Avec Le Colloc Lors Du Déménagement
Un de mes potes devait déménager de la maison de ses parents dans une colocation plus près de la fac. Pour cela, jai été réquisitionné afin de laider à transporter ses affaires. Au bout du compte ça a pris pas mal de temps. Jai rencontré son colocataire : un homme, un peu trop âgé pour faire une colocation (près de 35 ans), ni beau ni moche mais sympa. Il nous a aidés à monter les cartons et on a déjeuné ensemble.
Au bout de 2 heures, au cours desquelles on a monté les cartons jusquau 5ème étage et bougé les meubles dans lappartement, mon pote nous a laissés finir pour aller en cours. Aussi nous avons continué à bouger, vider puis remplir la chambre. Cétait le printemps mais il faisait très chaud tout de même. On était en sueur.
Comme il faisait moite, nous avons enlevés nos tee-shirts et étions torse nu. Je pouvais voir la sueur couler sur son torse légèrement poilu et ça commençait à me faire de leffet. Je voyais la transpiration perler sur sa peau, et jimaginais son odeur virile après autant dexercice. Je commençais donc à le regarder plus longtemps et il sen est rendu compte. Je me suis retourné et remis au travail.
Il sest approché sans que je lentende et soudainement, je lai senti se coller dans mon dos. Jétais très troublé par ce que javais vu et par la surprise engendrée par ce contact. Je nosais pas trop bouger, ou même parler. Je sentais son souffle sur mon cou. Il a posé ses mains sur mon torse et ma caressé. Collé à moi, je sentais la chaleur de son corps, ainsi que son érection, même à travers nos pantalons. Ses mains devenaient baladeuses tandis quil faisait tomber mes derniers vêtements.
Il sest mis à me lécher le cou, ce qui ma procuré de grands frissons électriques. Je tenais à peine debout, cest lui qui me retenait. Il ma ensuite laisser glisser sur le sol, tout nu ; il sest allongé sur moi, ma embrassé, puis a continué de me lécher tout le torse jusquau bassin.
Arrivé à mon bassin, il a enfin pris ma verge dans sa bouche et ma sucé divinement bien. Bien, mais toujours lentement ; il passait sa langue lentement sur toute la longueur de mon pénis pour ensuite à peine titiller la corolle de mon gland avec le bout de sa langue.
Me voyant sur le point de jouir, il sest retiré mais a continué à me masturber de plus en plus vite. Jai finalement éjaculé dans les airs, et mon sperme mest retombé dessus. Il ma masturbé encore un peu ce qui provoquait des spasmes dans mon bas ventre.
Il sest remis sur moi et ma embrassé, mon sperme faisait glisser sa peau sur la mienne. Je voulais lui rendre la pareille mais il ne lentendait pas de cette oreille. Il sest agenouillé, ma fait me mettre à 4 pattes sur le parquet. Il a craché sur mes fesses, a positionné son pénis à lentrée de mon anus et ma pénétré tout doucement à un rythme régulier. Tellement doucement que ça en devenait frustrant. Je râlais de plaisir et de frustration.
Il est finalement arrivé jusquau bout et a commencé un lent mais très puissant mouvement de bassin. Sa queue me pénétrait à chaque fois aussi loin quelle le pouvait. Cétait délicieux. Je gémissais de plaisir à chaque fois que sa bit atteignait le fond de mon cul ; et je sourais comme un bienheureux.
Il me pilonnait toujours très fort et à fond. Ses bourses touchaient les miennes à chaque mouvement et je sentais toute la longueur de sa bite sinsérer en moi. Cette sodomie a duré assez longtemps et on était vraiment en sueur. De fois il léchait la transpiration sur mon dos le long de la colonne vertébrale ce qui mélectrifiait. Et sa position mélectrisait ; il donnait le sentiment de me dominer complètement : il nétait plus à genoux, il avait un pied au sol, la jambe pliée, et son buste au-dessus de moi, comme sil voulait me chuchoter quelque chose à loreille.
Alors quil me sodomisait en levrette sur le sol, mon ami est rentré. Il avait décidé de sécher les cours pour finir le déménagement. Il est entré et nous a vus sur le sol en pleine action. Jétais gêné et honteux, mais je ne voulais pas non plus arrêter et le colloc continuait à me chevaucher de toute façon. Tout ce que je pouvais faire cétait ne plus crier. En revanche, je ne pouvais réprimer un gémissement à chaque pénétration, comme je ne pouvais détourner le regard de mon ami, qui fixait la scène, ne sachant pas quoi dire apparemment.
La situation a dû exciter le colloc car il a dit, assez distinctement pour que mon ami entende, quil allait jouir dans sa « petite salope ». Il a éjaculé dans mon cul et la sensation de son sperme me remplissant ma fait jouir et crier de plaisir « AH OUI cest bon ». On sest écroulé sur le sol, lui complètement sur moi, et mon ami est sorti. Le colloc a donné quelques derniers coups de bassin pendant que jétais au sol sur le ventre, comme pour finir de se vider. Puis il est parti. Je lai rejoins sous la douche où je lai sucé.
Depuis la relation avec mon ami est différente. On se voit moins, et quà la fac. Sauf quand je vais chez lui pour baiser avec son colloc. Je ne peux mempêcher de baisser les yeux quand jy rencontre mon ami car il sait que je viens juste pour me faire prendre par un mec plus vieux, et ça me gène. Ca me gène aussi quand je crie de plaisir car je sais quil mentend et quil entend les commentaires salaces de son colloc. Mais cette gène mexcite également.
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