recontacterons pour le dîner, jai aussi quelques appels téléphoniques et autres mails à passer et je pense que nous vous ferons parvenir également dici ce soir, une liste des questions qui ont été soulevées par nos conseils financiers et juridiques. Plus vite, vous serez en mesure de nous éclairer, moins ce dossier traînera en longueur.
- A plus tard, Monsieur le Marquis dEvans, (reprenant alors que le jeune homme a commencé à se calmer un peu une formulation plus conventionnelle et enchaînant aussi sec un peu plus à lécart et à voix assourdie) André, tu viens, jai besoin de te parler dans ta chambre, nous y serons plus a laise, la mienne est occupée comme tu dois ten douter.
Très rapidement, le Maître envoie à sa soumise le signal convenu en appuyant sur la touche programmée, pour la prévenir quelle doit se tenir prête à voir débarquer celui qui lui a fait profiter de lhospitalité de sa chambre. Thaîs, avait déjà tout remis en ordre, tapé une partie de son mail volontairement laissé visible et non terminé. Elle se recouche vite fait sur le lit, faisant semblant de dormir et de récupérer. Le jeune Thierry a commencé par faire un sérieux débriefing avec son associé dans la chambre de ce dernier et cest au bout dun long moment quil retourne dans sa chambre pour y trouver son Isabelle endormie, enfin du moins le croît-il à cet instant. Comme lordinateur nétait toujours pas éteint, il se met à lire le mail quavait commencé à taper lex-soumise, et reste effaré de lire avec quelle perversité, elle avait été malmenée au Château, enfermée et même encagée, battue quotidiennement, fouettée, privée de sommeil et de nourriture qui ne consistait dailleurs quen une bouillie infâme et insipide, violée brutalement et e à porter en permanence des plugs et autres objets qui la pénétraient profondément pour la maintenir en état de dilatation constante, contraintes à toutes les basses besognes les plus répugnantes de jour comme de nuit et aussi traitée comme une chienne devant sans cesse se déplacer à quatre pattes et nayant pas droit de parler sauf si on lui posait une question.
La belle qui ne dort absolument pas, commence peu à peu à bouger comme si elle émergeait dun long sommeil reconstructeur. Et cest presque faussement endormie, quelle se rapproche de son nouvel amant et entreprend à nouveau de lentraîner vers une jouissance partagée, car elle sait très bien quelle doit absolument pour arriver à ses fins faire encore plus chavirer le cur de son nouveau protecteur, afin quil abaisse toutes ses barrières de protection que son côté professionnel lui a fait ériger.
- Thierry, dites-moi comment cela sest passé ? Avez-vous vu Le Marquis, a-t-IL dit quelque chose à mon sujet ? Et est-ce que tout cela ne va pas vous poser un souci dans vos affaires professionnelles. Je nai pas arrêté de penser à cela, je me suis sentie coupable de Vous avoir entraîné dans mes déboires, et davoir peut-être perturbé vos négociations daffaires. Si jétais la cause de cette vente ratée, je ne me le pardonnerais pas.
- Isabelle, ne devais-tu pas me tutoyer ? Surtout que maintenant nous sommes devenus amants.
- Oh oui, pardon, Thierry. Jai tellement perdu lhabitude à force de vouvoyer mon ancien Maître et toutes les personnes de sa suite, devant leur parler avec déférence, voir même de manière obséquieuse sous peine de recevoir une punition ou tout du moins une gifle au moindre mot de travers, que cela est ressorti de manière inconsciente, mais je nai rien oublié de ce que nous avons vécu tout à lheure et de ce moment très ré-jouissant que jai pu vivre dans tes bras. Jaurais même bien envie de recommencer, si tu en avais le désir de ton côté et si tu avais du temps également.
Et aussi sec Thaïs se colle contre le corps de son amant, ondulant son bassin pour venir se frotter sur le sexe de son partenaire dans une danse préliminaire destinée à faire monter en lui un désir érectile dhomme. Elle lembrasse tendrement et prend sa main pour lui montrer le chemin de son intimité quelle voudrait quil dénude et caresse sans retenue. De ses mains, elle ouvre la chemise blanche quil porte en ayant au préalable agrandi le nud de cravate quelle fait passer au dessus de sa tête. Et elle glisse ses mains sur la toison qui couvre le torse du jeune homme. Du bout des ses ongles, elle pianote sur sa peau mélangeant caresses et légers attouchements. Son amant se laisse faire par ses mains expertes qui ne tardent pas à descendre pour ouvrir la ceinture en cuir quil porte et juste après la fermeture éclair de son pantalon. Elle se redresse sur le lit, lenfourche carrément et prend les deux mains de son partenaire pour les poser sur ses épaules, lui faisant comprendre sans mots dire quelle souhaite quil puisse la dévêtir comme on effeuille une fleur, enlevant le chemisier de voile qui couvre le haut de son corps. Elle est nue dessous, car elle avait quitté la chambre du Marquis sans prendre le temps de chercher sil y avait des sous-vêtements, vu quelle avait enfilé la tenue quelle portait à son arrivée au Château de M
.. et que suivant les ordres de son Maître, elle ne portait ce jour là, ni petite culotte, ni soutien-gorge. Elle se retrouve donc à califourchon, assise sur son amant, seulement vêtue dune jupe à volants quelle soulève et laisse retomber en corolle tout autour delle. Son haut du corps est nu, comme au premier jour de sa vie, ne portant aucune parure, puisque elle avait pris soin de défaire son collier desclave avant de quitter son ancien Maître, le déposant en évidence avec la clef qui servait à le cadenasser sur la table de salon, juste avant de rejoindre celui qui lemmenait.
Elle conduit les mains de son amant vers sa poitrine généreuse et ses deux seins lourds quelle empoigne à travers les mains de son amant, lui faisant comprendre à quel point elle aime quon soccupe de ses monts majestueux. Et tandis quil saffaire à malaxer et à venir titiller les deux mamelons qui se tendent à son contact, Isabelle descend peu à peu reculant sur le corps allongé de son amant, jusquà pouvoir commencer à empoigner le pantalon et le boxer que porte encore le jeune homme quelle fait glisser au fur et à mesure quelle recule vers le fond du lit. Il avait déjà quitté ses chaussures avant de grimper sur le lit et rien de fait ne soppose à son véritable effeuillage qui met à nu son partenaire, qui des suites de lexcitation de cette scène arbore déjà un pieu bien dressé. Sur un ton très coquin, Isabelle, sourit :
- Tout à lheure, je navais pas eu le temps de tadmirer dans toute ta splendeur
. Tu as tout ce quil faut pour plaire à une femme, je suis sûre quelles doivent être nombreuses à passer dans ton lit.
- Isabelle, ne dit pas cela comme ça. Je suis quelquun de beaucoup plus sérieux que ce que tu crois. Certes, il y a longtemps que je ne suis plus puceau, mais je me consacre beaucoup à mes affaires, et je ne cours pas les donzelles en chaleur toute la journée, même si cela me contraint le plus souvent à un onanisme , et disons hygiénique. Je suis un homme après tout qui a besoin de se vider régulièrement comme les autres.
- Et bien, je peux tassurer que là ce ne va pas être une partie de plaisirs solitaires que nous allons jouer maintenant. Je vois que la petite bête est déjà montée, montée, montée et je suis sure quelle a envie de venir se mettre bien au chaud.
Et tandis quelle dit cela, elle a commencé à se coucher sur le lit à ses pieds et en avançant tel un félin qui ramperait, elle lèche les jambes de son amant délicatement, sapprochant peu à peu de son entrecuisse quinconsciemment il entrouvre un peu plus. Elle lèche à grands coups de langue toute la queue qui se cabre encore plus dès quelle approche, et sattarde ensuite sur le gland dont elle fait le tour de nombreuses fois, pour ensuite redescendre très délicatement sur le vit quelle effleure du bout de ses dents, sachant très bien le frisson que cela doit provoquer et limpact de ses actes sur le cerveau reptilien de lhomme qui ne peut que désirer à cet instant la femelle dont les odeurs corporelles sensuelles ont commencé à envahir ses narines. Sa langue se remet en action quand elle entreprend de lui lécher les bourses de part en part, pour finalement presque les mettre en bouche une après lautre les sentant gonflées et pleines. Et cest enfin quelle se décide à venir empaler sa bouche sur le sexe durci et gonflé, le suçant, laspirant, le léchant comme la vraie salope expérimentée quelle a appris à devenir dans sa formation de soumise au service de son Maître Vénéré, le Marquis dEvans
.
(A suivre
)
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