Série « Les Voisins » Épisode 4 : Sabine, Carine Et Thomas. Partie 1/2
Je mappelle Sabine, jai quarante-trois ans, mon premier mari n'avait jamais été très affectueux avec moi. J'en souffrais beaucoup car j'avais ce besoin d'être aimée mais cet homme était un égoïste qui voulait profiter de la vie. Je navais connu que lui, cétait mon premier amour, je manquais cruellement daffection. Jétais restée avec lui pendant cinq ans, il sortait souvent avec ses copains, javais compris quil fallait que je le quitte car il ne désirait pas d. Jai vécu seule pendant plusieurs années, nayant pas eu la chance de connaitre les joies de la maternité, je désirais me remarier au plus vite.
Malheureusement, tous les types que je rencontrais ne voyaient quen moi un plan cul. Sans me vanter, je suis jolie et avec mes formes avantageuses, je plais assez aux hommes. Approchant de lâge fatidique des quarante ans, javais hâte de trouver la perle rare. Je pensais lavoir trouvé lan passé, jétais tombée amoureuse de Gaétan et jespérais quil devienne mon nouvel époux et quil me donne un . Malheureusement, à deux mois de notre mariage, il mannonça quil partait pour trois ans travailler en Australie et me promis que nous nous marierions dès son retour définitif.
Il y a quatre ans, mon patron me proposa un plan de carrière, mais je devais être mutée. Vivant seule, javais accepté car le salaire quil mavait annoncé nétait pas négligeable. Néanmoins, je devais renoncer à mon . Je venais donc demménager dans une région où je ne connaissais personne. Dans mon environnement professionnel, dans tous les commerces que je fréquentais, je navais affaire quà des femmes. Mon travail étant assez passionnant, je me plaisais au boulot mais je manquais cruellement daffection dautant plus que javais perdu toutes mes amies.
Heureusement que dans limmeuble où javais emménagé, javais fait la connaissance de mes voisins. Tout avait commencé le jour de mon arrivée. Jhabitais au 10e étage sur le dernier palier de limmeuble quand ce vendredi après-midi du mois de juin, un jeune homme dà peine trente ans revenait de course.
Ce nest pas grave ! Cest vous notre nouvelle voisine ?
Oui ! Je mappelle Sabine. Lui dis-je, javais hâte de faire des connaissances et cet homme me plut tout de suite.
Enchanté Madame ! Thomas, jhabite juste là avec Carine mon épouse. Me répondit-il en montrant sa porte dentrée.
Je nétais pas très apprêtée, je portais un simple jean, une chemisette rose clair et des baskets, je lui donnai limpression dêtre une femme assez simple et daprès mon accent, il en conclut que je nétais pas de la région. Son corps mince et musclée lui laissa penser que jétais sportive car il me le demanda et après lui avoir rétorqué que jaimais courir, il me fit un nouveau sourire et dit que lui aussi aimait faire son footing et quil était très heureux davoir une voisine aussi sympathique. Nétant ni timide, ni réservée, je lui rendis son sourire avant quil enchaine par politesse :
Si vous avez besoin de quoi que ce soit, nhésitez pas.
Pas de soucis ! Merci beaucoup ! Lui répondis-je en raccompagnant mes déménageurs.
Jétais rentrée chez moi, si le principal des meubles était remonté, lappartement était en vrac. En voyant tous ces cartons, je ne savais pas par où commencer. La première chose à faire, fut mon lit car il était déjà tard et je nallais pas dormir sur le canapé. La sonnerie me sortit de mes pensées, lorsque jallai ouvrir, je tombai nez à nez avec une charmante petite femme, la trentaine, toute souriante qui me dit :
Je suis Carine, votre voisine. Je sais que cest difficile le premier jour, je serais ravie de vous inviter à diner ce soir. Si vous avez besoin de moi, nhésitez pas.
Jétais heureuse de tomber sur des gens aussi sympathiques, Carine maida à faire mon lit, nous avons papoté un moment.
Cest si beau un corps qui transpire. Nous pourrions aller courir ensemble. Dis-je en me passant un doigt sur son épaule trempée.
Carine vint nous ouvrir, toujours aussi souriante, je lui donnai un coup de main à la cuisine. Lorsque que Thomas sortit de la salle bain, elle proposa à son mari de maider le lendemain afin de finir dinstaller mes petits meubles. Dit de cette manière, il était évident quil ne put refuser. Nous avions fait connaissance, si je venais de Bretagne, eux venaient de Lorraine. Je ne sais pas pourquoi, sans doute pour ne pas montrer mon célibat, je leur avais menti un peu en leur disant que mon ami travaillait à létranger et ne viendrait me rejoindre quà la mi-septembre.
Comme promis, le lendemain matin, le couple de voisins était venu chez-moi. Thomas sétait attelé à remonter les meubles et une heure et demi plus tard il nous quitta, nous laissant toutes les deux, défaire et ranger tous mes cartons. Sans aucun maquillage, avec ses beaux cheveux blonds tirés en arrière, attachés en queue de cheval, avec son shorty et son large débardeur, je la trouvais encore plus jolie, Carine était super sexy. Très tactile, elle trouvait toujours le moyen de me frôler où même de me toucher. Elle me parla beaucoup de son mari, de sa gentillesse, de lamour quil lui portait me disant que je devais trouver un homme comme lui. Je sentis ce jour-là une attirance vers cette jeune femme, quelque chose se passait en moi, et je ne savais pas ce que cétait, je lavais su quun peu plus tard.
Thomas quant à lui était homme très respectueux et amoureux de sa femme, il était venu maider, nous courions ensemble et pourtant, jamais il neut un geste déplacé envers moi, ni même fait une quelconque allusion pour se rapprocher de moi. Malgré cela, cet homme me fascinait, surtout lorsquil embrassait Carine ou lui faisait des câlins devant moi, il était très affectueux et jen étais presque jalouse car jétais en manque de ce côté-là. Ce couple sadorait cétait une évidence, je les entendais tous les soirs faire lamour dans leur chambre et cela mexcitait beaucoup. Très vite nous avions sympathisé, nous étions devenues des amies. Dès que Thomas sabsentait pour des raisons associatives, nous nous retrouvions chez moi pour discuter ou pour regarder la télé.
Jaimais avoir la présence de Carine à mes côtés, ça me rassurait, javais besoin de son contact même si ce nétait quune bise sur la joue ou une main posée sur mon bras ou sur ma hanche, elle était adorable. Nous ne nous quittions plus, elle ne voulait jamais me laisser seule, elle minvitait à chaque occasion, je passais de plus en plus de temps avec elle ou avec eux. Nous sortions au restaurant, au cinéma, je les accompagnais au piquenique certains week-end de beau temps. Carine devenait de plus en plus proche de moi, nous nous retrouvions quelques fois dans les bras lune de lautre sur le canapé en regardant des films. Mais dès que Thomas revenait, il faisait en sorte quelle ne soccupe plus de moi, il la pelotait et lembrassait, elle se laissait emporter. Je comprenais alors que je devais rentrer chez moi.
Manquant cruellement daffection, si javais une attirance physique pour un homme comme Thomas, jétais de plus en plus attirée par Carine, dès que je la voyais ou que lon se souriait, jen perdais la tête, je pensais à elle toute la journée. Dans ma tête, la logique était que je ne pouvais être attirée que par des hommes, je ne comprenais plus rien, la pensée que je puisse aimer une femme ne mavait jamais traversé lesprit.
Dans les rayons, elle en choisit plusieurs, me les montrant en me demandant mon avis. Elle pénétra dans cabine, se déshabilla et enfila un soutien-gorge et un string puis sans aucune gêne, elle ouvrit le rideau. Elle était sublime, vraiment hyper sexy ? « Je prends ceux-ci » Me dit-elle. Elle mattira dans la cabine et referma derrière moi : « Essaye ceux-ci, je te les offre. » Jétais très gênée mais elle insista tant que je mexécutai, elle maida à me dévêtir, je ne savais plus où me mettre, la situation mexcitait, Carine était tellement naturelle que je ne pensais pas à mal. Je tremblais de peur mais en même temps, je désirais quelle me frôle, quelle me touche.
Une fois avoir enfilé mes dessous, elle madmira, me fit faire un tour sur moi-même et me complimenta : « Que tu es belle Sabine. » Me dit-elle en posant ses deux mains sur mes hanches. Une petite voix dans ma tête me disait de la repousser, mais mon désir fut plus fort, quand ses mains étaient remontées sur mes seins, javais fermé les yeux et lui tendis mes lèvres. Après ce court baiser plein de tendresse, elle membrassa dans le cou, sa bouche était descendue lentement vers mes seins. Très vite son visage sétait retrouvé entre mes cuisses sans que jesquisse le moindre geste, je lui caressais ses cheveux, je désirais que ce moment séternise encore et encore. Malheureusement, la voix de la vendeuse nous interrompit. En se relevant, Carine pencha sa tête à mon oreille et me dit :
Je taime Sabine.
Je crois que moi aussi. Lui dis-je en la prenant à bras le corps pour un baiser passionné.
Après cet intermède, nous avions hâte de nous retrouver seules, dans la voiture je lui expliquai que je ne navais jamais touché une femme, que jaimais les hommes et que jétais en manque de leur sexe : « Tu es donc Bi ma chérie, exactement comme moi. » Arrivée sur le palier, je lattirai chez moi et nous nous étions directement dirigées vers ma chambre. Nous nous étions dévêtues mutuellement très sensuellement tout en nous embrassant et en nous caressant. Allongée nue sur le lit, les jambes repliées, Jouvris mes cuisses où le visage de Carine vint immédiatement sy réfugier pour finir ce quelle avait commencé une heure plus tôt.
Elle me complimenta sur lentretien parfait de mon entrejambe et tout en me léchant la fente jusquà mon clitoris, elle enfonça sa langue avant dy enfiler un doigt. Je gémissais, je ne pouvais pas lui parler, je fermais les yeux, ma bouche était ouverte, je sortais des sons inaudibles. Deux doigts prenaient possession de mon vagin, je mouillais fortement, cétait exquis dautant plus quavec son autre main, elle massait délicieusement mes seins et me pinçait de temps à autres, les tétons à tour de rôle. Jétais tellement trempée, que nous entendions le clapotis lorsquelle actionnait ses doigts. Lorsquelle quelle joua avec un troisième dans mon vagin javais explosé de plaisir. Elle sétait relevée pour venir membrasser à pleine bouche :
À demain mon amour.
Mais et toi ma chérie ?
Thomas mattend, tinquiète, je jouirai à mon tour dans un moment.
Tout était allé très vite, après seulement un mois, nous trouvions un moment pour nos câlins coquins, cela me faisait beaucoup de bien, jen avais besoin. Cependant, il me manquait toujours la puissance dun homme et je dois avouer, que je rêvais secrètement de Thomas. Ce samedi-là, après avoir pris du plaisir dans les bras de Carine, je métais aventurée à lancer une petite allusion à ce sujet. Nos chambres étant en vis-à-vis, je lui dis que jentendais tout le soir en me couchant :
Cest vrai Carine tu cries beaucoup lorsque tu jouis avec Thomas. Vous formez le couple idéal. Tu as de la chance.
Tu nas toujours pas trouvé quelquun ?
Personne non ! Enfin aucun avec lequel je pourrais me sentir bien, il me faudrait un type comme Thomas. Jaimerais bien être une petite souris quand vous vous amuser tous les deux.
Je ne te cache pas que jaimerais aussi mais je ne connais pas sa réaction. Je ne lui ai pas parler de nous, imagine quil soit jaloux. Me dit-elle, avant de venir membrasser.
Daprès ce que mavais dit Carine par la suite, avant de se marier, Thomas savait que sa future femme était bi. Ce fut dailleurs lors dune soirée entre amis, alors quelle était avec une amie, quils avaient fait connaissance et depuis, ils ne sétaient plus quittés. Ce soir-là, elle avait attendu le bon moment pour parler à son mari. Elle venait de lui faire amour, lorsquelle lui avoua quelle avait une aventure avec la voisine. Si Thomas fut surpris et jaloux en entendant ses propos, celle-ci fut assez perspicace pour lui faire comprendre quelle laimait plus que tout. Puis elle lui fit comprendre que je fantasmais sur lui.
Depuis que Carine avait parlé à Thomas, je métais rendue compte que le comportement de celui-ci changea vis-à-vis de moi. Il était devenu beaucoup plus intentionné. Nous discutions même tous les deux lorsque nous nous retrouvions sur le balcon et il me complimentait sur ma coiffure, sur mes tenues, cela voulait dire quil me regardait enfin et sintéressait à moi. Tout allait pour le mieux, mais lorsquils étaient partis en vacances quinze jours, restée seule, je me lamentais, jattendais leur retour avec impatience. Je me retrouvais avec un grand manque damour.
Carine mavait conseillée de minscrire sur un site de rencontre, elle avait même créé mon profil. Jen avais profité pour le mettre à jour et deux jours plus tard, javais déjà dix types qui voulaient converser avec moi pour avoir un plans cul. Je nosais pas me lancer, mais jen avais vraiment besoin et sur cette liste, se trouvait un mec qui me semblait très correct. Quelques échanges plus tard, nous nous étions retrouvés en ville. Julien était sympa, assez drôle et son physique me plaisait. Javais donc accepté de boire un dernier verre chez lui.
Tellement pressée de faire lamour à un homme, je métais vite allongée sur le canapé. Il avait la tête entre mes cuisses et me léchait le minou, tout en remontant sa langue entre mes fesses pour titiller mon petit trou. Je ne lui avais pas permis daller dans ce sens, il écouta et sa main caressait mon vagin. Jétais toute excitée quand ses doigts me pinçaient délicatement mon clito. De la cyprine sécoulait sur lintérieur de mes cuisses. Nous nous étions placés pour un 69, je le suçais et le léchais, son gland dur et chaud dans ma bouche, je branlais sa hampe, il avait un sexe énorme. Il le savait le goujat, il me dit :
Tu vas voir, je sais parfaitement men servir.
Je continuais ma fellation, en enfonçant une partie de sa queue, mais je refusai ce quil me demanda : « Une gorge profonde » Il était à cet instant en pleine érection lorsquil dit :
Ah oui ! Tu l'aimes ma grosse bite. Je vais remplir ta petite chatte de salope !
Ça ne me plaisait pas trop comme il me parlait mais javais hâte de le sentir en moi. Il me fit mettre à genoux sur les coussins et me pencher en avant, plaquant ma poitrine sur le dossier du canapé. Il glissa alors son pieu entre mes cuisses, plaça son gland turgescent sur ma fente mouillée, je ne pensais quà prendre du plaisir. Jécartai un peu plus les jambes, ma main posée sur mon clito, je me caressais :
Je vais te baiser comme une chienne !
Julien ménervait, pourtant je poussai mon bassin vers larrière et son gland senfonça inexorablement dans ma fente, il me pénétra sans aucune difficulté mais avec une certaine puissance.
Cochonne ! Je vais te baiser comme jamais.
Je remuais mon cul en même temps quil me labourait sauvagement, je gémissais et criais à chaque fois que ses boules pleines tapaient contre mes fesses. Je jouis très vite, l'orgasme me submergea :
Tu nes quune salope !
Il me lamina pendant quinze minutes, cétait bon, jappréciais ce moment, il se retira, enleva son préservatif et éjacula sur mes fesses, alors que mes jambes tremblaient encore.
Ah !!!! Prends ça, sale pute ! hum ! Oui !
Après cet orgasme, je ne bougeais plus mais il avait encore envie :
Suce-moi ! Je vais t'enculer sale chienne !
Jétais très satisfaite davoir atteint un orgasme, je serais bien restée, cependant, cet homme me dégoutait à présent, il ne mavait apporté aucun signe de tendresse et daffection et minsultait. Ne le supportant plus, je me métais levée en disant :
Non je rentre chez-moi.
Mercredi je continuerai à vous raconter la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sabine, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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