La Balade En Voiture
Nous roulons en voiture. La soirée fut magique, juste tous les deux à boire un verre... ou plutôt quelques-uns. Jai lesprit légèrement embrumé par lalcool. Je me sens excitée. Nos conversations coquines des dernières heures y sont évidemment pour quelque chose
ainsi que tes lèvres sapprochant du verre que tu sirotais, tes regards malicieux en coin, tes belles mains, fortes mais douces, qui par un hasard si bien calculé, ont frôlé mes doigts à quelques reprises. Jai envie de toi. Mon sexe est déjà bien humide. Tu sembles concentré sur la route. Les-tu vraiment ? Tu me tires soudain de ma rêverie : « Dis, tes certaine que tu mécoutais là ? » Je te regarde, la moue un peu coupable dun pris en flagrant délit. Je ne técoutais plus, il faut bien lavouer
Sans que je naie à dire quoi que ce soit, tu as compris. Tu me lances un regard plein de désir et damusement à la fois, dégageant mon visage dune boucle brune qui ce soir ne souhaitait décidément pas rester en place. Sans cette mèche rebelle derrière laquelle me cacher, je me sens maintenant mise à nue et vulnérable, sans endroit où me réfugier. Ahhhhh ! Et cette main qui vient encore de meffleurer le visage
Je la désire, je voudrais la sentir parcourir tout mon corps. Comme si tu avais su lire en moi comme dans un livre ouvert, tu la déposes doucement sur ma cuisse. Jaime ce contact. Jai chaud, mon cur bat plus fort. Je risque un bref regard vers ton beau visage. Tu es toujours attentif à la route. Tu te sens puissant, tu sais très bien ce que tu fais, à quoi tu joues. Et tu y joues si bien
Ta main remonte doucement le long de ma cuisse. Un peu gênée, je nose plus regarder en ta direction. Je te laisse faire. Je nai pas la force de protester. Ta main passe sous le tissu de ma robe. Elle continue sa lente progression. Les battements de mon cur vont toujours crescendo. Je reste immobile, sous ton emprise. Tu aimes me voir ainsi fragile. Un afflux sanguin pulse dans ton sexe qui gonfle de désir.
Je risque un « Hé, il fallait prendre à droite
», alors que je maperçois quon ne suit plus le bon chemin. Mais tu ne me réponds pas. Tu aimes rester mystérieux, tu tamuses à me voir déroutée. Ta main est toujours entre mes cuisses. Tu caresses, tu titilles. « Ahhh
Ahhhhhh
Ahhhhhhhh
» Cette fois, je suis de moins en moins discrète. Ta main quitte alors mon sexe pour pouvoir changer les vitesses, tu obliques à gauche, puis encore à gauche. Nous nous retrouvons près dun petit boisé, dans un endroit discret. Tu gares la voiture. Puis sans mot dire, tu te retournes vers moi et presses fermement tes lèvres sur les miennes en retenant mon visage de tes mains. Tes lèvres sont douces, charnues. Ta langue simmisce dans ma bouche, prenant possession de celle-ci, ondulant sur ma langue qui répond à ton fougueux baiser, un baiser qui dure et dure encore, et dont nous profitons de chaque instant.
Tu fais reculer mon siège de façon à te laisser lespace nécessaire pour glisser vers moi. Tes mains saventurent sur mes seins. Tu peux sentir mes tétons durs à travers mes vêtements. Tu embrasses mon cou, ma respiration plus haletante réchauffe ton oreille, éveille tes sens. Ton sexe est de plus en plus ferme, prêt à me prendre, à me posséder toute entière. Je déboutonne ta chemise, passe mes mains sur ton torse, ton abdomen. Ton corps me plaît, jadore son contact chaud. Mes mains se perdent sur toi, explorent de plus en plus bas, entreprennent de détacher ta ceinture. Mais tu ne lentends pas ainsi. Tu atts mes poignets avec vigueur, les guides au-dessus de ma tête. « Non, non, Madame
Il faut apprendre à être plus patiente
» Tout en retenant dune main mes poignets, tu tempares du léger foulard que je portais.
Tu me regardes, satisfait de me voir ainsi livrée à toi. Tu inclines mon siège vers larrière, je suis maintenant pratiquement à lhorizontale. Tu tétends sur moi et membrasses à nouveau. Puis tu descends les bretelles de ma robe et de mon soutien-gorge que tu dégrafes pour voir jaillir ma poitrine. Mes tétons attirent ton regard et ta bouche, tu les lèches, les suces tendrement. Tu frottes ton sexe sur le mien, je peux clairement le sentir à travers ton pantalon. Je commence à gémir de plaisir, jai tellement envie que tu me pénètres. Mon vagin se contracte involontairement à cette idée, ma culotte est de plus en plus mouillée. Tu remontes ma robe, caresses mes fesses galbées à travers la dentelle de ma culotte. Je lâche : « Ah oui ! Prends-moi. Jai envie de toi, là, maintenant ! » Tu me chuchotes alors à loreille : « Jai pourtant dit quil fallait être patiente. Rien de mieux que lattente pour attiser le désir
Et ce soir, cest moi qui décide, cest moi qui ai le contrôle. » Tu détaches ta ceinture, défait ta braguette, te débarrasses de ton pantalon et ton boxer. Je fonds à la vue de ton sexe enfin libéré, prêt à me conquérir. Tu remontes sur moi, poses tes cuisses de chaque côté de ma tête, te retenant sur le dossier du siège arrière et me présentant ta queue engorgée. Un filet de liquide pré-séminal sen écoule, tu me rends folle de désir. Ta verge se présente à lentrée de ma bouche que je mempresse dentrouvrir docilement. « Je vais te baiser la bouche coquine, tas pas idée ! » Tu tengouffres alors en moi jusquà la gorge, commences des va-et-vient dabord lents, puis de plus en plus rapides. Ma langue tournoie autour de ton sexe.
Ton plaisir monte et monte toujours. Tu timagines méjaculant partout dans la bouche, me faisant boire ta semence. Mais tu luttes contre cette envie. Ce soir, ce nest pas comme ça que tu veux jouir. Tu te retires de ma bouche, me laissant reprendre mon souffle. Tu te retournes, enlèves ma petite culotte, tétends à nouveau sur moi. Nos sexes sont en contact, glissent lun sur lautre. Je te veux en moi. Je supplie : « Je ten prie, baise-moi ! Jai envie de toi. » « Tinquiète pas, ça va venir
Je vais te faire hurler de plaisir. » A ces mots, tu donnes un ferme coup de rein et me pénètres en un seul et fluide mouvement. « Ahhh oui, cest bonnnn ! » Je me sens pleine de toi. Je suis à toi. Tu commences à tamuser à mes dépends. Après chaque coup de buttoir, ton sexe ressort lentement et reste longtemps à lentrée de mon vagin, comme pour me narguer. Cette sensation de désirer ce qui mest refusé, ce contact doux de ton gland que je souhaiterais sentir plus profondément me fait perdre la tête, augmente mon désir, décuple les sensations à chaque pénétration. Chaque fois que ta queue butte au fond de moi, mon clitoris est stimulé par ton pubis. Mon plaisir prend de lampleur. Tu accélères la cadence. Je crie : « Ah ouiiii, ahhh ouiii, ah je vais jouir
»
Tu tarrêtes instantanément. « Ah non, tarrête pas !... » Je me tortille, tentant ainsi de me frotter à toi pour stimuler mon sexe.
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