Le Cadeau D'Anniversaire
Le cadeau danniversaire
Depuis plusieurs semaines je couche avec ma patronne Marie au moins deux ou trois fois par semaine. Cest elle qui décide quand et où : un coup dans son lit conjugal, une autre fois dans mon lit. Je sais que son mari est au courant et quil approuve cette relation sans souci.
Un après-midi alors que nous venons de faire longuement lamour dans mon lit, nous restons allongées côte à côte nues sur le lit. Nous discutons beaucoup de choses et dautres et soudain elle me demande pourquoi depuis le temps que nous couchons ensembles je narrive toujours pas à la tutoyer. Surprise par la question je lui réponds que je ne sais pas, que ça ne mest jamais venu à lidée. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit « est-ce que ça texistes ou est-ce seulement parce que tu noses pas ? Je dois bien lui avouer que le fait de la vouvoyer me donne le sentiment de lui appartenir, dêtre sa chose et queffectivement cela me procure un certain plaisir. Toujours en me regardant dans les yeux elle rajoute : « cest pour ça que cest toujours moi qui vient te voir pour te faire lamour ? Jamais toi ? Jespère que ce nest pas parce que tu te sens obligée ?
Oh, non ! Ai-je répondu, mais jattends toujours avec impatience que vous me le proposiez.
« Ca veut dire que tu veux que je décide pour toi ? Que tu mappartiens ? »
« Oui Marie, jaime que vous disposiez de moi quand vous voulez »
« Je taime très fort » me répondit-elle en caressant mes seins
« Moi aussi je vous aime Marie très fort aussi »
Les choses étaient dites, nous étions amoureuses. Bien sûr lamour quelle éprouvait pour moi naltérait en rien celui quelle éprouvait pour son mari.
Nous fîmes encore une fois lamour avant quelle rejoigne sa maison.
Le lendemain en fin de matinée, elle mannonça que laprès-midi javais un rendez-vous chez son esthéticienne pour une épilation intégrale. Elle me tendit la carte avec ladresse où je devais me rendre à 14h00.
Nous étions toutes deux épuisées, et il nous fallut un long moment avant dentamer la conversation.
Elle me demanda : « Est-ce que tu te sens prête à perdre ton pucelage ? »
« Je ne sais pas lui répondis-je, je nai pas de copain pour linstant »
« Est-ce que tu accepterais que Michel te dépucelle ? Nous aimerions beaucoup te faire lamour tous les deux ensembles, lui et moi ! »
« Si ça vous fait plaisir, je veux bien » lui répondis-je sans même y réfléchir
« Demain cest son anniversaire, mais on le fêtera vendredi soir. Ton pucelage sera son cadeau danniversaire » dit-elle « Mais ne tinquiètes pas, je serais à tes côtés pour que tout se passe bien, tu verras ce sera une superbe soirée pour nous trois »
Le soir venu, seule chez moi, je me maudissais davoir accepté ! Dans quelques jours jallais perdre mon pucelage et cest Marie qui avait décidé avec qui et quand, mais ne lui avais-je pas dit que cest ce que jattendais delle ? Quelle décide !
Le vendredi, elle avait prévu que la journée ne serait consacrée quà se préparer pour la soirée.
Marie choisissait pour moi les modèles à essayer et je dois avouer quelle avait très bon goût. Son choix se porta sur une robe mauve, courte et légère, certes un peu osée, mais vu les circonstances. Le décolleté descendait jusquau milieu de la poitrine, mais layant essayée seins nus, Marie la trouva parfaite. Cest vrai que ma poitrine tenait très bien sans soutien-gorge. Bien sûr il fallut trouver les chaussures qui allaient avec, le choix se porta sur des escarpins avec des talons de 8 10 cm.
Après un bref passage chez Mac do vers midi, direction lesthéticienne, puis la manucure, la coiffeuse et en fin daprès-midi la maquilleuse. Jen avais plein les jambes en rentrant, mais Marie était enchantée et cétait lessentiel. Elle me demanda de me reposer un peu et me dit quelle viendrait maider à me préparer vers 19h00. Comme convenu elle arriva à lheure et en cinq minutes je fus prête, il faut dire que javais juste à enfiler la robe et les escarpins, Marie me voulait nue dessous. Je devais attendre son sms pour aller frapper à leur porte dentrée. Au fond javais hâte que cela arrive.
A 19h30, le sms réceptionné, je sonnais à leur porte. Marie ouvrit la porte et me prit par la main pour me conduire au salon. Michel était assis sur le canapé, un verre à la main, il se leva dès quil nous vit. Il nétait bien sûr pas au courant que jétais son cadeau danniversaire. Marie lui dit : « Mon chéri, voici ton cadeau danniversaire, Amélie est à toi ».
Il bredouilla un « merci mon amour » et embrassa sa femme. Il me détailla des yeux à la tête, je compris que le cadeau était à son goût. Il finit par me dire : « Cest vrai, Amélie ? Vous êtes vraiment daccord ? » Je répondis que oui, et il minvita à masseoir en me servant une coupe de champagne. Dès que je bougeais, ma robe remontait sur mes cuisses, un peu plus haut à chaque fois. Jétais décontractée et je men étonnais moi-même. Je savais que la soirée se passerait bien, et de toute façon je savais que quoi quil se passe jallais me faire baiser. Marie nous proposa de passer à table, Michel me fit asseoir à ses côtés face à Marie. Le repas se déroula assez vite jusquau dessert, jen étais à ma troisième coupe de champagne, cest le seul alcool que je bois et il a tendance à me rendre euphorique si jen . Trois coupes cest la bonne dose pour me décontracter totalement, plus serait risqué. Marie se leva pour débarrasser les assiettes et préparer le dessert, Michel mit un peu de musique douce et tamisa la lumière de la pièce. Il me laissa seule à table et rejoignis Marie en cuisine, puis revint vers moi en disant : « Il va y avoir un bon quart dheure dattente avant le dessert, puis-je tinviter à danser ? » jacceptais volontiers pas mécontente de me dégourdir un peu les jambes.
Michel posa ses mains sur mes hanches en me serrant contre lui, je posais les miennes sur ses épaules et il mentraîna dans un slow langoureux. Je sentais contre mon ventre la protubérance de son sexe. Nous étions joue contre joue, je trouvais quil sentait très bon. Sous mes mains je percevais des épaules larges et bien musclée, ce qui ne me surprit pas car je le savais très sportif. Une de ses mains commença à me caresser de haut en bas le long de ma colonne vertébrale, des frissons de plaisir parcouraient mon corps. Pour lui montrer que jétais sensible à ses caresses, je commençais à caresser sa nuque du bout des ongles en remontant dans ses cheveux.
Le dessert fut vite avalé et Marie proposa à Michel de prendre le café dans leur chambre puisquon pouvait aussi continuer à y danser. Michel se leva et dit : « Je monte mettre la musique, vous me rejoignez les filles ? » Il nattendit même pas la réponse et monta les escaliers quatre à quatre.
Marie me prit dans ses bras et membrassa tendrement puis me demanda : « Ca va ma chérie, tu es bien ? Tu as envie quil te fasse lamour ? » Je répondis que tout allait bien et que javais très envie, elle membrassa du bout des lèvres et me dit de monter le rejoindre, quelle arrivait dans cinq minutes avec le café. Je montais vers la chambre que je connaissais bien. Michel mattendais sur le grand canapé qui meublait le coin de la chambre. Il se leva, me tendit la main et mentraina dans un nouveau slow. Il membrassa fougueusement et ses mains reprirent leur ballet sur mon corps, mais cette fois-ci il nhésita pas à les glisser sous ma jupe pour prendre mes fesses à pleine mains. Je fondais de bonheur sous cette caresse douce mais ferme et virile. Ses mains remontèrent le long de mon dos et il dégrafa le bouton de ma robe, puis fit glisser les bretelles de mes épaules, dévoilant ma poitrine. Plus rien ne retenait ma robe que je sentis glisser à mes pieds. Jétais nue devant lui ! Il séloigna de moi en tenant mes deux mains dans les siennes et me dit : « Tu es magnifique, Amélie ». Puis il me tira contre lui pour que je sorte du cercle que formait ma robe autour de mes pieds. Un nouveau slow commençait et nous reprîmes la danse. Il me caressait les seins délicatement, puis le sexe tout en membrassant sans cesse. Il prit ma main droite et la posa sur la bosse de son sexe que je commençais à masser à travers le pantalon, il apprécia, et je sentis son sexe se durcir sous ma main. A ce moment-là je navais quune envie, cest quil mallonge sur le lit et me prenne. Jouvris les yeux pour essayer de voir où était le lit mais je vis Marie, que je navais pas entendu rentrer, qui nous regardais assise sur le canapé. Elle avait une main sous sa jupe et bien que je ne voie pas sa main, les mouvements des tissus ne laissaient aucun doute sur ce quelle faisait. Cette vision mexcita encore plus ! Michel dut la remarquer aussi car il proposa que nous allions boire le café. Il me fit asseoir à coté de Marie et il avala son café dun trait. Il se mit nu devant nous en un tour de main. Cétait un très bel homme, musclé à souhait, son sexe était dressé et pointait vers le haut. Il sapprocha de nous, nous embrassa tour à tour, et Marie prit son sexe dans sa main. Son autre main attrapa la mienne pour la poser sous les testicules de son mari que je commençais à caresser. Puis elle prit le sexe dans sa bouche et se mit à le sucer, je regardais en essayant de voir comment il fallait faire. Au bout de 5 mn elle le retira de sa bouche et lapprocha de la mienne. Jouvris la bouche et il senfonça jusquà buter contre mon palais. Marie me parlais dans loreille tout doucement en mexpliquant ce que je devais faire pour le satisfaire. Les râles de plaisir de Michel prouvaient que japprenais vite. Marie repris le sexe en bouche et lavala entièrement à mon grand étonnement, elle le garda ainsi quelques secondes au fond de sa gorge, puis me laissa le reprendre à mon tour, jarrivais à engloutir plus de ma moitié de la longueur, mais jeus un haut le cur à la limite du vomissement et il se retira. Marie me glissa à loreille : « Ne tinquiètes pas, cest normal les premières fois, mais je tapprendrais et dans quelques jours tu y arriveras ». Je neus pas le temps de répondre car elle membrassa à pleine bouche.
Marie me prit par la main et mentraina vers le lit, elle me fit allonger entre elle et Michel, et ils commencèrent à me caresser tous les deux. Jouvris largement mes cuisses, la main de Michel me caressait la fente très délicatement, écartant mes lèvres pour mieux accéder à mon bouton qui était gonflé de désir. Il vint me sucer longuement, cétait un peu moins délicat que quand Marie le faisait, mais très agréable tout de même, il aspirait mon clitoris me procurant de petits cris de plaisir. Marie caressait ma poitrine, membrassait ou me parlait doucement à loreille. Je caressais dune main la bite de Michel et de lautre les seins de Marie. Elle dut percevoir que jétais à deux doigts de jouir car elle descendit embrasser Michel pour quil cesse de me sucer en lui susurrant : « Pas de suite chérie, fais durer ». Michel vint placer son sexe devant ma bouche pour que je le suce, et il senfonça doucement entre mes lèvres. Je mappliquais à suivre les conseils de Marie pour lui faire plaisir, et jessayais de le prendre le plus profondément possible. Jarrivais à prendre les trois quarts de la longueur mais fatalement des hauts le cur mempêchaient davaler la totalité comme Marie le faisait. Chaque fois quil ressortait pour que je puisse reprendre mon souffle jétais haletante et proche du vomissement. Marie mencourageait à loreille : « Cest bien ma chérie, tu y arriveras très vite, tu verras dans quelques jours ça deviendra naturel».
Après quelques minutes, Michel ne pouvait plus attendre plus longtemps pour me prendre. Il sallongea sur moi, mes cuisses senroulèrent autour de sa taille et mes mains autour de son cou. Il saida dune main pour placer sa bite à lentrée de ma chatte et me pénétra dun coup. Bizarrement je ne ressentis aucune douleur, juste une sensation étrange quand il buta au fond de mon vagin. Il resta un court instant sans bouger, et encouragé par Marie il commença à me baiser, dabord doucement, puis de plus en plus vite. Cétait merveilleux, je poussais de petits cris à chaque fois que son ventre claquait contre ma chatte, Marie me parlait sans cesse en me caressant les seins et en membrassant. Quelques instant de ce pilonnage suffirent à me faire partir, je me mis à crier très fort, je voyais des étoiles. Michel se mit aussi à pousser de grands cris rauques et je sentis sa semence gicler dans mon ventre. Ses va et vient se firent plus lents jusquà ce quil se plante au fond de mon vagin en continuant à gémir. Il resta quelques instants en moi, puis se retira et sallongea à côté de moi en respirant très fort. Je restais ouverte, inerte sur le lit sans arriver à reprendre mon souffle. Marie me caressait délicatement en évitant de toucher mes tétons sachant quaprès un tel orgasme le contact serait douloureux. Je me sentais vidée de toute énergie, incapable de bouger. Je sentais le sperme séchapper de ma chatte en un filet continue. Marie commença à me parler : « Tu as bien joui ma chérie, heureusement quon na pas de voisins, tu as crié si fort ». Je la regardais en hochant la tête pour lui dire que oui, javais joui très fort, mais jétais encore incapable de parler.
Michel avait repris son souffle et il membrassa, puis il commença à me caresser tout en me remerciant du plaisir quil avait pris et en remerciant sa femme pour le superbe cadeau quelle lui avait offert. Je restais toujours immobile, caressée par eux deux. Au bout dun moment, je me mis aussi à les caresser, une main pour chacun. Je tenais la bite molle de Michel mais doucement elle regonflait dans ma main, leurs caresses recommençaient à passer sur mes seins et ma chatte faisant à nouveau monter le désir. Marie me fit mettre à quatre pattes et se glissa sous mes seins pour les sucer pendant que Michel caressait mes fesses et sa bite ne tarda pas à redevenir opérationnelle. Il se plaça derrière moi et me pénétra de nouveau. Les coups de boutoir étaient moins violents et plus lents. Javais la tête au-dessus de Marie que jembrassais en lui caressant les seins, Michel lui caressait la chatte dune main sans cesser de me limer la chatte. La position était très agréable et je sentais une agréable chaleur monter dans mon ventre. Michel avait maintenant deux doigts qui allaient et venaient de plus en plus en plus vite dans la chatte de sa femme qui partit dun coup dans un orgasme violent la faisant hurler de plaisir. Michel planta sa queue au plus profond de mon ventre et resta immobile de longues secondes sans jouir. Puis il se retira et me fit allonger à côté de Marie et il dit à sa femme : « suces moi salope, fais-moi jouir ! » Elle prit son sexe dans la bouche quelques minutes, puis il vint dans la mienne et ainsi de suite pendant un bon moment. Pendant que je le suçais Marie me glissa dans loreille : « Il ne va pas tarder à jouir, fais le venir dans ta bouche et avales tout son jus » puis elle se mit à califourchon sur ma tête et se mit à lembrasser. Javais sa chatte qui coulait sur mon visage et la bite de son mari dans la bouche, ma main gauche tenait les fesses de Michel et je me caressais avec la main droite. La position et la situation étaient très excitantes. Je garde depuis lors cette image en tête et il marrive encore aujourdhui de me masturber en y repensant. Au bout de quelques secondes, Michel prit sa bite en main et se branlât en laissant juste son gland dans ma bouche. Ses mouvements devinrent très rapide et dun coup il senfonça dans ma bouche et éjacula en criant que cétait bon. Jeus un haut le cur mais javalais son jus chaud et doux. Il se laissa tomber à côté de moi et Marie me roula une pelle magistrale, sans doute pour récupérer quelques gouttes du précieux liquide. Cétait la première fois que javalais du sperme et je trouvais cela très bon. Nous nous retrouvâmes allongés tous les trois, moi au milieu. Le lit était très large, plus de 2 mètres et nous étions couchés sur le dos, étalés comme des larves sans être serrés. Personne ne parlait, jétais plongée dans mes pensées, me demandant pourquoi javais attendu si longtemps avant de connaître cet immense plaisir. Mais je me disais aussi que si je lavais fait plus tôt, les conditions nauraient pas été aussi agréables. Marie mattira vers elle et je me mis blottie en chien de fusil dans ses bras. En serrant mes cuisses lune contre lautre je sentais le sperme les coller. Javais un arrière-goût de sperme dans la bouche que je trouvais agréable et je mendormis ainsi, heureuse de mon sort.
Le lendemain matin je me réveillais, toujours couchée en chien de fusil dans les bras de Marie qui dormait, mais je sentais derrière moi la présence de Michel dont la main commençait à me caresser le dos. Je me laissais faire en faisant semblant de continuer à dormir. Ses caresses devinrent vite plus insistantes sur mes fesses, puis il promena un doigt du haut de ma raie jusquà ma chatte, la caresse était agréable, je mouillais et je tendis mes fesses vers lui pour linciter à continuer. Je sentis sa bite durcir contre mes fesses. Ses doigts commencèrent à rentrer dans mon sexe, dabord un, puis deux. Je tendis encore plus mes fesses pour mouvrir et je sentis sa queue chaude et bien dure rentrer dans mon ventre. Il allait et venait tout doucement et quelques gémissements de plaisir sortaient de ma gorge. Il me baisa ainsi interminablement, et dun coup je le sentis se crisper et sa semence chaude envahit mon vagin. Il resta en moi quelques minutes en continuant à me caresser, je sentais sa bite dégonfler lentement. Il se retira enfin et se leva tout doucement persuadé que nous dormions toujours. Jouvris les yeux un court instant, Marie dormait toujours, je me laissais donc aller sans bouger en somnolant. Jentendis vaguement la douche couler puis Michel shabiller dans le dressing et quitter la pièce.
Cest en sentant Marie sétirer à côté de moi que jouvris les yeux. Il faisait très clair dans la chambre, et en me retournant je vis au radio réveil quil était à peine 9 heures. Je me dis que Michel avait dû me baiser très tôt le matin. Marie membrassa en me serrant contre elle et me demanda si je voulais un café. Elle se leva, enfila un peignoir et quitta la pièce en me disant de lattendre. Je restais couchée. Elle revint très vite avec un plateau garni de deux grandes tasses de café, dune brioche et de deux verres de jus de fruits. Nous déjeunâmes assises en tailleur sur le lit. Elle me demanda si jétais contente de la soirée, je lui répondis que oui ! Elle passa une main sous le drap et la posa sur ma cuisse. Elle remonta vers ma chatte bien ouverte vu la position en tailleur et sexclama : « Petite coquine, Je vois que Michel ta déjà baisée ce matin ! ». Je lui racontais donc lépisode du petit matin, qui sembla lexciter. Elle me raconta que Michel était coutumier du fait et lui faisait souvent lamour au réveil. Nous plaisantâmes sur le sujet. Après le petit déjeuner, nous sommes restées au lit et avons longuement fait lamour. Nous avons joui très fort toutes deux, jai beaucoup aimé quelle lape tout le sperme qui sécoulait de ma chatte et lavale.
Nous étions encore au lit à 11h00 en train de papoter quand le téléphone sonna. Cétait Michel ! Ils échangèrent deux ou trois phrase et elle me demanda si javais quelque chose de prévu pour la suite de la journée, je répondis que non. Elle me dit que Michel proposait de sortir déjeuner, jacceptais. Ils discutèrent quelques minutes de plus et optèrent pour un pique-nique vu que le temps était splendide. Marie se leva et me dit, bon Michel passe chez le traiteur et on va déjeuner au bord de la Garonne avec le camping-car. Jignorais jusquà ce jour quils avaient un camping-car. Marie mexpliquas quils lavaient depuis 7 ou 8 ans mais quils lutilisaient rarement. Je demandais a Marie comment il fallait shabiller, elle me dit : « Décontractée, jupe ou short avec un tee-shirt » puis elle ajouta avant que je sorte : « pas de sous-vêtements, Michel sera content de pouvoir nous peloter en se promenant, tinquiètes pas lendroit où on va est désertique ». Je filais chez moi en souriant pour me préparer. Je décidais de prendre un bain vu quil était à peine onze heures et je trainais un peu dans la salle de bain sans voir le temps passer. Jétais encore en peignoir quand Marie frappa à la porte de séparation quelle ouvrit sans attendre que je réponde. Elle me rejoint dans la chambre alors que je cherchais dans mon dressing ce que jallais bien pouvoir me mettre. Elle portait une jupe noire, courte, plissée, un tee-shirt qui laissait pointer ses tétons et des baskets. Elle plongea dans mon dressing et choisit pour moi une jupette légère à peine plus longue que la sienne et un débardeur. Jenfilais des baskets et nous voilà parties. Elle mentraîna le long du chemin gravillonné qui senfonçait dans le bosquet derrière la maison. Le chemin était étroit et je marchais derrière elle, mamusant de voir sa jupe se soulever à chaque pas et dévoiler la naissance de ses fesses nues. Je sentais la mienne faire de même, mais comme elle était un peu plus longue je pensais ma tenue était moins osée. Ceci dit je la trouvais toujours aussi belle et élégante malgré lindécence de la tenue. Une centaine de mètres plus loin, à la sortie du bosquet, il y avait un grand hangar invisible depuis la maison. A lintérieur je remarquais plein dengins dentretien pour le parc et un immense camping-car de luxe que Michel essayait de faire démarrer. Marie me fit visiter lintérieur qui était plus luxueux et plus spacieux que tous ceux que javais vu jusquà présent. Je laidais à ranger ce que Michel avait acheté pour déjeuner, plus ce quelle avait apporté dans une glacière. Le camping-car démarra enfin, Michel débrancha la prise extérieure et nous voilà partis. Marie et moi étions confortablement installées dans un canapé à larrière à discuter et à plaisanter.
A peine 30 mn plus tard nous arrivâmes devant un vieux portail tout rouillé que Michel eût du mal à ouvrir et quil referma derrière le camping-car. Marie me précisa que le terrain leur appartenait et quil était entièrement clôturé : donc on ne risquait pas de croiser qui que ce soit. Encore 5 mn à rouler à travers bois sur un chemin juste carrossable et le véhicule simmobilisa enfin au bord dune falaise. La vue était superbe du haut de cette colline et on devinait la Garonne au loin en contrebas mais aucune maison en vue. Je contemplais la vue accoudée au garde-fou quand Marie me demanda de laider à mettre le pique-nique en place. Michel avait installé un parasol immense, une table de camping ronde et 3 fauteuils. Jaidais Marie à mettre la table et nous passâmes à table.
Nous venions juste de prendre le café quand Michel proposa une ballade. Dix minutes après, tout était rangé. Michel était très joyeux, content de se promener et de courir dans les bois. Marie et moi marchions côte à côte en discutant. Michel marchait devant ou derrière nous en sifflotant. Le tour du bois nous prit une bonne heure avant de revenir au camping-car. Marie sattela à finir de ranger et moi je maccoudais à la rambarde pour profiter du paysage. Rapidement je sentis Michel derrière moi qui glissa ses mains sous mes vêtements pour me tripoter les seins et les fesses, je posais ma main dans mon dos sur son pantalon et je commençais à lui caresser la bite. Rapidement il me retourna, menleva mon tee-shirt quil jeta vers le camping-car et il membrassa. Une main écarta mes cuisses et il introduit deux doigts dans ma chatte, marrachant un cri de plaisir. Il me pistonna ainsi quelques instants me faisant crier de bonheur. Il ouvrit sa braguette et me fit accroupir pour que je le suce. Il essayait de senfoncer de plus en plus profond dans ma gorge, mempêchant de respirer, puis il se retirait quelques secondes me laissant reprendre mon souffle avant de replonger dans ma bouche. Jentendais Marie dans le camping-car qui faisait la vaisselle. Dun coup la bite senfonça entièrement dans ma gorge provoquant un violent haut le cur, je me relevais à la limite du vomissement et me mis à tousser. Il sexcusa et Marie sortit du camping-car en lui criant dessus : « Fait doucement Michel, tu vas la dégouter si tu la force ! » il ne répondit pas et me prit dans ses bras tendrement. Marie continua : « Venez baiser dans le camping-car, ce sera plus confortable ». Il membrassa longuement et me dit : « On y va ? ». Je répondis oui et il mentraina dans le véhicule, je ramassais mon débardeur au passage, et je le suivis sur le grand lit qui occupait tout larrière. A peine quelques caresses et il ouvrit mes cuisses à léquerre, les maintenant fermement plaquées de chaque côté de mon buste, il membrochât dun coup. Je criais de douleur sous la violence de la pénétration, mais quelques coups de rein plus tard, cest de bonheur que je commençais à crier. En quelques minutes jeus un orgasme violent, à tel point que je faillis mévanouir. Il se retira sans avoir éjaculé et me laissa reprendre mes esprits. Il se leva et rejoint Marie qui feuilletait une revue sur le canapé, à quelques mètres de nous. Je les vis sembrasser plusieurs fois et se caresser. Lui bandait encore très fort, je me surpris à être presque jalouse quil mait laissé là sans avoir joui dans mon ventre. Je le vis chuchoter à loreille de Marie plusieurs fois, il semblait insister sans que je nentende ce quil disait. Jentendais juste Marie répondre plus fort quil était trop tôt sans savoir de quoi elle parlait. Puis elle finit par dire doucement, mais suffisamment fort pour que je lentende : « Daccord, mais tu me laisses la préparer et tu attends que je te dise dy aller ! Et si ça ne vas pas tu ninsistes pas ». Il accepta et lembrassa. Puis ils vinrent tous deux me rejoindre. Marie se mit nue, et commença à me caresser et à membrasser. Michel était allongé à côté de nous, il se tripotait la bite en nous regardant. Le désir montait en moi et Marie savait comment faire pour que je mouvre sans pudeur. Ça mexcitait que Michel nous regarde faire lamour. Mais je compris très rapidement pourquoi elle me préparait. Un de ses doigts caressait mon anus avec insistance et sintroduisait petit à petit dedans. La sensation nétait pas agréable, ni désagréable dailleurs. Je ressentais juste une légère gêne mais je laissais faire de peur de la vexer. Rapidement elle introduisit le doigt en entier, puis un second. Je ressentais toujours de la gêne, mais elle me murmurait de me décontracter, de me relâcher. Elle essayait décarter ses deux doigts pour mouvrir un peu plus. Au bout dun moment elle retira ses doigts et me fit mettre à quatre pattes, puis elle remit ses deux doigts en place tout en me caressant le ventre et les seins de son autre main. Je me laissais aller, je commençais même à trouver la pénétration presque agréable. Michel commençait aussi à me caresser, puis il vint placer sa queue devant ma bouche et je commençais à le sucer. Il ne resta que quelques courtes minutes dans ma bouche et vint se placer derrière moi. Je tournais ma tête vers Marie, qui suçait ses doigts fraîchement sortis de mon anus, pour lui dire que je ne voulais pas, que je nétais pas prête. Je neus le temps de rien dire, Michel senfonçât dun coup sec dans mon trou jusquà la garde, je poussais un grand cri de douleur en essayant de davancer pour me soustraire. Mais Michel me tenait fermement par les hanches et je ne pouvais méchapper. Il restait là, immobile au fond de mon cul qui me brûlait atrocement, je disais sans cesse « non, non, pas ça ! ». Marie me parlait sans cesse me disant que ça allait passer, mais sa voix neffaçait pas la douleur. Elle glissa sa tête sous ma chatte et entreprit de me sucer, Michel ne bougeait toujours pas. Puis petit à petit la douleur sestompa, mes sphynxers se relâchaient sous leffet des caresses de Marie. Je sentis même que sa bouche ne tarderait pas à me faire jouir sil ny avait pas la gêne provoquée par cet énorme pieu planté au fond de mes entrailles. Certes la douleur avait presque disparu mais il commençait à aller et venir en moi. Marie continuait à me lécher et les coups de boutoir faisaient aller et venir mon clitoris sur sa langue. Soudain le pilonnage de mon anus saccéléra et je sentis le sexe se raidir et il éjacula bien planté dans mon trou en poussant de petits cris de plaisirs. Je criais aussi mais de douleur plus que de plaisir, surtout quil avait serré mes hanches très fort pour que je néchappe pas à mon sort. Il sallongea à nos côtés pour reprendre ses esprits. Je mallongeais aussi, mais Marie me releva de suite les jambes et enfouis son visage entre mes cuisses. Elle reprit ses caresses sur ma chatte du bout la langue, me faisant rapidement oublier la douleur lancinante de mon anus en train de se refermer. Elle léchait tout le sperme qui sécoulait de mon cul pour le boire, en moins de cinq minutes je hurlais de plaisir. Elle sallongea à côté de moi en me caressant le visage du bout des doigts sans rien dire. Jouvris les yeux et la regardait dans les yeux pour la remercier sans parler. Cest à peine si je remarquais que le camping-car démarra, je mendormis.
Elle me réveilla délicatement une fois arrivés à la maison, Michel sarrêta devant ma porte, elle lui dit quelle restait un moment avec moi, il lui dit quil allait ranger le camping-car et quelle pouvait prendre son temps. Elle maida à me relever, jétais nue avec juste mes baskets au pied, elle ramassa ma jupe, mon tee-shirt et mon sac à main en me demandant si les clefs étaient dedans, je répondis que oui. Je sorti ainsi et elle maida à monter les escaliers. Elle mamena jusquà mon lit sur lequel je maffalais, elle retira mes baskets et je restais ainsi sur le lit. Je me sentais exténuée mais je navais pas envie de dormir. Elle alla dans la cuisine et nous prépara un café que nous bûmes assises au bord du lit. Elle me demanda si javais mal à lanus, je lui répondis : « oui, un peu ». Elle se leva et me dit : « Attends-moi cinq minutes, je vais chercher quelque chose qui te soulagera et je reviens. Prends une bonne douche en attendant. »
Je sortais de la douche lorsque je lentendis fermer la porte de séparation à clefs : sans doute pour que Michel ne vienne pas nous rejoindre. Elle avait pris une douche aussi et était en robe de chambre. Elle me fit allonger à plat ventre sur le lit et appliqua une crème sur mon anus. Elle se mit nue et se glissa sous la couette avec moi. Elle me demanda si jétais satisfaite de ce qui sétait passé, je lui répondis que jétais heureuse davoir perdu mon pucelage et que je ne regrettais rien.
« Même pas davoir été sodomisée ? » rajouta telle. Je la rassurais en lui disant que non, je ne regrettais absolument rien. Elle était accoudée et de son autre main elle caressait mon visage et déposait entre chaque phrase des baisers sur mes lèvres. Elle me trouvait merveilleuse et ne cessait de féliciter ma disponibilité pour elle, pour son mari. Elle était heureuse que je lui appartienne. Après un long baiser elle me demanda : «Et pour Michel ? Tu comptes coucher encore avec lui ? »
- « Je ne sais pas, peut-être sil en a envie et que vous êtes daccord
- Moi ça ne me gêne pas, mais cest toi qui doit me dire si tu en a envie ou pas et puis Michel je suis sûr quil en a envie aussi »
- Moi aussi jen ai envie
- Je taime ma petite chérie
- Je vous aime Marie »
Un long baiser ponctua cet échange et je finis rapidement par mendormir dans ses bras.
Pendant quelques semaines je sortais très peu de la propriété, entre le travail et de folles étreintes jétais très occupée. Je faisais souvent lamour avec Marie en fin daprès-midi avant que Michel ne rentre. Lui aussi venait souvent me baiser ou menculer le soir, parfois vite fait sur le canapé ou à peine troussée courbée sur la table ou le plan de travail de la cuisine. De temps en temps il passait la nuit avec moi, et me faisait lamour au réveil. Très rapidement je maitrisais la fellation en gorge profonde et la sodomie devenait de plus en plus agréable à chaque fois me procurant même de beaux orgasmes. Plus rarement nous faisions lamour à trois.
En huit mois la petite allumeuse du lycée avait bien changé et ce nétait pas fini.
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