Première Expérience Homosexuelle
J'ai 60 ans aujourd'hui, suis vicieux et pervers, ne refuse aucun plaisir. En y réfléchissant je me dis que c'était inscrit dans mes gênes; en effet je ne pense qu'au sexe depuis jeune ado.
J'ai eu mon premier emploi à vingt-et-un ans, dans une grande boite. Dès mon arrivée j'ai eu droit à une formation, une longue formation de trois mois, alternant quinze jours de stage à Paris, et quinze de pratique dans mon entreprise en province. A la fin de mes quinze premiers à la capitale, on nous a libérés de bonne heure; j'avais réservé un train de nuit, départ à 22h35, et du coup il me reste des heures à . Je pose mes bagages à la consigne de la gare, et je prend le métro pour Pigalle.
Dès la sortie du métro je ne sais plus où aller, tellement tout est attirant. Je me fais accoster par des vendeurs de charmes qui veulent m'attirer dans leurs clubs privés, mais je me décide pour une salle ciné, film X cela va de soi.
J'allais voir régulièrement des films porno à l'époque, et cela n'avait rien à voir avec aujourd'hui. Il s'agissait alors de film hétéro, les spectateurs y venaient en couple, mais aussi en solitaire. Un jour, un des solitaires est venu à côté de moi, et a posé sa main sur ma cuisse. Je me suis effrayé, et ai changé de place. Je l'ai vu alors s'installer près d'un autre mec solitaire. Ils se sont parlé à l'oreille, puis je l'ai vu disparaitre entre les sièges. J'ai longtemps regretté de n'être pas resté avec lui, et de peut-être connaitre ma première pipe gratuite.
Aussi, quand je rentre dans ce ciné cochon parisien, je repense à cette occasion perdue, et espère me rattr.
Je m'habitue à l'obscurité, bien moins sombre que nos salles familiales, et peux distinguer les spectateurs: que des mecs, sages, trop sages. Je suis frustré, puis me rend compte de quelques marches qui mènent à un fonds de salle. J'y vais, le cur battant, et mes espoirs ne sont pas déçus. J'aperçois deux mecs, un sur la gauche du couloir, et l'autre sur la droite.
Je continue vers le deuxième mec, et je stoppe, médusé. Il a la cinquantaine et se branle, et dans la semi clarté je crois deviner une queue énorme, impressionnante. Je n'ai jamais vu une queue en réel, uniquement dans les films, mais elle me semble plus grosse que toutes celles que j'ai vues sur l'écran.
Je m'assied alors entre lui et les deux jeunes pour essayer de tout reluquer. Je mâte les jeunes qui se pompent, mais surtout je ne cesse d'appuyer mon regard sur "mister grosse queue".
Il se rend compte de mon intérêt pour son sexe, et vient s'asseoir deux sièges à côté de moi, le manche toujours à la main. J'ai alors une pulsion au delà de toute réflexion.
Je me décale d'un rang pour venir contre lui, et me saisir de sa queue. Je reste quelques secondes sans bouger, émerveillé par ce que je tiens en main: je n'arrive pas à refermer mes doigts sur sa bite, et n'ose imaginer la taille de son engin. Je me branle tous les jours, plusieurs fois par jour, j'estime avoir une belle queue par rapport à celle que je vois dans les films, j'en fais le tour avec ma main, et la sienne me semble dans la démesure.
Il pose sa main sur ma braguette pour l'ouvrir, mais je le repousse de peur de jouir d'excitation. Une deuxième pulsion incontrôlable me fait me pencher sur lui, à l'instar des deux jeunes qui me montrent l'exemple. J'ouvre grand la bouche, pour le gober entièrement comme j'ai souvent vu des femmes le faire dans les films. Mes intentions sont vite revues à la baisse, et je me contente de son gland qui envahit ma bouche à lui seul; un gland énorme, gros comme un uf. Je le suçote quelques secondes, mais il me repousse, se lève et disparait derrière une porte, sans doute les toilettes.
Je reste penaud, me demandant ce que j'ai pu faire pour qu'il s'en aille.
J'admire le spectacle, puis m'excuse si je me suis mal conduit. Il me dit de ne pas m'en faire, c'est juste qu'il se branlait depuis plus de deux heures, et qu'il en était à la phase de non retour. Aussi la chaleur de ma bouche a accélérer la montée de son plaisir et il s'est retiré ignorant si je pompais à fonds. Puis il rajoute que si je veux le sucer il va se faire un plaisir de bander encore pour moi. J'accepte sa proposition, mais lui dit que je dois me branler moi aussi, pour ne pas jouir dans mon froc.
Je déballe mon sexe, et il me félicite pour sa beauté, me propose de me sucer, à fonds. Je n'ai pas le temps de répondre qu'il est déjà accroupis et me gobe la queue. Je n'ai connu que des putes pour me pomper; et il me donne au moins autant de plaisir. Je me laisse faire, lorsque j'entends la porte s'ouvrir. Je veux me retirer pour ranger mes affaires, mais ses mains se plaquent sur mes fesses, et il me ramène dans sa bouche, se foutant complet de qui peut entrer et nous voir.
Ce sont les deux jeunes, la bite à l'air, fièrement dressée. Je les vois à la lumière, il sont mignons, deux jeunes minets sans doute majeur si on les a laissé entrer, mais j'en doute. Ils s'en foutent de notre présence, comme on s'en fout de la leur, mais après réflexion je pense même que ça nous excite les uns et les autres. Mon mec me suce toujours, tandis que nos compagnons baissent leur froc aux chevilles et se branlent en se roulant des pelles. Puis un des deux se retourne, offre son cul à l'autre, qui le pénètre sans hésiter.
C'est trop, et je jouis sans pouvoir me contrôler. Mon suceur ne s'émeut pas, et continue à me pomper de plus en plus goulument. Je l'entends avaler au fur et à mesure que j'éjacule. J'ai fini de me soulager, et il se relève, me tripote le paquet, et je lui rends la pareille.
- Ils sont beaux ces petits salauds! C'est bon de les voir s'enculer. Je les vois tous les vendredi, tu vas voir, ils se mettent et il se sucent tous les deux. Et toi, tu aimes te faire sodomiser?
Je lui avoue alors que je n'ai jamais connu d'homme, qu'il est mon premier. Il est ravi, et me propose d'aller chez lui pour me dépuceler. Je décline sa proposition, lui disant que j'ai un train à prendre, et que surtout sa queue est trop grosse. On discute, et je lui avoue que je dois revenir dans quinze jour. Il renouvelle son invitation, me promets d'être très doux avec moi, qu'on arrêtera si je ne veux plus, et que je pourrais malgré tout l'enculer.
Les deux minets, font ce que mon nouveau copain a annoncé. Ils s'enculent l'un l'autre, et se finissent dans la bouche. Ils ont fini leur séance exhibitionniste et repartent en salle. On les suit, il me reste encore du temps, et je me repenche sur la bite de mon amant. Il sait que je suis inexpérimenté, et me conseille de toute son expérience. J'apprends très vite, progresse très vite, et du seul gland de ma première tentative, j'en suis maintenant à mi-colonne.
Seule sa queue est à l'air, et ses couilles sont enfouies dans son froc. J'essaie de glisser ma main pour les extirper, sans y parvenir. J'insiste et il me propose d'aller au fonds de la salle. La dernière rangée de fauteuil est contre le mur, et espacée de la précédente pour laisser un couloir de passage. Il se déshabille entièrement, se retrouve complètement nu, et monte sur un siège. Puis il pose un pied sur chaque accoudoir, s'adosse au mur, et m'offre son paquet, cuisses ouvertes.
Je suis debout et j'ai son sexe à hauteur du visage. J'étais fasciné par sa bite, et je le suis tout autant par son énorme paire de boules, proportionnelles à son manche.
- Ouah! ces couilles que tu as, elles sont trop belles.
- Et tu ne les as pas vues avant que je jouisse; elles étaient encore plus grosses.
Je les embrasse, les lèche, les gobe, les suce, tandis que ma main s'active à le branler. Puis je le suce à nouveau et pelote ses prunes. J'alterne son gland et ses couilles dans ma bouche, en même temps que ma main sur ses couilles et sa queue. Il semble satisfait de mon traitement:
- C'est bon petit salaud, tu me fais du bien. Je ne sais pas si c'est vrai que tu n'as jamais connu de mec, mais tu es très doué, tu sais t'y prendre.
Je lui confirme qu'il est mon premier, et que j'ai appris en voyant des films.
Les deux jeunes nous ont rejoint pour assister au spectacle. Je devrais être honteux, me cacher, m'enfuir, mais je m'en fous. Ils pourraient être cent à me regarder que je continuerais quand même, tellement c'est bon.
Le temps s'écoule, et je dois partir. J'ai encore quelques minutes, et il me redit son envie de faire l'amour avec moi. Il me redit encore qu'il ne me pénètrera pas malgré moi, et que ça ne m'empêchera pas de l'enculer. Il me conseille enfin, sachant que je suis puceau, de tester mon cul avec des godes, ou de me trouver des hommes moins bien montés que lui, et qui voudront m'enfiler. Il me donne son numéro de téléphone pour le rappeler si je veux aller plus loin. On échange aussi nos prénoms, pour mieux penser l'un à l'autre.
Je m'en vais, me retourne pour le voir une dernière fois, et aperçoit les deux jeunes qui ont pris ma place alors qu'il est remonté sur les accoudoirs.
22H30, je suis dans le train.
A suivre.............
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