1830

1830 : Blottie dans ma chambre, je rêve encore à ce jeune homme qui m'a été présenté cet après midi. Il me semble d'un bon partie : il a une entreprise de tissage avec une bonne centaine d’ouvriers, de femmes et d's. J'ai cru comprendre qu'il avait une bonne fortune personnelle. Ce n'est pas qu'il me plaise particulièrement. Je n'ai pas mon mot à dire. S'il me demande en mariage je suis sure que mes parent accepteront.
La cérémonie a lieu demain, ma mère me donne les conseils comme a fait sa mère pour elle. Je comprends vaguement que je sois accepter ce que me fera Maurice. Elle ne précise pas ce qu'il me fera.
C'est bête d'être tenue éloignée d'une chose importante. Je verrais bien après. Mon après la cérémonie à l'église, c'est un repas de famille pantagruélique. Maurice est malade d'avoir trop abusé des plats et de la bouteille. Il fini sa nuit dans une chambre, sans moi qui reste dans l'habituelle. Le mariage commence bien. Si c'est ce que voulais dire ma mère, je suis bien avancée.
Dès son réveil passablement mollasson, nous partons pour le voyage de noce. La patache nous emmène loin à trois lieux au moins. Nous trouvons une chambre luxueuse. Nous restons à bavarder de notre nouvelle condition. Le soir, nous devons nous coucher. Je sens que va avoir lieu le reste de la cérémonie. Je me prépare derrière le paravent : je suis assez sage en portant un chemise de nuit un peu courte : elle arrive aux niveaux des chevilles.
Maurice m'attend en chemise de nuit bien plus courte, elle arrive à ses genoux. Je remarque les mollets poilus. C'est maintenant à lui d'agir : je dois accepter ce qu'il va faire. J'en ai une très vague idée.
Il est très proche de moi. Sa bouche s'approche de la mienne, je sais que s'est normal qu'il m'embrasse. Ses lèvres touchent les miennes en en éclair. Je n'ai pas senti grand chose. Il me prend dans ses bras, me pose sur le lit, se couche près de moi. Ça y est ; c'est commencé. Demain je saurais tout.


Elle relève ma chemise de nuit au delà des hanches. Il découvre tout ce que je cachais ; mes poils d'en bas, mes cuisses, mon entrejambe. J'ai honte de monter tout ça. Il est presque sur moi quand il lève sa chemise : apparaît un autre membre plus petit d'un bras ou une jambes. Je regarde ce truc avec comme des sacs poilus juste en dessous. Il vint vers moi avec se machin tendu.
Je vais vous faire l'amour. Voulez vous ?
Je ne sais pas de quoi il s'agit.
Votre mère ne vous a rien dit ?
Si, mais je n'ai rien compris, sauf que je sois vous obéir, moi qui n'aime pas obéir.
Voue obéirez pour mon plaisir.
Il se couche presque totalement sur moi ? Je le vois prendre son outil pour le mettre juste sur mon bijou. Il pousse pour y entrer. Il me fait mal le sagouin. Il a pourtant l'air satisfait. Il entre et sort de moi comme d'un lieu public. Je ressent finalement une bizarrerie:un drôle de plaisir, comme me suis satisfaite ou la soif comblée. Il continu à me labourer le ventre. J’obéis à ma mère, mais en plus j'ai comme un plaisir inconnu. Je le sens grossir dans mon ventre. J'apprécie quand je sens son membre avoir de drôles de spasme. Je xens comme un liquide venir par secousse. Et je part là bas où se trouve des plaisirs ignorés. J'ai moi aussi des spasmes dans mon étui. Je voudrais qu'il continue. Surtout que nos mouvement nous ont mis totalement nus.
Veuillez attendre un instant pour la suite. Je vous tournerez pour aimez vos fesses.
Mes fesses ? Qu'est ce qu'elle sont mes fesses ?
Elles m'attire comme votre écrin attire ma bouche.
Je ne comprends rien ,en tout cas il écarte mes jambes, ce qui n'est pas dur, il y passe sa tête. Il la monte bien haut ? Je comprends où il veut aller ; je ne comprends pas ce qu'il va y faire. Ses lèvres lèchent lentement toute ma féminité. Je devrais en sentir du dégoût : j'ai encore un plaisir plus fort que le premier. Je sens que je jette un liquide dont il se repaît. Il vient m'embrasser sur la bouche, Cette fois il ouvre ses lèvres en sort sa langue pour la mettre dans ma bouche.
Il est malade ce type ! Mais c'est bon ce baiser avec les langues. Il a goût à mon bas ventre. Comment peut-il aimer ce goût affreux. Il se tourne sur moi. J'ai son membre près de la bouche. Il ne veux quand même pas que je lui fasse une bise à cet endroit. Il me tourne aussi sur lui. Sa tête est sur mon bijou. Il me lèche encore. C'est bon, je le laisse faire. Il me force à prendre son membre dans la bouche. Ça a un drôle de goût, pas désagréable. L’instinct sans doute fait que je mange son membre en le léchant comme il m 'a fait. Je le rentre le plus profond possible entre le palais et les joues. Je compare le plaisir qu'il me donne à celui que je lui fait certainement. Il me surprend en me donnant son jus.
Nous restons collés pendant que je lui caresse son machin qui a dégonflé. Il se remets en forme. Je le veux encore. Tiens qu'il aille me fouiller les fesses. Je ne lui ai pas demandé ; il passe son machin dans la raie de fesses. Mon dieu, il va vouloir entrer dans mon petit trou qui est trop étroit. Il me laisse tranquillement sur le dos. Il me demande de passer ma main sur mon sexe. Je ne l'ai jamais fais, je ne vais pas commencer ce soir. Il approche son bout très proche de mon petit anus. Il le pose même. J'ai beau forcer pour ouvrir de trou, je n'y arrive pas bien.
Il prend ce qui coule de mon bas-ventre, en mets à l'entrée du trou visé. Je le sens quand il est dessus. Il glisse pour avoir trop mis de liquide. Quand le surplus est évacué,il commencement longue pénétration. J'ai mal ; je n'ai plus mal, il me fait du bien. Je repars dans le paradis. Je sens ses boules contre les fesses ? Je passe ma main sur mon sexe, comme il me le disait : un autre plaisir s'ajoute à l'autre. Je me laisse aller quand il jouit aussi.
C'est notre première fois. Tu es douée, nous auront de grandes jouissances
Il a raisons nous nous aimons chaque jours il m'a appris à me masturber devant lui, je le fais même en son absence. Un jour j'en ai un peu parlé à ma mère qui était étonnée que je jouisse ainsi avec mon mari : elle a un amant.

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