Payez Double
Par ces temps de crise il est parfois difficile de joindre les deux bouts. En plus de mon travail il marrive de faire quelques travaux chez des connaissances. Je me rends donc chez Alice une femme de cinquante ans bien conservée avec un beau petit cul, une bonne paire de seins et pas très grande à peine un mètre soixante. Elle voulait refaire son entrée et son séjour en peinture mais pour des problèmes de cervicales elle ne pouvait pas soccuper du plafond.
Pour commencer je moccupe de gratter les fissures avec la spatule dans le vestibule. Juvrai sur mon escabeau quand Alice me dit : « Ten mets partout regarde ! » Je baisse mon regard et je vois effectivement des petits moreaux de plâtre partout sur le sol mais aussi entre les seins dAlice
Vu den haut cétait impressionnant et javais envie de plonger dans cette gorge profonde. Je mexcuse et je lui demande si elle souhaite que je nettoie sur le ton de la plaisanterie en ne quittant pas mon regard de sa poitrine. Sépoussetant, elle ne me fait non de la tête avec un regard rieur et complice.
Elle nétait pourtant sexy avec sa salopette en jeans mais jai eu limpression quelle ne portait rien en dessous. Quelques frissons parcourir mon bas ventre en men rendant compte.
Je me remets donc immédiatement au travail afin de ne pas voir une bosse se former sous mon pentacourt peu épais. Alice, elle, se met à quatre pattes dans le séjour pour peindre les plinthes quelle venait dacheter. Vu den haut je ne vois donc que son dos. Je gratte énergiquement le plafond mais de plus en plus une seule idée mobsède
Est-elle vraiment nue sous sa salopette ? Je tiens 5 minutes mais il faut que je vérifie. Au moment de déplacer mon escabeau je fais semblant déchapper ma spatule, je me baisse et je tombe sur deux seins légèrement pendant avec de grosses aréoles foncées et deux jolis petits tétons. Je reste scotché devant ce spectacle. En en plus, les coups de pinceaux les font onduler de droite à gauche.
Je suis certain quelle la sentie leffleurer. Je prends lenduit pour combler les fissures et enduit avec le plus de concentration possible. Jentends Alice nettoyer les tasses et elle en échappe une dans lévier. Je lui demande sil ny a pas de casse. Elle me répond que non mais que cest sûrement le café qui ma excitée car il était un peu fort et quelle navait pas lhabitude den boire. Elle se remet à sa peinture. Jarrive enfin à la dernière fissure et je dis à Alice que jai bientôt fini pour aujourdhui et que je reviendrai demain poncer.
Le temps que je tourne la tête je me retrouve le pentacourt et le boxer sur les chaussettes et mon sexe, qui sétait enfin ramolli, happé par la bouche dAlice. Cette fellation fut vraiment une merveille
au bout de deux aller retour je bande comme jamais, Alice pose ses deux mains sur les montants de lescabeau, elle me suce la bite avec application, elle alterne les phases ou elle me gobe le sexe sur toute la longueur et des phases ou elle aspire juste le gland en donnant des coups de langue. Cest divin !!! je profite davoir les mains libres pour faire sauter les attache de la salopette. Le carré situé devant tombe et libère sa poitrine. Ma partenaire, ayant effectivement un peu la nuque raide, se sert de ses bras comme pour faire des pompes pour me sucer. Même si je ne vois que son dos, jentends le bruit de ses lourds seins libres sentrechoquer. Ce bruit a pour effet de sentir la sève montée. Je la préviens. A cet instant elle ne soccupe plus que de mon gland en accélérant ses va et vient. Cest un long qui atterrit au fond de sa gorge. Alice ralentit le rythme et semble apprécier ma semence qui continue de couler. Elle se redresse, ouvre la bouche laissant couler mon sperme tout chaud sur la commissure de ses lèvres. Il descend jusquau menton et tombe sur sa poitrine. Elle défait les deux boutons de part et dautre de la salopette, celle-ci tombant à son tour sur ses chevilles. Je descends de lescabeau pour pouvoir admirer le spectacle non plus vu du ciel mais vu du sol. Vraiment, le temps ne laisse pas la même empreinte sur tout le monde
Alice est extrêmement bandante pour une femme de cet âge. Alice me regarde dans les yeux et me dit :
« Jespère que tu as pris ton pied mais maintenant cest à toi de me montrer comment tu sais te servir de ta bouche !!! ».
Je massois sur la première marche de lescabeau. Alice sapproche de moi soulève ses pieds pour se libérer totalement de sa salopette et lance sa jambe.
Ce cunnilingus na pas tardé à redonner de la raideur à mon membre. Je me relève et caresse sa poitrine poisseuse. Alice me fait tourner avec elle, je me retrouve face à lescabeau et elle de dos. Elle se retourne et monte sur la première marche en tenant de nouveau les montants de ce dernier. Je mapproche, le sexe en avant, Alice vient littéralement sempaler sur mon pieu. Et là, elle commence des ondulations dignes des plus belles danses orientales. En senfonçant elle ondule ses fesses donnant des sensations jamais égalées à ma bite. Elle aussi prend son pied en gérant la profondeur de pénétration et la vitesse. De mon côté, je commence à onduler mon corps et pour la pénétrer au plus profond de ses entrailles. Nos corps sont en sueur en les efforts que nous faisons tous les deux décuplent notre plaisir. Je grogne de plaisir et Alice pousse de petits cris discrets et aigus. Ses seins claquent maintenant, Jessaie de les attr mais la position ny est pas propice.
Si cette histoire vous a plu nhésitez pas à me laisser un ptit message et à lire mes autres histoires. Merci.
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